Elle est devenue rare depuis quelque temps sur la scène musicale sénégalaise, pour ne pas dire invisible. Mais rien d’alarmant, prévient la sulfureuse Arame Thioye. Invitée à l’émission «Keur gui» d’avant-hier, animée par Sidath sur les ondes de la Radio Futurs Médias, la chanteuse a levé le coin du voile sur son absence du pays à la fin de l’émission. «J’ai signé un contrat avec un groupe à Zurich (Suisse), confie-t-elle. Je n’ai pas encore commencé les prestations, mais je suis obligée de faire la navette pour les répétitions.» Toutefois, ce n’est pas pour faire du Mbalax avec des Helvétiques qu’elle est partie là-bas, mais plutôt pour enrichir sa gamme musicale. «Je fais de la musique soft, car j’aime inclure la variété dans mon répertoire, avec du zouk, du Rn’b», informe-t-elle.
Ainsi, l’auteure de «Borom Tar» n’exclut pas d’abandonner le Mbalax et tout le folklore qui l’accompagne, à l’avenir, pour se consacrer à une carrière plus ouverte sur l’international, d’où la signature de son contrat en Suisse. D’autant plus qu’elle avoue n’avoir pas ce qu’il faut pour continuer de chanter notre musique nationale. «Je n’ai même pas la voix pour le Mbalax, affirme-t-elle avec un brin d’humour. Mais, je le fais seulement pour avoir un nom et pouvoir tracer mon chemin.» Une déclaration plus que suffisante pour donner du crédit à ses dires.
Par ailleurs, la diva a profité de l’occasion pour évoquer ses relations avec le lutteur Bombardier, sources de beaucoup de polémique depuis l’apparition de ce dernier dans le clip de son tube «Louko fi diar». Et c’est pour dire : «Ce que les gens disent entre Bombardier et moi est un faux débat. Ce sont seulement des détails.» Avant d’ajouter : «Et même s’il était mon copain, personne ne le saurait. Car personne ne sait avec qui je sors et ne le saura jamais.»
Et face aux critiques qu’elles essuient concernant son port vestimentaire, Arame estime n’avoir rien fait de mal. Au contraire, «je ne porte pas des habits indécents, ni vulgaires à tel point que les gens ne puissent pas me regarder», se défend-elle. «Peut-être que c’est la personne qui fait parler. Mais, je ne fais que porter ce que les femmes de ma génération portent», renchérit-elle. Et tant pis pour ses détracteurs, car elle n’est pas prête de retourner sa veste. «Je ne me cacherai pas, car c’est un don de Dieu et je n’y peux rien», conclut-elle.
lobservateur.sn / xalimasn
Ainsi, l’auteure de «Borom Tar» n’exclut pas d’abandonner le Mbalax et tout le folklore qui l’accompagne, à l’avenir, pour se consacrer à une carrière plus ouverte sur l’international, d’où la signature de son contrat en Suisse. D’autant plus qu’elle avoue n’avoir pas ce qu’il faut pour continuer de chanter notre musique nationale. «Je n’ai même pas la voix pour le Mbalax, affirme-t-elle avec un brin d’humour. Mais, je le fais seulement pour avoir un nom et pouvoir tracer mon chemin.» Une déclaration plus que suffisante pour donner du crédit à ses dires.
Par ailleurs, la diva a profité de l’occasion pour évoquer ses relations avec le lutteur Bombardier, sources de beaucoup de polémique depuis l’apparition de ce dernier dans le clip de son tube «Louko fi diar». Et c’est pour dire : «Ce que les gens disent entre Bombardier et moi est un faux débat. Ce sont seulement des détails.» Avant d’ajouter : «Et même s’il était mon copain, personne ne le saurait. Car personne ne sait avec qui je sors et ne le saura jamais.»
Et face aux critiques qu’elles essuient concernant son port vestimentaire, Arame estime n’avoir rien fait de mal. Au contraire, «je ne porte pas des habits indécents, ni vulgaires à tel point que les gens ne puissent pas me regarder», se défend-elle. «Peut-être que c’est la personne qui fait parler. Mais, je ne fais que porter ce que les femmes de ma génération portent», renchérit-elle. Et tant pis pour ses détracteurs, car elle n’est pas prête de retourner sa veste. «Je ne me cacherai pas, car c’est un don de Dieu et je n’y peux rien», conclut-elle.
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