« Modernisation et facilités d’accès : l’assistance légale au vingt-et-unième siècle », est le thème de la conférence annuelle de la section des parlements et partis politiques (Spp) et du conseil international des archives (Cia). Pour la première fois, se tient en terre africaine, plus précisément à Dakar, cette conférence. Une occasion pour la Spp de renforcer ses rangs. Car seuls le Sénégal et le Burkina Faso font partie de l’organisation dirigée par Marieta Minosotos. Et à cette manifestation sont invités tous les pays de l’espace Uemoa. Une façon de leur faire découvrir la Spp. Comme l’indique d’ailleurs Marieta Minosotos « cette conférence est très importante pour nous car l’un des objectifs de notre comité est d’attirer de nouveaux membres représentant les archives parlementaires, les partis politiques et les fondations politiques ».
Sur un autre registre, pendant deux jours, les archivistes échangeront sur les opportunités de modernisation de la préservation des documents administratifs et le management des informations. Les principaux maux dont souffre ce secteur. En effet, à l’ère du numérique et avec les risques pesant sur le changement climatique il est plus que désuet de parler de classement et de tri. Il est dont urgent de trouver de nouvelles parades pour se mettre aux nouvelles méthodes. La maîtrise de l’outil informatique est alors nécessaire. Et c’est tout ce qui manque à l’Afrique. Les archivistes l’ont compris et Khayrou Cissé, directeur des archives de l’assemblée nationale confirme en soutenant que « pour assurer une bonne préservation des informations aujourd’hui, il faut maitriser les technologies de l’information et de la communication, la formation s’impose ». La directrice de la Spp signale qu’au cours de ces 48h seront pris en compte la formation archivistique et le profil de l’archiviste du 21éme siècle. M. Cissé va plus loin et ajoute à cet effet qu’il faut après la formation « équiper les centres d’archives ».
Par ailleurs, ces deux jours dans la capitale sénégalaise seront aussi un prétexte pour débattre le premier jour de la coopération des archives dans et hors de l’Afrique et aux dimensions variables de la formation mutuelle. Le deuxième jour recevra les échanges sur le management de l’information législative conservée dans cette ère du numérique. Ainsi, le développement des méthodes, leurs besoins, les défis particuliers auxquels les services des archives politiques et parlementaires sont soumis et enfin les exigences de la coopération archivistique et de la formation sont en détail les sujets à développer.
Venu présider cette rencontre, Amadou Ciré Sall, 2éme vice président à l’assemblée nationale informe qu’à la place du souvenir « tout le monde peut consulter l’histoire parlementaire du Sénégal ». Une façon de dire que les informations sont bien préservées la bas.
Bigué BOB
pressafrik.com
Sur un autre registre, pendant deux jours, les archivistes échangeront sur les opportunités de modernisation de la préservation des documents administratifs et le management des informations. Les principaux maux dont souffre ce secteur. En effet, à l’ère du numérique et avec les risques pesant sur le changement climatique il est plus que désuet de parler de classement et de tri. Il est dont urgent de trouver de nouvelles parades pour se mettre aux nouvelles méthodes. La maîtrise de l’outil informatique est alors nécessaire. Et c’est tout ce qui manque à l’Afrique. Les archivistes l’ont compris et Khayrou Cissé, directeur des archives de l’assemblée nationale confirme en soutenant que « pour assurer une bonne préservation des informations aujourd’hui, il faut maitriser les technologies de l’information et de la communication, la formation s’impose ». La directrice de la Spp signale qu’au cours de ces 48h seront pris en compte la formation archivistique et le profil de l’archiviste du 21éme siècle. M. Cissé va plus loin et ajoute à cet effet qu’il faut après la formation « équiper les centres d’archives ».
Par ailleurs, ces deux jours dans la capitale sénégalaise seront aussi un prétexte pour débattre le premier jour de la coopération des archives dans et hors de l’Afrique et aux dimensions variables de la formation mutuelle. Le deuxième jour recevra les échanges sur le management de l’information législative conservée dans cette ère du numérique. Ainsi, le développement des méthodes, leurs besoins, les défis particuliers auxquels les services des archives politiques et parlementaires sont soumis et enfin les exigences de la coopération archivistique et de la formation sont en détail les sujets à développer.
Venu présider cette rencontre, Amadou Ciré Sall, 2éme vice président à l’assemblée nationale informe qu’à la place du souvenir « tout le monde peut consulter l’histoire parlementaire du Sénégal ». Une façon de dire que les informations sont bien préservées la bas.
Bigué BOB
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