C’est connu que les procédures de rapatriement de biens mal acquis sont souvent longues et peuvent parfois durer des années. Un inconvénient qui ne freine pas pour autant la volonté de l’Etat du Sénégal à traquer et rapatrier les fonds détournés et cachés à l’étranger.
L’objectif de cette session de formation à l’initiative de la Banque mondiale et de l’Onudc est d’outiller les acteurs de cette traque pour bien identifier les biens mal acquis et correctement déclencher la procédure.
« Il peut y avoir des premiers succès rapides. Il peut y avoir des succès nationaux. Quant au recouvrement d’avoirs à l’étranger, par la souveraineté des nations, il prend beaucoup plus de temps dans le cadre de la coopération internationale. Il n’empêche que le recouvrement des biens se trouvant sur le territoire national puisse être opéré plus rapidement », explique Yves , expert de la Banque mondiale.
L’écueil de la souveraineté des Etats, selon M. Aeschliemann, est levé par le biais de la coopération internationale. « Ca prend plus de temps, de par les spécificités techniques, les difficultés d’identifier les biens à l’étranger. Il faut savoir que les personnes qui détournent des fonds et qui les blanchissent dans les centres financiers à l’étranger, sont assistés d’intermédiaires financiers compétents et qui mettent tout en œuvre pour rendre ce traçage des fonds le plus difficile possible. Si bien qu’à travers des sociétés off-shore, à travers des prête-noms, on a de plus en plus de difficultés à retracer ses avoirs », indique-t-il.
Cette pour cette raisons que les différentes instances chargées du recouvrement des biens mal acquis se doivent d’avoir une compétence technique avérée. C’est ainsi que la Banque mondiale et l’Onudc mettent à la disposition du Sénégal leur réseau d’experts internationaux pour rapatrier l’argent détourné et planqué à l’étranger.
SOURCE
L’objectif de cette session de formation à l’initiative de la Banque mondiale et de l’Onudc est d’outiller les acteurs de cette traque pour bien identifier les biens mal acquis et correctement déclencher la procédure.
« Il peut y avoir des premiers succès rapides. Il peut y avoir des succès nationaux. Quant au recouvrement d’avoirs à l’étranger, par la souveraineté des nations, il prend beaucoup plus de temps dans le cadre de la coopération internationale. Il n’empêche que le recouvrement des biens se trouvant sur le territoire national puisse être opéré plus rapidement », explique Yves , expert de la Banque mondiale.
L’écueil de la souveraineté des Etats, selon M. Aeschliemann, est levé par le biais de la coopération internationale. « Ca prend plus de temps, de par les spécificités techniques, les difficultés d’identifier les biens à l’étranger. Il faut savoir que les personnes qui détournent des fonds et qui les blanchissent dans les centres financiers à l’étranger, sont assistés d’intermédiaires financiers compétents et qui mettent tout en œuvre pour rendre ce traçage des fonds le plus difficile possible. Si bien qu’à travers des sociétés off-shore, à travers des prête-noms, on a de plus en plus de difficultés à retracer ses avoirs », indique-t-il.
Cette pour cette raisons que les différentes instances chargées du recouvrement des biens mal acquis se doivent d’avoir une compétence technique avérée. C’est ainsi que la Banque mondiale et l’Onudc mettent à la disposition du Sénégal leur réseau d’experts internationaux pour rapatrier l’argent détourné et planqué à l’étranger.
SOURCE