‘’Un sentiment de soulagement pour la délivrance du peuple frère ivoirien de cette dure, longue et pénible épreuve qui a conduit au massacre de milliers d’ivoiriens’’, a réagi le porte-parole du gouvernement après l’arrestation du président sortant ivoirien, dans une déclaration à l’APS.
M. Gbagbo a été arrêté lundi à sa résidence d’Abidjan par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), sous l’autorité de son challenger, le président élu Alassane Ouattara, avant d’être conduit au Quartier-Général du chef de l’Etat ivoirien reconnu par la communauté internationale.
Selon M. Guirassy, cette arrestation est ‘’un sentiment de gratitude et reconnaissance vis-à-vis de Dieu et de toutes les bonnes volontés qui ont contribué à faire triompher la démocratie en Côte d’Ivoire et à continuer à donner ainsi un sens au vote et au suffrage universel qui est le principe d’expression de la volonté populaire’’.
‘’Il faut cependant regretter, comme nous le ressentions vis-à-vis de la colonisation par les canons que la démocratie finisse par s’imposer aussi par les canons’’, a-t-il fait remarquer, estimant que les chefs d’Etats du continent ‘’doivent accepter avant d’en arriver-là que la souveraineté populaire puisse régner en maître’’.
Le porte-parole du gouvernement sénégalais a également soutenu qu’il est ‘’nécessaire pour le président Alassane Ouattara de tenir compte des 46% (de voix) de Gbagbo à l’échelle nationale et 60% dans la capitale’’, lors de la présidentielle du 28 novembre 2010.
‘’Nous sommes néanmoins rassurés par le discours hautement responsable du président Ouattara, il y a quelques jours, qui en appelait à la cohésion nationale et au dépassement’’, a-t-il ajouté.
‘’Le président de a République, le gouvernement comme le peuple sénégalais ont toujours œuvré sous la bannière de l’Union africaine pour la restauration de la démocratie en Côte d’Ivoire et le retour de la paix sociale’’, a dit M. Guirassy, soulignant que la Côte d’Ivoire et le Sénégal ‘’ne font qu’un’’.
APS
M. Gbagbo a été arrêté lundi à sa résidence d’Abidjan par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), sous l’autorité de son challenger, le président élu Alassane Ouattara, avant d’être conduit au Quartier-Général du chef de l’Etat ivoirien reconnu par la communauté internationale.
Selon M. Guirassy, cette arrestation est ‘’un sentiment de gratitude et reconnaissance vis-à-vis de Dieu et de toutes les bonnes volontés qui ont contribué à faire triompher la démocratie en Côte d’Ivoire et à continuer à donner ainsi un sens au vote et au suffrage universel qui est le principe d’expression de la volonté populaire’’.
‘’Il faut cependant regretter, comme nous le ressentions vis-à-vis de la colonisation par les canons que la démocratie finisse par s’imposer aussi par les canons’’, a-t-il fait remarquer, estimant que les chefs d’Etats du continent ‘’doivent accepter avant d’en arriver-là que la souveraineté populaire puisse régner en maître’’.
Le porte-parole du gouvernement sénégalais a également soutenu qu’il est ‘’nécessaire pour le président Alassane Ouattara de tenir compte des 46% (de voix) de Gbagbo à l’échelle nationale et 60% dans la capitale’’, lors de la présidentielle du 28 novembre 2010.
‘’Nous sommes néanmoins rassurés par le discours hautement responsable du président Ouattara, il y a quelques jours, qui en appelait à la cohésion nationale et au dépassement’’, a-t-il ajouté.
‘’Le président de a République, le gouvernement comme le peuple sénégalais ont toujours œuvré sous la bannière de l’Union africaine pour la restauration de la démocratie en Côte d’Ivoire et le retour de la paix sociale’’, a dit M. Guirassy, soulignant que la Côte d’Ivoire et le Sénégal ‘’ne font qu’un’’.
APS