L’adjoint au maire a fait face à la presse, pour déplorer cette situation délétère. Pis, le premier adjoint au maire exprime son inquiétude quant à l’élaboration du prochain budget, soulignant la gravité de la crise que traverse la commune.
«Nous déplorons cette situation, dans la mesure où, depuis que le maire est placé sous mandat de dépôt, ses avocats ont déposé des requêtes pour qu’il puisse, à partir de la prison, continuer à exercer pleinement ses responsabilités de maire. Ce que nous ne comprenons pas, c’est pourquoi le Procureur général lui ôte cette liberté», a d’emblée fait savoir Moustapha Sarr.
Ce dernier d’ajouter, dans la foulée, que le maire n’est pas condamné en première instance, il est juste en détention provisoire. «Il y a des maires qui sont mis en détention provisoire, avec des délits comme terrorisme, complot contre l’Etat et tout, mais ils continuent d’exercer leur responsabilité de maire», relève l’adjoint au maire
Il poursuit : «Le parquet général a étouffé Thiaroye-sur-Mer, dans la mesure où nos agents qui sont des pères de famille, sont restés quatre mois sans salaires, notre administration ne peut payer ses fournisseurs, on est en fin d’exercice budgétaire, on est dans une période de planification de budget et on est obligé de reporter les projets faits, presque ficelés, pour l’année 2024.
Et pourtant, les fonds sont disponibles, il ne nous manque que la signature du maire et c’est ce que le Procureur général nous refuse», a vociféré Moustapha Sarr. Face à la presse, l’adjoint au maire lance un appel pressant à l’autorité judiciaire, pour que le maire puisse recevoir son parapheur.
Cette démarche est cruciale pour permettre à la commune de sortir de cette situation précaire. Il souligne l’urgence d’une résolution rapide de ce problème, afin de rétablir la stabilité financière et de garantir le fonctionnement normal des services municipaux.
«Nous déplorons cette situation, dans la mesure où, depuis que le maire est placé sous mandat de dépôt, ses avocats ont déposé des requêtes pour qu’il puisse, à partir de la prison, continuer à exercer pleinement ses responsabilités de maire. Ce que nous ne comprenons pas, c’est pourquoi le Procureur général lui ôte cette liberté», a d’emblée fait savoir Moustapha Sarr.
Ce dernier d’ajouter, dans la foulée, que le maire n’est pas condamné en première instance, il est juste en détention provisoire. «Il y a des maires qui sont mis en détention provisoire, avec des délits comme terrorisme, complot contre l’Etat et tout, mais ils continuent d’exercer leur responsabilité de maire», relève l’adjoint au maire
Il poursuit : «Le parquet général a étouffé Thiaroye-sur-Mer, dans la mesure où nos agents qui sont des pères de famille, sont restés quatre mois sans salaires, notre administration ne peut payer ses fournisseurs, on est en fin d’exercice budgétaire, on est dans une période de planification de budget et on est obligé de reporter les projets faits, presque ficelés, pour l’année 2024.
Et pourtant, les fonds sont disponibles, il ne nous manque que la signature du maire et c’est ce que le Procureur général nous refuse», a vociféré Moustapha Sarr. Face à la presse, l’adjoint au maire lance un appel pressant à l’autorité judiciaire, pour que le maire puisse recevoir son parapheur.
Cette démarche est cruciale pour permettre à la commune de sortir de cette situation précaire. Il souligne l’urgence d’une résolution rapide de ce problème, afin de rétablir la stabilité financière et de garantir le fonctionnement normal des services municipaux.