Après près de deux semaines de grève de la faim, les travailleurs de l’Hôtel Indépendance vont bientôt lever leur mot d’ordre. Après avoir reçu la visite d’une délégation gouvernementale conduite par le premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, Louis Philippe Ndior, délégué du personnel a fait savoir que si l’Etat tient ses promesses, le mot d’ordre sera levé. « Nous attendons qu’il fasse ce qu’il a promis. Dès que nous aurons reçu nos salaires nous allons lever le mot d’ordre de grève de la faim », a-t-il déclaré.
Le premier ministre a quant à lui tenu à faire quelques précisions avant de prendre des engagements : « En réalité le ministère des sports ne doit pas 88 millions même si, j’ai pris l’engagement de payer cette dette dans 48 heures. L’Etat va même payer des dettes qu’il n’a pas contractées. Nous savons ce qu’il faut faire pour nous substituer à vous pour obtenir que, ceux qui vous doivent, payent dans nos caisses. Nous n’avons jamais refusé de payer la dette de l’Etat », a déclaré le premier ministre.
Pour lui, il n’appartient pas à l’Etat de dérouler un plan pour sauver l’Hôtel Indépendance. « Il appartient à la direction générale de l’Hôtel de vous dire et de dire à tous, à qui l’Hôtel doit de l’argent, comment faire pour faire revivre cet hôtel. L’Etat ne fera rien contre ce plan de redressement. L’Etat est là pour apporter un soutien à tous eux qui rencontrent des difficultés dans l’exercice de leur profession », a-t-il assuré.
- Par Béatrice L. - Nettali
Le premier ministre a quant à lui tenu à faire quelques précisions avant de prendre des engagements : « En réalité le ministère des sports ne doit pas 88 millions même si, j’ai pris l’engagement de payer cette dette dans 48 heures. L’Etat va même payer des dettes qu’il n’a pas contractées. Nous savons ce qu’il faut faire pour nous substituer à vous pour obtenir que, ceux qui vous doivent, payent dans nos caisses. Nous n’avons jamais refusé de payer la dette de l’Etat », a déclaré le premier ministre.
Pour lui, il n’appartient pas à l’Etat de dérouler un plan pour sauver l’Hôtel Indépendance. « Il appartient à la direction générale de l’Hôtel de vous dire et de dire à tous, à qui l’Hôtel doit de l’argent, comment faire pour faire revivre cet hôtel. L’Etat ne fera rien contre ce plan de redressement. L’Etat est là pour apporter un soutien à tous eux qui rencontrent des difficultés dans l’exercice de leur profession », a-t-il assuré.
- Par Béatrice L. - Nettali