Suite à cette décision, la déception a été grande chez Fatou Faty Diakhaté qui accusait le commandant de la Brigade de recherches de Mbour de séquestration et de viol, services et actes de sadisme. Le policier a toujours soutenu que Fatou Faty Diakhaté était sa maîtresse. Il ne l’a jamais contrainte d'avoir des rapports sexuels avec elle. Elle a toujours été consentante. Après chaque rapport sexuel, il lui remettait une somme d’argent.
Les faits remontent à la nuit du lundi 23 au mardi 24 juillet 2012. Fatou Faty Diakhaté s’est rendue au domicile du policier pour déclarer la perte de sa carte d’identité. Le policier, qui était en train de prier, l’aurait envoyée à la boutique pour lui acheter de la cigarette. A son retour, il l’a invitée à rejoindre son lit pour entretenir des relations sexuelles. Elle refuse. Le policier se serait rué sur elle, la plaquant au lit, la déshabillant, avant de la prendre avec violence. Puisqu’il ne portait pas de préservatif, il a éjaculé sur les seins de la femme.
Son désir assouvi, le policier aurait invité la dame à prendre une douche dans les toilettes intérieures de la chambre avant de lui intimer l’ordre de passer tous les soirs pour une séance de galipettes. Séquestrée pendant plusieurs heures, Fatou Faty arrive chez elle au-delà de minuit, en larmes. Dans la matinée du 24 juillet, elle se rend à l’hôpital de Mbour auprès du Dr Sy qui lui délivre un certificat médical.
Le lendemain, 25 juillet, elle se rend auprès du Dr Thiam pour une contraception d’urgence. Le policier, polygame et père de 8 enfants, a toujours affirmé être victime d’une cabale, étant entendu que la plaignante l’avait sollicité pour 10.000 francs CFA.
Les faits remontent à la nuit du lundi 23 au mardi 24 juillet 2012. Fatou Faty Diakhaté s’est rendue au domicile du policier pour déclarer la perte de sa carte d’identité. Le policier, qui était en train de prier, l’aurait envoyée à la boutique pour lui acheter de la cigarette. A son retour, il l’a invitée à rejoindre son lit pour entretenir des relations sexuelles. Elle refuse. Le policier se serait rué sur elle, la plaquant au lit, la déshabillant, avant de la prendre avec violence. Puisqu’il ne portait pas de préservatif, il a éjaculé sur les seins de la femme.
Son désir assouvi, le policier aurait invité la dame à prendre une douche dans les toilettes intérieures de la chambre avant de lui intimer l’ordre de passer tous les soirs pour une séance de galipettes. Séquestrée pendant plusieurs heures, Fatou Faty arrive chez elle au-delà de minuit, en larmes. Dans la matinée du 24 juillet, elle se rend à l’hôpital de Mbour auprès du Dr Sy qui lui délivre un certificat médical.
Le lendemain, 25 juillet, elle se rend auprès du Dr Thiam pour une contraception d’urgence. Le policier, polygame et père de 8 enfants, a toujours affirmé être victime d’une cabale, étant entendu que la plaignante l’avait sollicité pour 10.000 francs CFA.