Le 27 juin 2011, le régime libéral a eu peur car pendant des heures, des jeunes se sont levés comme un seul homme pour dire non aux coupures d’électricité. Des manifestations spontanées qui ont gagné toute la capitale avec des casses à l’occasion. Mais, parmi ces casseurs, certains ont été arrêtés par les forces de police qui ont en ont vu des vertes et des pas mures pour mettre un terme à cette manifestation. Depuis le 27 juin, ces jeunes croupissent en prison.
Cependant, ils ne comptent pas laisser faire les autorités ont -ils confiés à www.leral.net . Pour un traitement sans délai de leurs cas, ces « casseurs » ont adressé une lettre à Sidy Lamine Niasse et aux différentes organisations des droits de l’homme. Dans cette missive ils dénoncent l’attitude du M23 qui selon ces jeunes ne se soucie pas de leur sort. Pourtant à en croire le quotidien l’As qui a donné l’information, Me Ndeye Fatou Touré s’est constituée pour certains mais ils jugent que cela n’est pas suffisant. Ils veulent une mobilisation du mouvement du 23 juin pour qu’ils voient le bout du tunnel. Qui, n’est pas pour demain si l’on sait que les griefs contre eux peuvent être lourdes de conséquences. Si d’aucuns doivent répondre du délit d’atteinte à la sureté de l’Etat, d’autres seront jugés pour destruction de biens appartenant à autrui et à l’Etat.
Cependant, ils ne comptent pas laisser faire les autorités ont -ils confiés à www.leral.net . Pour un traitement sans délai de leurs cas, ces « casseurs » ont adressé une lettre à Sidy Lamine Niasse et aux différentes organisations des droits de l’homme. Dans cette missive ils dénoncent l’attitude du M23 qui selon ces jeunes ne se soucie pas de leur sort. Pourtant à en croire le quotidien l’As qui a donné l’information, Me Ndeye Fatou Touré s’est constituée pour certains mais ils jugent que cela n’est pas suffisant. Ils veulent une mobilisation du mouvement du 23 juin pour qu’ils voient le bout du tunnel. Qui, n’est pas pour demain si l’on sait que les griefs contre eux peuvent être lourdes de conséquences. Si d’aucuns doivent répondre du délit d’atteinte à la sureté de l’Etat, d’autres seront jugés pour destruction de biens appartenant à autrui et à l’Etat.