L’un claque but sur but, l’autre cherche à ouvrir son compteur en Premier League. Pour les supporters d’Arsenal, il est impossible d’ignorer les statistiques opposées de Robin Van Persie et d’Olivier Giroud, son remplaçant à Arsenal. Il n’est bien sûr pas question de comparer les CV de ces deux joueurs au style opposé, mais les Gunners attendent avec impatience de voir leur nouveau canonnier trouver la cible. Interrogé par la FIFA, l’international français a concédé qu’il lui tardait de trouver le chemin des filets avec son nouveau club.
« Oui, c’est vrai... Pour l’instant, j’ai tendance à me crisper un peu au moment de conclure, comme lors de mes premiers matches avec l’équipe de France. Je ne me fais pas plus de soucis que ça, car je marque à l’entraînement et je me sens plutôt bien au sein de cette équipe. Il faut juste que je ne me pose pas trop de questions, et que je sois un peu plus relâché dans le dernier geste », a-t-il répondu, sincère. Cette petite crispation, elle s’est ressentie sur les quelques occasions qu’il aurait dû mettre au fond depuis son arrivée à Arsenal. Bien que toujours muet devant le but, Giroud affiche une certaine confiance.
« J’ai toujours marqué des buts, après c’est simplement une histoire de confiance, de "pugnacité et d’abnégation", comme dirait Marc Libbra (ancien attaquant de l’Olympique de Marseille). J’avais retenu ces deux mots qui pour moi résument bien les qualités qu’un attaquant doit avoir. Il ne faut rien lâcher, et même si j’ai tendance à montrer ma déception quand je rate quelque chose, je me remobilise tout de suite derrière. Il ne faut jamais tomber dans le doute, qui pour moi est un mot fort. Quand je suis arrivé à Tours, j’ai mis sept ou huit matches à marquer mon premier but, à Montpellier quatre… Avec Arsenal, je n’ai joué que deux rencontres comme titulaire. C’est certain que c’est un niveau plus exigeant, mais il faut être patient et garder confiance », a-t-il assuré. Pour le moment, Arsène Wenger est sur la même longueur d’onde et semble prêt à lui accorder le temps nécessaire. Ce qui ne l’a pas empêché de lui reprocher son manque d’efficacité après le premier match. S’il veut éviter que les supporters regrettent encore longtemps Van Persie, Giroud sait ce qu’il lui reste à faire.
Aurélien Léger-Moëc
« Oui, c’est vrai... Pour l’instant, j’ai tendance à me crisper un peu au moment de conclure, comme lors de mes premiers matches avec l’équipe de France. Je ne me fais pas plus de soucis que ça, car je marque à l’entraînement et je me sens plutôt bien au sein de cette équipe. Il faut juste que je ne me pose pas trop de questions, et que je sois un peu plus relâché dans le dernier geste », a-t-il répondu, sincère. Cette petite crispation, elle s’est ressentie sur les quelques occasions qu’il aurait dû mettre au fond depuis son arrivée à Arsenal. Bien que toujours muet devant le but, Giroud affiche une certaine confiance.
« J’ai toujours marqué des buts, après c’est simplement une histoire de confiance, de "pugnacité et d’abnégation", comme dirait Marc Libbra (ancien attaquant de l’Olympique de Marseille). J’avais retenu ces deux mots qui pour moi résument bien les qualités qu’un attaquant doit avoir. Il ne faut rien lâcher, et même si j’ai tendance à montrer ma déception quand je rate quelque chose, je me remobilise tout de suite derrière. Il ne faut jamais tomber dans le doute, qui pour moi est un mot fort. Quand je suis arrivé à Tours, j’ai mis sept ou huit matches à marquer mon premier but, à Montpellier quatre… Avec Arsenal, je n’ai joué que deux rencontres comme titulaire. C’est certain que c’est un niveau plus exigeant, mais il faut être patient et garder confiance », a-t-il assuré. Pour le moment, Arsène Wenger est sur la même longueur d’onde et semble prêt à lui accorder le temps nécessaire. Ce qui ne l’a pas empêché de lui reprocher son manque d’efficacité après le premier match. S’il veut éviter que les supporters regrettent encore longtemps Van Persie, Giroud sait ce qu’il lui reste à faire.
Aurélien Léger-Moëc