Le 21 janvier 2021, un Sénégalais nommé Ibrahima Amar a été criblé de balles dans un bar de Tapejara (Nord, État du Rio Grande). Le tueur, un Espagnol de 30 ans, a été récemment jugé pour assassinat et tentative d’assassinat. Au bout de douze heures (9h-21h) de procès, il a été condamné à 28 ans de prison.
Après avoir prononcé le verdict, rapporte "Les Échos" repris par "Seneweb", le juge a déclaré que «la décision démontre l’engagement de la société du district de Tapejara à défendre la vie de tous ses membres, quelle que soit leur origine».
Le magistrat de poursuivre, selon le journal : «Le district compte une importante population d’immigrés étrangers, qui sont également protégés par la loi. Grâce à leur travail, le ministère public a clairement indiqué que le rêve de ces étrangers d’une nouvelle vie au Brésil, ne peut pas se transformer en tragédie, comme ce crime barbare».
Ibrahima Amar est mort en héros. Le jour des faits, indisposé par les agissements de l’Espagnol, qui harcelait les autres clients du bar, selon le rappel de "Les Échos", il l’invite à se calmer. Sans doute piqué dans son orgueil, le tueur quitte les lieux en promettant de revenir. «C’est ce qu’il fit deux heures plus tard, rembobine le journal. Le criminel est entré dans le bar et a tiré sur la victime à plusieurs reprises. Une autre personne qui a tenté de l’arrêter, a été blessée par balles».
Ce drame avait provoqué des manifestations à Tapejara, souligne la même source.
Après avoir prononcé le verdict, rapporte "Les Échos" repris par "Seneweb", le juge a déclaré que «la décision démontre l’engagement de la société du district de Tapejara à défendre la vie de tous ses membres, quelle que soit leur origine».
Le magistrat de poursuivre, selon le journal : «Le district compte une importante population d’immigrés étrangers, qui sont également protégés par la loi. Grâce à leur travail, le ministère public a clairement indiqué que le rêve de ces étrangers d’une nouvelle vie au Brésil, ne peut pas se transformer en tragédie, comme ce crime barbare».
Ibrahima Amar est mort en héros. Le jour des faits, indisposé par les agissements de l’Espagnol, qui harcelait les autres clients du bar, selon le rappel de "Les Échos", il l’invite à se calmer. Sans doute piqué dans son orgueil, le tueur quitte les lieux en promettant de revenir. «C’est ce qu’il fit deux heures plus tard, rembobine le journal. Le criminel est entré dans le bar et a tiré sur la victime à plusieurs reprises. Une autre personne qui a tenté de l’arrêter, a été blessée par balles».
Ce drame avait provoqué des manifestations à Tapejara, souligne la même source.