D’après nos confrères du journal Le Monde, le Président américain a condamné le soutien apporté par la Russie au « tyran » Bachar Al-Assad, sous prétexte qu’une alternative « serait pire ». Le Président russe, lui, a défendu son allié syrien en concentrant son propos sur la menace de l’Etat islamique qui tient une moitié du territoire syrien mais demeure de loin moins meurtrier que le régime, et sur les difficultés que pose l’afflux de réfugiés syriens en Occident.
Il a ouvert la voie à une participation de la Russie à une « large coalition internationale » pour lutter contre l’EI, semblable à « celle contre Hitler » au cours de la seconde guerre mondiale, mais pas sans le régime de Bachar Al-Assad. « Nous pensons que c’est une énorme erreur de refuser de coopérer avec le gouvernement syrien et ses forces armées qui tiennent courageusement tête au terrorisme », a estimé, Vladimir Poutine.
Le Président américain a dit souhaiter une coopération avec l’Iran et la Russie, mais il maintient l’exigence du départ de M. Assad. « Nous devons reconnaître qu’après tant de sang versé et de carnages il ne peut y avoir un retour au statu quo d’avant la guerre », a plaidé, Barack Obama à la tribune de l’Assemblée générale de l’Onu.
Il a ouvert la voie à une participation de la Russie à une « large coalition internationale » pour lutter contre l’EI, semblable à « celle contre Hitler » au cours de la seconde guerre mondiale, mais pas sans le régime de Bachar Al-Assad. « Nous pensons que c’est une énorme erreur de refuser de coopérer avec le gouvernement syrien et ses forces armées qui tiennent courageusement tête au terrorisme », a estimé, Vladimir Poutine.
Le Président américain a dit souhaiter une coopération avec l’Iran et la Russie, mais il maintient l’exigence du départ de M. Assad. « Nous devons reconnaître qu’après tant de sang versé et de carnages il ne peut y avoir un retour au statu quo d’avant la guerre », a plaidé, Barack Obama à la tribune de l’Assemblée générale de l’Onu.