Aly Bathily. Pour pouvoir gérer le temps, la maîtresse de cérémonie a rapporté qu’il n’y aura pas de questions et l’approbation sera par acclamation pour valider ledit rapport. Les uns ont approuvé par des applaudissements. Les autres ont désapprouvé par des huées. «Je suis le messager, je transmets», réplique Oumy Ndour. Ce qui a irrité des artistes, notamment des membres du Syndicat national des artistes et professionnels de la culture (Synaprocs).
Ngoné Ndour rempile au poste du Conseil d’administration de la Sodav
Après un brouhaha de plus de 30 minutes, le calme est revenu dans la salle grâce aux forces de l’ordre. Par la suite, chacun regagne son siège. Finalement, la Sodav a accepté de répondre aux questions des artistes.
L’artiste Dia arpente tranquillement les marches pour rejoindre le podium et déclare : «Félicitation pour votre présentation. Cependant, il faut un renouvellement démocratique du Ca, comme l’a rappelé le Secrétaire d’Etat. Il faut procéder à la limitation des mandats», peste-t-il. Ngoné Ndour, qui a rempilé au poste du Conseil d’administration de la Sodav a souligné que «les textes disent qu’il n’y a pas de limitation de mandat».
Avant d’ajouter : «J’ai envie de rester à la Sodav pour voir la rémunération pour copie privée»
La phrase de Aly Bathily qui a mis le feu aux poudres
Auparavant, le directeur de la Sodav a fait une brillante présentation du rapport avec des données chiffrées. Avant de répondre aux allégations qu’il juge «fausses et diffamatoires» sur les cartes de membre. Il récolte une volée de bois vert de l’assistance.
«On a également étendu des propos totalement faux sur les bases de données de la Sodav. Nous n’allons les donner à personne, car il y a des données personnelles», insiste-t-il.
«C’est faux», rétorque une partie de l’assistance. «C’est la démocratie», raille Aly Bathily. Sur l’audit, il déclare : «On ne peut pas permettre golo (singe) bu jog…».
Ce mot a hérité le public qui se déchaine : «Il faut retirer ce que vous avez dit. Vous nous manquez de respect. On ne vous reconnait plus M. Bathily» se désolent-t-ils. «C’est bien de demander des droits mais il faut penser à vous acquitter de vos devoirs», tance-t-il sous les ovations de ses souteneurs.
Ngoné Ndour rempile au poste du Conseil d’administration de la Sodav
Après un brouhaha de plus de 30 minutes, le calme est revenu dans la salle grâce aux forces de l’ordre. Par la suite, chacun regagne son siège. Finalement, la Sodav a accepté de répondre aux questions des artistes.
L’artiste Dia arpente tranquillement les marches pour rejoindre le podium et déclare : «Félicitation pour votre présentation. Cependant, il faut un renouvellement démocratique du Ca, comme l’a rappelé le Secrétaire d’Etat. Il faut procéder à la limitation des mandats», peste-t-il. Ngoné Ndour, qui a rempilé au poste du Conseil d’administration de la Sodav a souligné que «les textes disent qu’il n’y a pas de limitation de mandat».
Avant d’ajouter : «J’ai envie de rester à la Sodav pour voir la rémunération pour copie privée»
La phrase de Aly Bathily qui a mis le feu aux poudres
Auparavant, le directeur de la Sodav a fait une brillante présentation du rapport avec des données chiffrées. Avant de répondre aux allégations qu’il juge «fausses et diffamatoires» sur les cartes de membre. Il récolte une volée de bois vert de l’assistance.
«On a également étendu des propos totalement faux sur les bases de données de la Sodav. Nous n’allons les donner à personne, car il y a des données personnelles», insiste-t-il.
«C’est faux», rétorque une partie de l’assistance. «C’est la démocratie», raille Aly Bathily. Sur l’audit, il déclare : «On ne peut pas permettre golo (singe) bu jog…».
Ce mot a hérité le public qui se déchaine : «Il faut retirer ce que vous avez dit. Vous nous manquez de respect. On ne vous reconnait plus M. Bathily» se désolent-t-ils. «C’est bien de demander des droits mais il faut penser à vous acquitter de vos devoirs», tance-t-il sous les ovations de ses souteneurs.