Les députés des deux bords se succèdent au pupitre et rivalisent d'arguties à la place Soweto. L'honorable Cheikh Seck a pris la parole à son tour, pour demander à ses collègues "d'argumenter dans le respect". Avant même de terminer, les députés de l'opposition ont commencé à fulminer. Des huées et des insultes ont accompagné son allocution.
En réponse à cela, Cheikh Seck a évoqué l'affaire Ndiaga Diouf et celle de Adji Sarr. Sans gants, le parlementaire a accusé l'opposition d'être un repaire de "violeurs".
Ainsi, la tension est à son comble et l'impasse de vigueur. Les députés de l'opposition, avec à leur tête Barthélémy Dias, ont jeté les enveloppes déjà distribuées dans l'optique de l'élection du président de l'institution.
L'opposition est plus que déterminée à empêcher de procéder au vote.
En réponse à cela, Cheikh Seck a évoqué l'affaire Ndiaga Diouf et celle de Adji Sarr. Sans gants, le parlementaire a accusé l'opposition d'être un repaire de "violeurs".
Ainsi, la tension est à son comble et l'impasse de vigueur. Les députés de l'opposition, avec à leur tête Barthélémy Dias, ont jeté les enveloppes déjà distribuées dans l'optique de l'élection du président de l'institution.
L'opposition est plus que déterminée à empêcher de procéder au vote.