Les accords de dons relatifs aux projets d’appui à la modernisation des moyens de communication de l’Assemblée nationale et au renforcement du système national de laboratoires de santé publique, sont signés ce jeudi. La cérémonie s’est déroulée en présence de Madame Oulimata Sarr, Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de Monsieur Samba Sy, Ministre des Relations avec les Institutions, de Son Excellence Monsieur JI-Joon, Ambassadeur de la République de Corée au Sénégal et du Représentant Résident de l’Agence coréenne de coopération internationale (KOÏCA).
D’après le communiqué de l’Assemblée nationale, le Projet d’appui à la modernisation des moyens de communication de l’Assemblée nationale est financé à hauteur de 6 000 000 de dollars US, soit 3 630 000 000 FCfa.
Son objectif est non seulement de renforcer l’efficience, l’efficacité et la transparence des activités de l’Assemblée nationale, mais aussi d’améliorer la communication publique par : la mise en place (i) d’un système de vote électronique et de conférence dans les activités législatives, (ii) d’un système de conférence audio et d’interprétation simultanée, (iii) d’un système de visioconférence, (iv) d’un système de gestion des enregistrements pour les activités législatives et l’amélioration du site web ; le renforcement des capacités du personnel en TIC ; l’installation de nouveaux mobiliers dans l’hémicycle ; le développement d’une application pour afficher les résultats du vote électronique.
S’agissant du Projet de renforcement du système national de laboratoires de santé publique, d’un montant de 6 000 000 de dollars US, soit 3 630 000 000 FCfa, son objectif est de renforcer les capacités des laboratoires publics en matière de gestion de la qualité, de biosécurité et de sûreté biologique. Le projet prévoit de construire et d’équiper des laboratoires à Thiès, Louga et Kaolack. Aussi, est-il prévu :
- la formation (i) au test de tuberculose et d’autres maladies pathogènes, (ii) au système de surveillance des couches résistantes aux antibiotiques, (iii) pour la mise en place de capacités basées sur les biobanques pour les agents pathogènes des maladies infectieuses, (iv) au fonctionnement des laboratoires et à l’amélioration de la qualité ;
- la création d’un système de reporting des informations sanitaires des laboratoires ; et l’appui en équipements et au développement des manuels de santé publique.
D’après le communiqué de l’Assemblée nationale, le Projet d’appui à la modernisation des moyens de communication de l’Assemblée nationale est financé à hauteur de 6 000 000 de dollars US, soit 3 630 000 000 FCfa.
Son objectif est non seulement de renforcer l’efficience, l’efficacité et la transparence des activités de l’Assemblée nationale, mais aussi d’améliorer la communication publique par : la mise en place (i) d’un système de vote électronique et de conférence dans les activités législatives, (ii) d’un système de conférence audio et d’interprétation simultanée, (iii) d’un système de visioconférence, (iv) d’un système de gestion des enregistrements pour les activités législatives et l’amélioration du site web ; le renforcement des capacités du personnel en TIC ; l’installation de nouveaux mobiliers dans l’hémicycle ; le développement d’une application pour afficher les résultats du vote électronique.
S’agissant du Projet de renforcement du système national de laboratoires de santé publique, d’un montant de 6 000 000 de dollars US, soit 3 630 000 000 FCfa, son objectif est de renforcer les capacités des laboratoires publics en matière de gestion de la qualité, de biosécurité et de sûreté biologique. Le projet prévoit de construire et d’équiper des laboratoires à Thiès, Louga et Kaolack. Aussi, est-il prévu :
- la formation (i) au test de tuberculose et d’autres maladies pathogènes, (ii) au système de surveillance des couches résistantes aux antibiotiques, (iii) pour la mise en place de capacités basées sur les biobanques pour les agents pathogènes des maladies infectieuses, (iv) au fonctionnement des laboratoires et à l’amélioration de la qualité ;
- la création d’un système de reporting des informations sanitaires des laboratoires ; et l’appui en équipements et au développement des manuels de santé publique.