Cette loi, adoptée à la veille de la présidentielle de mars 2024, avait pour objectif de mettre fin à de nombreuses procédures judiciaires contre des manifestants et des opposants politiques.
L’annonce de Ousmane Sonko intervient après des critiques de l’opposition et de la société civile, qui dénoncent une mesure d’amnistie perçue comme une tentative de blanchir des actes répressifs.
L’abrogation de cette loi pourrait entraîner la réactivation de charges contre des individus précédemment amnistiés. Cette initiative s’inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer la justice et la réconciliation nationale, en répondant aux préoccupations exprimées par divers acteurs de la société sénégalaise.
L’annonce de Ousmane Sonko intervient après des critiques de l’opposition et de la société civile, qui dénoncent une mesure d’amnistie perçue comme une tentative de blanchir des actes répressifs.
L’abrogation de cette loi pourrait entraîner la réactivation de charges contre des individus précédemment amnistiés. Cette initiative s’inscrit dans la volonté du gouvernement de renforcer la justice et la réconciliation nationale, en répondant aux préoccupations exprimées par divers acteurs de la société sénégalaise.