Les députés de l’opposition regroupés au sein du groupe parlementaire "Liberté et démocratie" et leurs collègues non-inscrits ont perturbé les travaux. Me Madické Niang et ses collègues ont commencé à taper sur les tables, exigeant un « appel au règlement », pendant la lecture du rapport de l’ordre du jour.
Mais, la lecture a été poursuivie et les perturbateurs ont, dans un premier temps, boudé la séance avant de revenir à de meilleurs sentiments sur les conseils avisés de Cheikh Bamba Dièye.
Puis, le président du groupe parlementaire libéral a demandé un ajournement des travaux. Car, Madické Niang considère qu’à tout moment, au cours de la discussion et jusqu’à la clôture, il est permis au député d’intervenir. « Ma question concerne une demande d’ajournement et elle ne se fait pas après lecture du rapport. C’est une question préjudicielle qui doit se poser avant le débat », a-t-il souligné.
Sa requête a été royalement ignorée et les travaux se sont poursuivis toujours perturbés par les députés de l’opposition et les non-inscrits. Sachant que le président, Moustapha Niasse allait voter la ratification, les députés de l’opposition ont alors décidé de bouder, pour de bon. Ainsi, la commission a été installée avec 116 voix pour, une voix contre et zéro abstention…
La rédaction de leral.net
Mais, la lecture a été poursuivie et les perturbateurs ont, dans un premier temps, boudé la séance avant de revenir à de meilleurs sentiments sur les conseils avisés de Cheikh Bamba Dièye.
Puis, le président du groupe parlementaire libéral a demandé un ajournement des travaux. Car, Madické Niang considère qu’à tout moment, au cours de la discussion et jusqu’à la clôture, il est permis au député d’intervenir. « Ma question concerne une demande d’ajournement et elle ne se fait pas après lecture du rapport. C’est une question préjudicielle qui doit se poser avant le débat », a-t-il souligné.
Sa requête a été royalement ignorée et les travaux se sont poursuivis toujours perturbés par les députés de l’opposition et les non-inscrits. Sachant que le président, Moustapha Niasse allait voter la ratification, les députés de l’opposition ont alors décidé de bouder, pour de bon. Ainsi, la commission a été installée avec 116 voix pour, une voix contre et zéro abstention…
La rédaction de leral.net