L’Assomption, célébration de la montée de la Vierge Marie au ciel, le jour de la 15 août, est une fête solennelle du calendrier liturgique catholique. Le terme assomption provient du verbe latin « assumere » qui signifie (prendre, enlever). Cette fête est une occasion de plus pour les catholiques du monde entier, à travers une prière, de rendre hommage à la mère du Christ.
Marie, Vierge immaculée, modèle de foi et de charité est ainsi fêtée solennellement par l’Eglise catholique depuis 1950. Depuis lors, la tradition de cette fête s’est imposée au sein de l’Eglise après que le Pape Pie XII, en vertu de son autorité de vicaire du Christ, a proclamé avec la constitution apostolique « munificentissimus deus », le dogme qui énonce que Marie immaculée, Mère de Dieu, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste.
Le pape Paul VI est revenu sur le sujet de la glorification de Marie dans son exhortation apostolique « Marialis cultus », au mois de février de l’année 1974, rapportent les archives du quotidien national « le Soleil ». Il a, d’ailleurs, considéré cette fête comme un destin de plénitude et de béatitude de la glorification de son âme immaculée et de son corps virginal, de sa parfaite configuration au Christ ressuscité. Marie, la mère de Jésus sauveur de l’humanité, propose à l’Eglise et à l’humanité l’image et la confirmation consolante que se réalisera l’espérance finale. Paul VI dit dans « Marialis cultus » que cette glorification totale est le destin de tout ce peuple ayant en commun avec eux le sang et la chair de Jésus-Christ. a sainteté de Marie, le mystère de sa conception immaculée sont également au centre de l’encyclique « redemptoris mater » du pape Jean Paul II, de mars 1988. La Vierge Marie, consacrée à la gloire éternelle à travers la fête de l’Assomption, se présente mieux sous les traits de cette femme exceptionnelle, objet d’un culte comme un signe d’espoir sans limite pour le bonheur des hommes sur terre.
Marie, Vierge immaculée, modèle de foi et de charité est ainsi fêtée solennellement par l’Eglise catholique depuis 1950. Depuis lors, la tradition de cette fête s’est imposée au sein de l’Eglise après que le Pape Pie XII, en vertu de son autorité de vicaire du Christ, a proclamé avec la constitution apostolique « munificentissimus deus », le dogme qui énonce que Marie immaculée, Mère de Dieu, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste.
Le pape Paul VI est revenu sur le sujet de la glorification de Marie dans son exhortation apostolique « Marialis cultus », au mois de février de l’année 1974, rapportent les archives du quotidien national « le Soleil ». Il a, d’ailleurs, considéré cette fête comme un destin de plénitude et de béatitude de la glorification de son âme immaculée et de son corps virginal, de sa parfaite configuration au Christ ressuscité. Marie, la mère de Jésus sauveur de l’humanité, propose à l’Eglise et à l’humanité l’image et la confirmation consolante que se réalisera l’espérance finale. Paul VI dit dans « Marialis cultus » que cette glorification totale est le destin de tout ce peuple ayant en commun avec eux le sang et la chair de Jésus-Christ. a sainteté de Marie, le mystère de sa conception immaculée sont également au centre de l’encyclique « redemptoris mater » du pape Jean Paul II, de mars 1988. La Vierge Marie, consacrée à la gloire éternelle à travers la fête de l’Assomption, se présente mieux sous les traits de cette femme exceptionnelle, objet d’un culte comme un signe d’espoir sans limite pour le bonheur des hommes sur terre.