La Sécurité Sanitaire des Aliments (SSA) constitue un maillon essentiel dans l'atteinte d'une sécurité alimentaire durable avec pour objectif d'assurer un meilleur accès à des aliments sains et nutritifs. Toutefois, la nécessité d’accroître les disponibilités alimentaires doit s'accompagner d'une obligation de fournir une nourriture saine. La mise en place d'un système efficace de SSA est essentielle pour la garantie de la qualité de l'offre de denrées alimentaires, en vue de la protection des consommateurs et du renforcement de la compétitivité des productions locales.
Ainsi sous l'égide du CNCA, qui a eu à assurer jusqu'à maintenant le suivi opérationnel de différentes initiatives multisectorielles visant à renforcer la SSA au Sénégal, et en accord avec les parties prenantes de la SSA, il a été convenu d'élaborer une Stratégie nationale de SSA, qui sera le document national de référence.
C'est dans ce contexte qu'avec le soutien de l'OM, le Cabinet Bioscope a été recruté afin d'accompagner le processus d'élaboration de cette Stratégie. Les travaux du Cabinet BIOSCOPE ont été validés à différentes étapes par les membres du Comité technique interministériel mis en place à cet effet.
"L'objectif principal est d'assurer un meilleur accès à des aliments sains et nutritifs. Depuis une dizaine d'années il y a eu tout une dynamique de collaboration entre les différents ministères, les questions de Sécurité Sanitaire des Aliments sont transversales et c'est important à un moment, qu'on s’arrête et qu'on se dote d'un document d'orientation politique mais également d'un document assorti d'un plan opérationnel pour résolument améliorer la question des aliments.
On attend à ce que le Sénégal puisse avoir un document de référence qui soit en cohérence avec le politique socio économique (Pse) et qui permettrait de fédérer toutes les initiatives en de différents ministères en associant le secteur privé, les associations de consommateurs, entre autres", a fait savoir Babacar Samb.
En ce qui concerne les stratégies mises en place pour réduire les maladies liés à la sécurité sanitaire dans ce plan, différentes activités seront mises en place pour pouvoir mesurer l'impact des aliments de mauvaise qualité en rapport avec les problèmes de santé publique qui vont être relevés à l'échelle nationale.
Par ailleurs, ce programme permettra d'avoir un système d'évaluation des risques, c'est-à-dire travailler à mettre en place un système de gestion des risques.
Ainsi sous l'égide du CNCA, qui a eu à assurer jusqu'à maintenant le suivi opérationnel de différentes initiatives multisectorielles visant à renforcer la SSA au Sénégal, et en accord avec les parties prenantes de la SSA, il a été convenu d'élaborer une Stratégie nationale de SSA, qui sera le document national de référence.
C'est dans ce contexte qu'avec le soutien de l'OM, le Cabinet Bioscope a été recruté afin d'accompagner le processus d'élaboration de cette Stratégie. Les travaux du Cabinet BIOSCOPE ont été validés à différentes étapes par les membres du Comité technique interministériel mis en place à cet effet.
"L'objectif principal est d'assurer un meilleur accès à des aliments sains et nutritifs. Depuis une dizaine d'années il y a eu tout une dynamique de collaboration entre les différents ministères, les questions de Sécurité Sanitaire des Aliments sont transversales et c'est important à un moment, qu'on s’arrête et qu'on se dote d'un document d'orientation politique mais également d'un document assorti d'un plan opérationnel pour résolument améliorer la question des aliments.
On attend à ce que le Sénégal puisse avoir un document de référence qui soit en cohérence avec le politique socio économique (Pse) et qui permettrait de fédérer toutes les initiatives en de différents ministères en associant le secteur privé, les associations de consommateurs, entre autres", a fait savoir Babacar Samb.
En ce qui concerne les stratégies mises en place pour réduire les maladies liés à la sécurité sanitaire dans ce plan, différentes activités seront mises en place pour pouvoir mesurer l'impact des aliments de mauvaise qualité en rapport avec les problèmes de santé publique qui vont être relevés à l'échelle nationale.
Par ailleurs, ce programme permettra d'avoir un système d'évaluation des risques, c'est-à-dire travailler à mettre en place un système de gestion des risques.