Le complot international qui a cours actuellement contre la Côte d’Ivoire et son Président démocratiquement élu, Laurent Gbagbo est de plus en plus décrié à travers le monde entier.
Paris, à travers le Président français, Nicolas Sarkozy soutenu par Barack Obama a dressé l’Union européenne, des pays de la Cedeao et de l’Ua contre le chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo. Vu que leurs intimidations, ultimatums et diverses sanctions sont apparus inefficaces, l’Occident joue désormais la carte de l’assassinat pur et simple du Président de la Côte d’Ivoire.
L’Elysée et la Maison Blanche qui ne veulent pas se salir les mains, ont décidé de confier le sale boulot à leurs esclaves africains. Notamment les Nigérians, les Burkinabè et des mercenaires d’autres pays de la sous-région. Depuis quelques jours, ces soldats de la mort sont déversés à Bouaké par des avions français et américains. Ces avions font débarquer également des barbouzes français venus de Djibouti, du Comores, du Gabon. Ils ont pour mission d’éliminer dans les plus brefs délais, le Président que les Ivoiriens dans leur grande majorité ont élu à la tête de leur pays. Ce complot international ourdi par la France et les Etats-Unis va échouer. Parce que l’Armée ivoirienne et son peuple vont se battre corps et âme pour défendre la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Cet élan de résistance des Ivoiriens, est soutenu à l’extérieur. Le Vatican, à en croire le site maghrébin (www.maghrébin-intelligence.com), a décidé de soutenir la légalité constitutionnelle incarnée par Laurent Gbagbo. «L’Union européenne ne cache pas sa fureur contre le Vatican. Alors que toute la communauté internationale a choisi de se ranger du côté de la « légalité » et de soutenir Alassane Ouattara, le « président élu » le Vatican et son représentant à Abidjan ont choisi de se mettre ostensiblement du côté du Président Laurent Gbagbo », révèle ce site arabe. Voilà qui est clair, Le pape Benoit XVI refuse de cautionner le renversement d’un pouvoir légal et légitime par des puissances étrangères. Le choix du Vatican, poursuit ce site, a été fortement influencé par l’Opus Dei. Appui et soutien qui n’ont pas plu du tout à toute l’Europe qui est déterminée à en finir avec le pouvoir Gbagbo. «Ce qui a irrité les dirigeants européens et notamment le Président français, c’est que le choix du Vatican a été fait sous la pression de l’Opus Dei, pour qui Laurent Gbagbo et sa femme Simone sont des têtes de ponts en Afrique de l’Ouest », avoue encore le site arabe. Cette prise de position du Vatican, met en mal ainsi le complot international que veut opérer la France et ses alliés. Le Vatican ne veut pas se faire complice d’une déstabilisation d’un pays de surcroît qui a sur son territoire la plus grande basilique chrétienne du monde. « Aujourd’hui, la position du Vatican indispose fortement la communauté internationale qui veut isoler le régime de Laurent Gbagbo qu’elle traite d’usurpateur.
Alerté par la chaleureuse audience accordée par Laurent Gbagbo au Nonce apostolique en poste à Abidjan, les chefs d’Etat sénégalais et burkinabé se sont plaints auprès de Sarkozy et l’ont mis en garde contre toute confessionnalisation du conflit », a mis à nu le site en question. Cette sortie du Vatican est la preuve manifeste que Dieu a pris fait et cause pour les Ivoiriens et leur Président Laurent Gbagbo. Le diable ne triomphera jamais des enfants de Dieu.
Fabrice Tété Le Temps
Paris, à travers le Président français, Nicolas Sarkozy soutenu par Barack Obama a dressé l’Union européenne, des pays de la Cedeao et de l’Ua contre le chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo. Vu que leurs intimidations, ultimatums et diverses sanctions sont apparus inefficaces, l’Occident joue désormais la carte de l’assassinat pur et simple du Président de la Côte d’Ivoire.
L’Elysée et la Maison Blanche qui ne veulent pas se salir les mains, ont décidé de confier le sale boulot à leurs esclaves africains. Notamment les Nigérians, les Burkinabè et des mercenaires d’autres pays de la sous-région. Depuis quelques jours, ces soldats de la mort sont déversés à Bouaké par des avions français et américains. Ces avions font débarquer également des barbouzes français venus de Djibouti, du Comores, du Gabon. Ils ont pour mission d’éliminer dans les plus brefs délais, le Président que les Ivoiriens dans leur grande majorité ont élu à la tête de leur pays. Ce complot international ourdi par la France et les Etats-Unis va échouer. Parce que l’Armée ivoirienne et son peuple vont se battre corps et âme pour défendre la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Cet élan de résistance des Ivoiriens, est soutenu à l’extérieur. Le Vatican, à en croire le site maghrébin (www.maghrébin-intelligence.com), a décidé de soutenir la légalité constitutionnelle incarnée par Laurent Gbagbo. «L’Union européenne ne cache pas sa fureur contre le Vatican. Alors que toute la communauté internationale a choisi de se ranger du côté de la « légalité » et de soutenir Alassane Ouattara, le « président élu » le Vatican et son représentant à Abidjan ont choisi de se mettre ostensiblement du côté du Président Laurent Gbagbo », révèle ce site arabe. Voilà qui est clair, Le pape Benoit XVI refuse de cautionner le renversement d’un pouvoir légal et légitime par des puissances étrangères. Le choix du Vatican, poursuit ce site, a été fortement influencé par l’Opus Dei. Appui et soutien qui n’ont pas plu du tout à toute l’Europe qui est déterminée à en finir avec le pouvoir Gbagbo. «Ce qui a irrité les dirigeants européens et notamment le Président français, c’est que le choix du Vatican a été fait sous la pression de l’Opus Dei, pour qui Laurent Gbagbo et sa femme Simone sont des têtes de ponts en Afrique de l’Ouest », avoue encore le site arabe. Cette prise de position du Vatican, met en mal ainsi le complot international que veut opérer la France et ses alliés. Le Vatican ne veut pas se faire complice d’une déstabilisation d’un pays de surcroît qui a sur son territoire la plus grande basilique chrétienne du monde. « Aujourd’hui, la position du Vatican indispose fortement la communauté internationale qui veut isoler le régime de Laurent Gbagbo qu’elle traite d’usurpateur.
Alerté par la chaleureuse audience accordée par Laurent Gbagbo au Nonce apostolique en poste à Abidjan, les chefs d’Etat sénégalais et burkinabé se sont plaints auprès de Sarkozy et l’ont mis en garde contre toute confessionnalisation du conflit », a mis à nu le site en question. Cette sortie du Vatican est la preuve manifeste que Dieu a pris fait et cause pour les Ivoiriens et leur Président Laurent Gbagbo. Le diable ne triomphera jamais des enfants de Dieu.
Fabrice Tété Le Temps