Depuis fin janvier et les premiers signalements de cas de coronavirus en France, les enquêteurs de la plateforme de signalement Pharos veillent sur les tentatives d’escroquerie ou de piratage. Ce genre d’arnaques « reste ponctuel pour l’instant mais on sait que cela va aller en grandissant » avec la progression du coronavirus, assure une enquêtrice.
Piège
Le site coronavirusmap.com propose ainsi une carte interactive de l’évolution de la pandémie au niveau mondial mais c’est en réalité; un piège. Derrière cette application se cache un « malware » qui « a pour fonction de capter tout ce qu’il y a dans le téléphone ou l’ordinateur » (mots de passe, identifiants, cookies, historiques de navigation, etc.), prévient l’enquêtrice. Des données qui seront ensuite utilisées ou revendues par les pirates informatiques.
Pour inciter à cliquer, le malware affiche une carte qui ressemble à celle de l’Université Johns Hopkins, que vous pouvez consulter à cette adresse.
Attentions aux mails
Les enquêteurs anti-cybercriminalité mettent également en garde contre des mails prétendument envoyés par des ONG proposant de nouvelles informations et de télécharger des pièces jointes. Là encore, des virus peuvent se cacher dans la pièce jointe.
La prudence est aussi de mise pour les sites internet proposant la vente de masques ou de solutions hydroalcooliques. Il est donc recommandé de se renseigner sur des sites fiables, connus ou officiels. En cas de problème, la Police nationale demande d’effectuer un signalement sur Pharos (www.internet-signalement.gouv.fr). Les enquêteurs peuvent à l’occasion, orienter vers des outils de désinstallation des logiciels malveillants.
Piège
Le site coronavirusmap.com propose ainsi une carte interactive de l’évolution de la pandémie au niveau mondial mais c’est en réalité; un piège. Derrière cette application se cache un « malware » qui « a pour fonction de capter tout ce qu’il y a dans le téléphone ou l’ordinateur » (mots de passe, identifiants, cookies, historiques de navigation, etc.), prévient l’enquêtrice. Des données qui seront ensuite utilisées ou revendues par les pirates informatiques.
Pour inciter à cliquer, le malware affiche une carte qui ressemble à celle de l’Université Johns Hopkins, que vous pouvez consulter à cette adresse.
Attentions aux mails
Les enquêteurs anti-cybercriminalité mettent également en garde contre des mails prétendument envoyés par des ONG proposant de nouvelles informations et de télécharger des pièces jointes. Là encore, des virus peuvent se cacher dans la pièce jointe.
La prudence est aussi de mise pour les sites internet proposant la vente de masques ou de solutions hydroalcooliques. Il est donc recommandé de se renseigner sur des sites fiables, connus ou officiels. En cas de problème, la Police nationale demande d’effectuer un signalement sur Pharos (www.internet-signalement.gouv.fr). Les enquêteurs peuvent à l’occasion, orienter vers des outils de désinstallation des logiciels malveillants.