« Les problèmes majeurs de la danse sont en effet la formation et le financement, mais hormis cela, le ministre de la culture a fait un effort en créant la mutuelle des artistes et surtout le décret d’application de la Sodav qui peut aider, non seulement les danseurs, mais également, les artistes à surmonter beaucoup de problèmes », explique Malal Ndiaye.
Cette journée qui a toujours été célébrée au Sénégal, a connu des progrès cette année. C’est dans ce sens que le président Ndiaye nous informe que: « cette année il y a eu une évolution dans le programme car, depuis trois (3) mois, notre association et la Direction des arts entretiennent des discussions sur des programmes pour cette journée, et, même au-delà».
Et Malal de poursuivre sur les ondes de Walf fm: «C’est vrai qu’il y avait beaucoup de problèmes entre les danseurs et la Direction des arts concernant le manque de production, de formation, mais aussi d’accompagnement pour le développement de la danse au Sénégal »
Et pour y arriver, Malal Ndiaye propose quelques ébauches de pistes parmi lesquelles la mise sur pied d’un programme de formation et d’accompagnement des danseurs. Ce projet, informe-t-il, est en discussion avec leur ministre de tutelle. Et, s’il aboutit, réglera définitivement « le problème des danses obscènes ».
pressafrik.com
Cette journée qui a toujours été célébrée au Sénégal, a connu des progrès cette année. C’est dans ce sens que le président Ndiaye nous informe que: « cette année il y a eu une évolution dans le programme car, depuis trois (3) mois, notre association et la Direction des arts entretiennent des discussions sur des programmes pour cette journée, et, même au-delà».
Et Malal de poursuivre sur les ondes de Walf fm: «C’est vrai qu’il y avait beaucoup de problèmes entre les danseurs et la Direction des arts concernant le manque de production, de formation, mais aussi d’accompagnement pour le développement de la danse au Sénégal »
Et pour y arriver, Malal Ndiaye propose quelques ébauches de pistes parmi lesquelles la mise sur pied d’un programme de formation et d’accompagnement des danseurs. Ce projet, informe-t-il, est en discussion avec leur ministre de tutelle. Et, s’il aboutit, réglera définitivement « le problème des danses obscènes ».
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