’’C’est juste mon beau fils qui m’a rapporté avoir entendu sur les ondes d’une radio de la place que Fatou était vivante mais jusqu’à présent je n’ai aucune nouvelle concrète’’, a -t-il notamment déclaré au cours d’un entretien téléphonique.
M Fall a ajouté que ’’c’est après cela qu’il a eu à contacter le directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères, Mamadou Ndiaye, qui lui a promis de lui donner des nouvelles’’.
Aboubacar Fall, très croyant, souhaite retrouver ’’sa fille intacte, sans handicap pour ne pas faire souffrir ses proches’’.
Par ailleurs, il fonde beaucoup ’’d’espoirs sur les recherches qui sont menées de part et d’autre’’, soulignant toutefois n’avoir pas ’’peur de la mort’’.
Ogo Sow, un communicateur sénégalais basé à Atlanta (Etats-Unis d’Amérique), s’est beaucoup impliqué dans les recherches dans l’espoir de retrouver Fatou Fall depuis ’’la parution (samedi) de la dépêche de l’Agence de presse sénégalaise (APS)" faisant étant du désarroi de Aboubacar Fall.
’’C’est le problème de tous les Sénégalais et tant qu’il n’y a pas de déclaration officielle, les recherches vont se poursuivre, j’ai même été mis en rapport avec le commissaire de Port au Prince’’, a dit M. Sow.
Travaillant, depuis près de 20 ans en étroite collaboration ave la communauté haïtienne, il a activé ‘’ses connaissances au Canada et en Haïti’’ pour pouvoir trouver la moindre indice qui puisse prouver que la jeune sénégalaise est encore vivante.
Née le 26 juillet 1983 à Diamaguène (banlieue de Dakar), Fatou Fall avait quitté Dakar en octobre 2008 pour se rendre en Haïti. Elle fréquentait l’Institut pour la gestion de la Caraïbe où elle est inscrite en master 2 (gestion) grâce à une bourse de la Francophonie.
M Fall a ajouté que ’’c’est après cela qu’il a eu à contacter le directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères, Mamadou Ndiaye, qui lui a promis de lui donner des nouvelles’’.
Aboubacar Fall, très croyant, souhaite retrouver ’’sa fille intacte, sans handicap pour ne pas faire souffrir ses proches’’.
Par ailleurs, il fonde beaucoup ’’d’espoirs sur les recherches qui sont menées de part et d’autre’’, soulignant toutefois n’avoir pas ’’peur de la mort’’.
Ogo Sow, un communicateur sénégalais basé à Atlanta (Etats-Unis d’Amérique), s’est beaucoup impliqué dans les recherches dans l’espoir de retrouver Fatou Fall depuis ’’la parution (samedi) de la dépêche de l’Agence de presse sénégalaise (APS)" faisant étant du désarroi de Aboubacar Fall.
’’C’est le problème de tous les Sénégalais et tant qu’il n’y a pas de déclaration officielle, les recherches vont se poursuivre, j’ai même été mis en rapport avec le commissaire de Port au Prince’’, a dit M. Sow.
Travaillant, depuis près de 20 ans en étroite collaboration ave la communauté haïtienne, il a activé ‘’ses connaissances au Canada et en Haïti’’ pour pouvoir trouver la moindre indice qui puisse prouver que la jeune sénégalaise est encore vivante.
Née le 26 juillet 1983 à Diamaguène (banlieue de Dakar), Fatou Fall avait quitté Dakar en octobre 2008 pour se rendre en Haïti. Elle fréquentait l’Institut pour la gestion de la Caraïbe où elle est inscrite en master 2 (gestion) grâce à une bourse de la Francophonie.