Répondant à la question du présentateur de l’émission Grand jury sur une comparaison Sénégal/ Togo, Ousmane Camara répond que nous sommes comme tout le monde, n’importe quoi peut se’ passer ici comme ailleurs, nous devons rester modestes et humbles. Avant d’ajouter que nous devons travailler pour faire triompher la démocratie.
Sur les contestations de Me Wade en 1988, le magistrat Ousmane Camara, ancien Président de la Cour Suprême réaffirme que Diouf avait gagné même s’il reconnaît qu’il était difficile de contrôler toute la chaîne électorale.
Dimanche 25 Juillet 2010
Ndiaga DIOUF
Sur les contestations de Me Wade en 1988, le magistrat Ousmane Camara, ancien Président de la Cour Suprême réaffirme que Diouf avait gagné même s’il reconnaît qu’il était difficile de contrôler toute la chaîne électorale.
Dimanche 25 Juillet 2010
Ndiaga DIOUF
Indépendance de la justice : le magistrat Ousmane Camara demande aux juges de prendre leurs responsabilités.
Le magistrat Ousmane Camara apporte son point de vue sur l’indépendance de la magistrature relativement à l’existence du Conseil Supérieur de la magistrature dirigé par le Président de la
République. Il doute de l’efficacité de la suppression d’un tel organe considéré par certains comme le cordon ombilical entre l’exécutif et le judiciaire.
Pour les juges qui se disent non indépendants du fait de l’existence d’un tel organe, le magistrat en voit une fuite de responsabilité. Mieux, il relève là de l’égoïsme car les magistrats ne sont pas seuls dans la justice, il y a les greffiers, les avocats et tout cet ensemble a besoin d’un ministère qui s’occupe de l’organisation matérielle de la justice.
Le magistrat qui dit ne pas gêner par l’existence du Conseil supérieur de la magistrature était pour la deuxième fois ce dimanche dans l’émission Grand jury de la RFM, le débat tournait autour de son livre publié récemment : Mémoire d’un juge africain, itinéraire d’un homme libre.
Dimanche 25 Juillet 2010
Ndiaga DIOUF
République. Il doute de l’efficacité de la suppression d’un tel organe considéré par certains comme le cordon ombilical entre l’exécutif et le judiciaire.
Pour les juges qui se disent non indépendants du fait de l’existence d’un tel organe, le magistrat en voit une fuite de responsabilité. Mieux, il relève là de l’égoïsme car les magistrats ne sont pas seuls dans la justice, il y a les greffiers, les avocats et tout cet ensemble a besoin d’un ministère qui s’occupe de l’organisation matérielle de la justice.
Le magistrat qui dit ne pas gêner par l’existence du Conseil supérieur de la magistrature était pour la deuxième fois ce dimanche dans l’émission Grand jury de la RFM, le débat tournait autour de son livre publié récemment : Mémoire d’un juge africain, itinéraire d’un homme libre.
Dimanche 25 Juillet 2010
Ndiaga DIOUF
Présidentielle 88 : Ousmane Camara confirme la victoire de Diouf et réclame les PV de Wade
L’ancien président de la Cour suprême, Ousmane Camara, sur les ondes de la Rfm est revenu sur la Présidentielle de 1988. Et c’est pour dire que c’est Abdou Diouf qui avait effectivement remporté cette élection. Contrairement à ce que pensait son challenger d’alors actuel président de la République, Me Abdoulaye Wade.
« Sur la base des procès verbaux qui sont parvenus sous scellés à la Cour Suprême que nous avions statué, c’est Abdou Diouf qui avait gagné. », a dit Ousmane Camara.
« Me Wade avait dit qu’il détenait par-devers lui les vrais procès verbaux qu’il avait gardés à l’étranger. Je demande le retour de ces Pv pour les confronter à ceux qui sont actuellement gardés aux archives nationales pour éclairer la lanterne des Sénégalais », s’est-il exprimé.
Sur la dévolution monarchique du pouvoir, l’ancien magistrat estime que « ce sont des mots. » « On oublie une donnée, celle du citoyen sénégalais détenteur de sa carte électorale. Moi, je crois en la carte électorale ». Par ailleurs, il demande aux Sénégalais d’être vigilants. Car ce qui est arrivé à l’étranger peut arriver chez nous. »
Source : Pressafrik.com ; Ferloo.com
L’ancien président de la Cour suprême, Ousmane Camara, sur les ondes de la Rfm est revenu sur la Présidentielle de 1988. Et c’est pour dire que c’est Abdou Diouf qui avait effectivement remporté cette élection. Contrairement à ce que pensait son challenger d’alors actuel président de la République, Me Abdoulaye Wade.
« Sur la base des procès verbaux qui sont parvenus sous scellés à la Cour Suprême que nous avions statué, c’est Abdou Diouf qui avait gagné. », a dit Ousmane Camara.
« Me Wade avait dit qu’il détenait par-devers lui les vrais procès verbaux qu’il avait gardés à l’étranger. Je demande le retour de ces Pv pour les confronter à ceux qui sont actuellement gardés aux archives nationales pour éclairer la lanterne des Sénégalais », s’est-il exprimé.
Sur la dévolution monarchique du pouvoir, l’ancien magistrat estime que « ce sont des mots. » « On oublie une donnée, celle du citoyen sénégalais détenteur de sa carte électorale. Moi, je crois en la carte électorale ». Par ailleurs, il demande aux Sénégalais d’être vigilants. Car ce qui est arrivé à l’étranger peut arriver chez nous. »
Source : Pressafrik.com ; Ferloo.com