Ce dernier tirant une conclusion de la crise qui secoue l’Egypte a interpellé le président Wade sur un fait. « La leçon que le chef de l’Etat doit tirer de tout ce qui se passe en Egypte, c’est qu’il n’est plus possible de mettre son fils à la tête de l’Etat. Un phénomène est en train de se développer en Afrique noire. C’est la dévolution monarchique du pouvoir. Wade ne doit pas, après son règne, mettre son fils », dit fraîchement le journaliste. Tout ce qu’il ne fallait pas dire.
En tout cas pas devant le vice-président de l'Assemblée nationale qui entre dans tous ses états. D’abord pour fustiger l’attitude de la journaliste qui présentait l’émission. «Vous ne m’aviez pas dit dans l’invitation que le cas du Sénégal serait évoqué dans l’émission sinon je me serais préparé en conséquence », reproche le professeur Iba Der Thiam à Ndeye Astou Gueye. Et de réorienter son « kalachnikov » pour décharger toute sa « munition » sur Cheikh Yérim Seck. « On comprend pourquoi tu avance de tels propos sur le président Wade. Mais cela ne nous surprend pas venant de toi qui ne caches pas ton parti pris. On sait pour qui tu roules ». Le public vient en appoint et murmure : « c’est Idy qui l’a fait ».
Et le Coordonnateur de la Cap 21 d’évacuer toute possibilité de voir Wade céder le pouvoir à son fils. « Je n’ai jamais entendu le président Wade dire qu’il donnera les rênes de ce pays à son fils », dégage-t-il en touche.
Ne restant pas sur la touche, Cheikh Yérim qui ne voulait pas se faire passer un savon aussi…froid revient à la charge. « Je ne vais pas polémiquer avec toi car tu es mon oncle. Mais aussi je ne me laisserai pas faire. Si Le professeur dit que j’ai un parti pris, il ne peut le prouver. J’ai mes convictions que je ne mâcherai pas. C’est ça mon camp. Si je devais caresser quelqu’un dans le sens du poil, Wade est mieux placé que quiconque. Car il détient le pouvoir, l’argent etc. », rétorque le journaliste. C’est dans ce climat délétère que s’est terminé ce débat qui avait des invités de marque.
La réponse de Cheikh Yérim Seck en wolof
En tout cas pas devant le vice-président de l'Assemblée nationale qui entre dans tous ses états. D’abord pour fustiger l’attitude de la journaliste qui présentait l’émission. «Vous ne m’aviez pas dit dans l’invitation que le cas du Sénégal serait évoqué dans l’émission sinon je me serais préparé en conséquence », reproche le professeur Iba Der Thiam à Ndeye Astou Gueye. Et de réorienter son « kalachnikov » pour décharger toute sa « munition » sur Cheikh Yérim Seck. « On comprend pourquoi tu avance de tels propos sur le président Wade. Mais cela ne nous surprend pas venant de toi qui ne caches pas ton parti pris. On sait pour qui tu roules ». Le public vient en appoint et murmure : « c’est Idy qui l’a fait ».
Et le Coordonnateur de la Cap 21 d’évacuer toute possibilité de voir Wade céder le pouvoir à son fils. « Je n’ai jamais entendu le président Wade dire qu’il donnera les rênes de ce pays à son fils », dégage-t-il en touche.
Ne restant pas sur la touche, Cheikh Yérim qui ne voulait pas se faire passer un savon aussi…froid revient à la charge. « Je ne vais pas polémiquer avec toi car tu es mon oncle. Mais aussi je ne me laisserai pas faire. Si Le professeur dit que j’ai un parti pris, il ne peut le prouver. J’ai mes convictions que je ne mâcherai pas. C’est ça mon camp. Si je devais caresser quelqu’un dans le sens du poil, Wade est mieux placé que quiconque. Car il détient le pouvoir, l’argent etc. », rétorque le journaliste. C’est dans ce climat délétère que s’est terminé ce débat qui avait des invités de marque.
La réponse de Cheikh Yérim Seck en wolof