Une déclaration du Président Abdoulaye Wade en 2007 (ref. archive 1218 [archipo]) contredit Doudou Wade qui défend que la constitution permet au Président Wade de se représenter en 2012.
« C’est un opposant, leader de parti qui évoque ce débat après avoir été limogé de son poste de ministre conseiller du Président de la République », déclare-t-il. « Si tel est le cas, Pr Pape Demba Sy doit reconnaître qu’il a mal écrit ».
Mais il y a différence de ton entre la déclaration de Doudou Wade sur la question et les propos de Me Wade dans le site archipo.com visité par Rfm dans lequel le président de la République déclare ne pas pouvoir se présenter pour un troisième mandat. Dans archipo. com, Me Wade soutient en substance qu’il ne peut pas se présenter pour un troisième mandat. "J’ai bloqué le nombre de mandats à deux. (…) En tout état de cause, mon successeur ne sera pas Idrissa Seck car j’ai définitivement rompu avec lui (…) », a-t-il dit.
Cependant, le député libéral reconnaît dès l’entame de son propos que « le problème de la Constitution d’un pays est assez complexe ». Toutefois, ajoute-t-il, « la loi sur la parité tout comme celle qui donne la possibilité au Sénégal de juger Hissène Habré ne pouvaient être pas possibles que s’il n’avait pas un moyen de modifier la Constitution ».
Par ailleurs, Doudou Wade reconnaît le bouillonnement au niveau de l’entourage du chef de l’Etat, mais il estime que tout cela relève de la nature humaine. Surtout, soutient-il, que « nous ne sommes pas dans la situation de 2000 mais dans celle de 2010. Ce qui est sûr, c’est que le souci premier de chacun autour du chef de l’Etat comme ailleurs dans le parti est de remobiliser les militants, de rassembler le maximum des Sénégalais pour réélire le président Wade de la manière transparente ».
Ferloo.com
Cependant, le député libéral reconnaît dès l’entame de son propos que « le problème de la Constitution d’un pays est assez complexe ». Toutefois, ajoute-t-il, « la loi sur la parité tout comme celle qui donne la possibilité au Sénégal de juger Hissène Habré ne pouvaient être pas possibles que s’il n’avait pas un moyen de modifier la Constitution ».
Par ailleurs, Doudou Wade reconnaît le bouillonnement au niveau de l’entourage du chef de l’Etat, mais il estime que tout cela relève de la nature humaine. Surtout, soutient-il, que « nous ne sommes pas dans la situation de 2000 mais dans celle de 2010. Ce qui est sûr, c’est que le souci premier de chacun autour du chef de l’Etat comme ailleurs dans le parti est de remobiliser les militants, de rassembler le maximum des Sénégalais pour réélire le président Wade de la manière transparente ».
Ferloo.com
Candidature à la Présidentielle de 2012 : Me Wade prend le contre-pied de Doudou Wade
Selon le président du groupe parlementaire démocratique libéral et démocratique, qui était l'invité de l'émission dominical de la Rfm, "Grand Jury", le président de la république, Me Abdoulaye Wade peut bel et bien se présenter aux élections de 2012.
Il soutient que le mandat qui a débuté en 2000 n’était pas intéressé par la nouvelle constitution de 2001. «Le mandat de la constitution de 1963, dans son application ne concerne pas le président parce qu’il y a une nouvelle constitution », a déclaré Doudou Wade pour qui «le démarrage de cette nouvelle constitution pour les élections présidentielles c’est à partir de 2007».
D’ailleurs, il dit ne pas comprendre les analyses des uns et des autres qui ne sont pas une lecture correcte. «Ce que je n’ai pas compris, c’est les analyses et les arguments des uns et des autres», a-t-il indiqué. «Parce que quand nous en sommes à des problèmes d’analyse et d’interprétation, cela veut que nous ne sommes pas dans une lecture correcte», a cru le militant du parti démocratique sénégalais.
Toutefois, en défendant la candidature de Me Wade, le président du groupe parlementaire démocratique et libéral se veut plus royaliste que le roi. En effet, il se fait contredire par le président de la république à travers une déclaration qu’il a faite à propos de la constitution en 2007.
Répondant à une question d’un journaliste, Me Wade disait que la Constitution limite le nombre de mandat à deux. Par conséquent, il ne peut pas se présenter en 2012. 7
pressafrik.com
Selon le président du groupe parlementaire démocratique libéral et démocratique, qui était l'invité de l'émission dominical de la Rfm, "Grand Jury", le président de la république, Me Abdoulaye Wade peut bel et bien se présenter aux élections de 2012.
Il soutient que le mandat qui a débuté en 2000 n’était pas intéressé par la nouvelle constitution de 2001. «Le mandat de la constitution de 1963, dans son application ne concerne pas le président parce qu’il y a une nouvelle constitution », a déclaré Doudou Wade pour qui «le démarrage de cette nouvelle constitution pour les élections présidentielles c’est à partir de 2007».
D’ailleurs, il dit ne pas comprendre les analyses des uns et des autres qui ne sont pas une lecture correcte. «Ce que je n’ai pas compris, c’est les analyses et les arguments des uns et des autres», a-t-il indiqué. «Parce que quand nous en sommes à des problèmes d’analyse et d’interprétation, cela veut que nous ne sommes pas dans une lecture correcte», a cru le militant du parti démocratique sénégalais.
Toutefois, en défendant la candidature de Me Wade, le président du groupe parlementaire démocratique et libéral se veut plus royaliste que le roi. En effet, il se fait contredire par le président de la république à travers une déclaration qu’il a faite à propos de la constitution en 2007.
Répondant à une question d’un journaliste, Me Wade disait que la Constitution limite le nombre de mandat à deux. Par conséquent, il ne peut pas se présenter en 2012. 7
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