"J'ai été très surpris, comme beaucoup de compatriotes, en apprenant par la télévision française que le président gabonais était décédé", a déclaré M. Eyeghe Ndong.
"Il y a des procédures: d'abord le président a une famille. Cette famille sait qu'au Gabon il y a une cellule de gouvernance. Si une telle situation se produit, je pense que la famille du président devait tout naturellement m'informer. Ce n'est pas le cas au moment où je vous parle", a-t-il expliqué.
M. Bongo est "hospitalisé dans une clinique à Barcelone", a rappelé le Premier ministre.
"Cette clinique a des autorités médicales habilitées à informer la République gabonaise (. . . ). Au moment je vous parle, ce n'est toujours pas le cas. Par conséquent je ne suis pas au courant du décès du président" Bongo, a assuré M. Eyeghe Ndong.
Le site internet de l'hebdomadaire français Le Point a annoncé dimanche la mort du président Bongo, au pouvoir depuis 41 ans. L'information a été confirmée à l'AFP à Paris par une source proche du gouvernement français.
Les autorités françaises ont cependant démenti "être à l'origine de l'information relative à l'éventuel décès du président Bongo dont elles ne sont pas informées", selon un porte-parole du Quai d'Orsay.
Doyen des chefs d'Etat africains en exercice, M. Bongo était hospitalisé depuis un mois à Barcelone, dans la clinique privée Quiron.
Selon les autorités gabonaises, le chef de l'Etat gabonais avait été hospitalisé pour un simple "bilan de santé". D'autres sources interrogées par l'AFP avaient au contraire indiqué qu'il se trouvait dans un état "grave", soigné pour un cancer.
La présidence gabonaise avait annoncé le 6 mai que M. Bongo, avait décidé "la suspension momentanée de ses activités" de chef de l'Etat et que "toutes les audiences présidentielles (seraient) suspendues jusqu'à nouvel ordre".
"Il y a des procédures: d'abord le président a une famille. Cette famille sait qu'au Gabon il y a une cellule de gouvernance. Si une telle situation se produit, je pense que la famille du président devait tout naturellement m'informer. Ce n'est pas le cas au moment où je vous parle", a-t-il expliqué.
M. Bongo est "hospitalisé dans une clinique à Barcelone", a rappelé le Premier ministre.
"Cette clinique a des autorités médicales habilitées à informer la République gabonaise (. . . ). Au moment je vous parle, ce n'est toujours pas le cas. Par conséquent je ne suis pas au courant du décès du président" Bongo, a assuré M. Eyeghe Ndong.
Le site internet de l'hebdomadaire français Le Point a annoncé dimanche la mort du président Bongo, au pouvoir depuis 41 ans. L'information a été confirmée à l'AFP à Paris par une source proche du gouvernement français.
Les autorités françaises ont cependant démenti "être à l'origine de l'information relative à l'éventuel décès du président Bongo dont elles ne sont pas informées", selon un porte-parole du Quai d'Orsay.
Doyen des chefs d'Etat africains en exercice, M. Bongo était hospitalisé depuis un mois à Barcelone, dans la clinique privée Quiron.
Selon les autorités gabonaises, le chef de l'Etat gabonais avait été hospitalisé pour un simple "bilan de santé". D'autres sources interrogées par l'AFP avaient au contraire indiqué qu'il se trouvait dans un état "grave", soigné pour un cancer.
La présidence gabonaise avait annoncé le 6 mai que M. Bongo, avait décidé "la suspension momentanée de ses activités" de chef de l'Etat et que "toutes les audiences présidentielles (seraient) suspendues jusqu'à nouvel ordre".
[Audio] Confusion autour de la mort d’Omar Bongo : Raphael N’Toutoume, porte-parole du gouvernement gabonais dément la mort de Bongo et Le premier ministre gabonais va faire une déclaration ce matin
La guerre des communiqués autour de la mort du président Omar Bongo Ondimba va prendre fin. Le premier ministre du Gabon, Jean Eyeghé Ndong, va lire un communiqué lundi 8 juin dans la matinée à la clinique Quiron de Barcelone, a indiqué l’établissement. Cette communication intervient après l’annonce, dimanche soir, de la mort d’Omar Bongo par le site du magazine Le Point, citant une source proche de son entourage.
Dans la matinée, le porte-parole du gouvernement gabonais avait démenti la mort du président, âgé de 73 ans, au pouvoir depuis quarante et un ans. "J’apporte dès maintenant un démenti formel total, a déclaré Raphaël N’Toutoume sur France Info. "Aux dernières nouvelles ça allait très bien, il devait même quitter la clinique. Nous nous préparons à recevoir le chef de l’Etat. On n’est pas encore fixé sur la date de son retour." Plus tôt, les autorités françaises ont fait savoir qu’elles n’avaient pas connaissance à ce stade du décès d’Omar Bongo et ont démenti être à l’origine des informations publiées dimanche soir à ce sujet.
Dimanche soir, le premier ministre gabonais a déclaré ne pas avoir confirmation du décès d’Omar Bongo, hospitalisé en mai près de Barcelone : "J’ai été très surpris, comme beaucoup de compatriotes, en apprenant par la télévision française que le président gabonais était décédé." L’avocat français d’Omar Bongo, Me Patrick Maisonneuve, a dit qu’il n’avait "rien à dire à ce sujet".
Doyen des chefs d’Etat africains en exercice, Omar Bongo était hospitalisé depuis un mois à Barcelone, dans la clinique privée Quiron. Selon les autorités gabonaises, il a été hospitalisé pour un simple "bilan de santé". D’autres sources ont au contraire indiqué qu’il se trouvait dans un état "grave", soigné pour un cancer. La présidence gabonaise avait annoncé le 6 mai que M. Bongo avait décidé "la suspension momentanée de ses activités" de chef de l’Etat, et que "toutes les audiences présidentielles étaient suspendues jusqu’à nouvel ordre".
et france-info
Dans la matinée, le porte-parole du gouvernement gabonais avait démenti la mort du président, âgé de 73 ans, au pouvoir depuis quarante et un ans. "J’apporte dès maintenant un démenti formel total, a déclaré Raphaël N’Toutoume sur France Info. "Aux dernières nouvelles ça allait très bien, il devait même quitter la clinique. Nous nous préparons à recevoir le chef de l’Etat. On n’est pas encore fixé sur la date de son retour." Plus tôt, les autorités françaises ont fait savoir qu’elles n’avaient pas connaissance à ce stade du décès d’Omar Bongo et ont démenti être à l’origine des informations publiées dimanche soir à ce sujet.
Dimanche soir, le premier ministre gabonais a déclaré ne pas avoir confirmation du décès d’Omar Bongo, hospitalisé en mai près de Barcelone : "J’ai été très surpris, comme beaucoup de compatriotes, en apprenant par la télévision française que le président gabonais était décédé." L’avocat français d’Omar Bongo, Me Patrick Maisonneuve, a dit qu’il n’avait "rien à dire à ce sujet".
Doyen des chefs d’Etat africains en exercice, Omar Bongo était hospitalisé depuis un mois à Barcelone, dans la clinique privée Quiron. Selon les autorités gabonaises, il a été hospitalisé pour un simple "bilan de santé". D’autres sources ont au contraire indiqué qu’il se trouvait dans un état "grave", soigné pour un cancer. La présidence gabonaise avait annoncé le 6 mai que M. Bongo avait décidé "la suspension momentanée de ses activités" de chef de l’Etat, et que "toutes les audiences présidentielles étaient suspendues jusqu’à nouvel ordre".
et france-info
Pape Alé Niang