Babacar Gueye, professeur de droit et constitionnaliste
Si le Conseil constitutionnel se déclare incompétent pour statuer sur une plainte de l’opposition contre la recevabilité de la candidature du président Abdoulaye Wade, il est possible de recourir à l’article 118 du code électoral. Cette disposition permet, selon le professeur, Babacar Gueye l’un des principaux rédacteurs de la Constitution, aux candidats de contester la candidature de Abdoulaye Wade même si le Conseil constitutionnel la valide.
Interroger longuement par la RFM sur ce débat qui fait actuellement les choux gras de la presse nationale, le professeur de Droit et constitutionnaliste, Babacar Gaye a clairement fait savoir : «il y a le mandat, sa durée et son renouvellement qui sont en question».
L’un des principaux artisans de la Constitution de 2001 a expliqué que «l’article 27 alinéa premier traite du mandat qui peut varier cinq ans, sept ans peut importe». Et de préciser que «l’article 27 alinéa deuxième traite du renouvellement du mandat et dit «le mandat du président de la République est renouvelable une seule fois». Il y a, selon lui, une distinction nette qui est faite entre le mandat lui-même et son renouvellement.
«L’alinéa premier de l’article 27 ne lui a pas été appliqué puisque l’alinéa premier dans la première mouture disait que le mandat est de cinq ans. Par la suite le mandat a été porté à sept ans. Mais qu’à cela ne tienne cela ne change pas le fond de l’article 27 notamment l’alinéa deux qui reste inchangé», a martelé le professeur de droit. Et de persister : «le mandat du président de la République est renouvelable qu’une seule fois. Il a fait un premier mandat en 2000, en 2007 il a été renouvelé. C’est terminé, il ne peut pas être à nouveau candidat».
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L’un des principaux artisans de la Constitution de 2001 a expliqué que «l’article 27 alinéa premier traite du mandat qui peut varier cinq ans, sept ans peut importe». Et de préciser que «l’article 27 alinéa deuxième traite du renouvellement du mandat et dit «le mandat du président de la République est renouvelable une seule fois». Il y a, selon lui, une distinction nette qui est faite entre le mandat lui-même et son renouvellement.
«L’alinéa premier de l’article 27 ne lui a pas été appliqué puisque l’alinéa premier dans la première mouture disait que le mandat est de cinq ans. Par la suite le mandat a été porté à sept ans. Mais qu’à cela ne tienne cela ne change pas le fond de l’article 27 notamment l’alinéa deux qui reste inchangé», a martelé le professeur de droit. Et de persister : «le mandat du président de la République est renouvelable qu’une seule fois. Il a fait un premier mandat en 2000, en 2007 il a été renouvelé. C’est terminé, il ne peut pas être à nouveau candidat».
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