Après avoir usé de tous les moyens pour être rétablis de leur droit, les jeunes libéraux de Touba exclus du processus d'installation des instances de l'union des jeunes travaillistes libéraux ( l'U.J.T.L) du département de Mbacké , ont entamé une grève de la faim illimitée depuis lundi pour dénoncer "l'attitude irresponsable " de Mamadou Seck le coordonnateur du renouvellement des bureaux de ladite structure libérale. "Nous réitérons nos accusations contre cet assistant incompétent de Wade dans le processus de renouvellement des instances de l'U.J.T.L qui nous a écarté sans fondement en refusant de reconnaitre notre comité de liaison rural et nos 6 délégués ", vilipende Moustapha Seck le porte-parole des grévistes qui poursuit :"Maintenant, après avoir usé de tous les moyens légaux pour être établi , sans gain de cause, maintenant nous préférons franchir le rubicond et se lancer dans une grève de la faim illimitée pourvu qu'on soit ramené de nos droits "
Ces grévistes de la faim basés au quartier Khaira, affichant une grande détermination semblent décidés à défendre jusqu'au bout leur revendication même si une des leurs nommée Ndèye Gueye a été admise aux soins dans la matinée du mercredi.
Cependant des démarches sont en train d'être menées par les responsables libéraux et religieux de la ville sainte pour les persuader à taire cette grève de la faim mais les protestataires n'ont pas encore l'idée de reculer. Mieux rétorque le sieur Seck: "Nous préférons mourir dans ce combat pour la démocratie interne du parti que de subir l'injustice sans fondement ".
B; S
Ces grévistes de la faim basés au quartier Khaira, affichant une grande détermination semblent décidés à défendre jusqu'au bout leur revendication même si une des leurs nommée Ndèye Gueye a été admise aux soins dans la matinée du mercredi.
Cependant des démarches sont en train d'être menées par les responsables libéraux et religieux de la ville sainte pour les persuader à taire cette grève de la faim mais les protestataires n'ont pas encore l'idée de reculer. Mieux rétorque le sieur Seck: "Nous préférons mourir dans ce combat pour la démocratie interne du parti que de subir l'injustice sans fondement ".
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