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Personnes ressources concernées sur les différents scandales de Amadou Makhtar Ba DG SN HLM
Après alternance
Amadou Maktar Ba actuel DG SNHLM directement lié au scandale des projets de Keur Massar, Parcelles assainies, Malika, dans les marchés de gré à gré, vente d’espace illégale
Arona Diallo directeur technique
Ablaye Ndiaye Sall directeur technique et directeur général des parcelles assainies
Aliou badara Cissé directeur administratif financier et commerc ial
Assane Sarr Ingénieur chef
Omar Mbow Ingénieur
Mamadou Ndiaye Président Conseil d’administration
Youssou Diop Président Conseil d’administration – Directeur de l’urbanisme en relation avec le plan Jaxay
Ministre Omar Sarr en relation avec le dossier des terres de bambilor
Ci après extrait de notre mission d’audit
Exemple des immeubles Fass Paillote
Cas d’exemple sur notre mission d’audit de notre cabinet concernant l’Attribution d’immeuble à Fass Paillote aux responsables du PDS pour se rencherir (location ou revente).
Les critères d’attribution ne répondent à aucune valeur juridique mais plutôt politique sur recommandation verbale ou écrite de l’ex Président de la république M Abdoulaye Wade, directement aux directeurs généraux ou sur institution du ministre Omar Sarr ou des marabouts de Maktar Ba ou des dits politiciens du PDS.
Attention : Le nom des propriétaires est masqué pour certains magasins ou appartements par l’équipe d’Amadou Maktar Ba SNHLM.
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 68
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
68 A MAGASIN MOR DIOUF
68 B MAGASIN SOUHA HIBOU CISSE
68 C MAGASIN CIRIL FALL
68 D MAGASIN FRANCOIS LY
68 E MAGASIN
68 F MAGASIN
68 G MAGASIN
68 H MAGASIN BABACAR GUEYE (HLM)
68 I GILBERT LAMBAR :APPT F4
68 J APPARTEMENT SEYNABOU NDIAYE F4
68 K APPARTEMENT KADIATOU ARIBAT F3
68 L APPARTEMENT MAMADOU DAME F3
68 M APPARTEMENT MAMADOU, A, DIALLO F4
68 N APPARTEMENT IBRAHIMA BA F4
68 O APPARTEMENT MBAYE HANNE F3
68 P APPARTEMENT FATOU FALL F3
68 Q APPARTEMENT HATE MBACKE F3
68 R APPARTEMENT AUGUSTIIN TINE F3
68 S APPARTEMENT MAGUETTE .L. DIOP
68 T APPARTEMENT PIERRETTE DE SOUZA F3
68 U APPARTEMENT OUMOU BALDE F3
68 V APPARTEMENT BABACAR SYLLA F3
68 W STUDIO BOUBACAR DIALLO
68 X APPARTEMENT BOBACAR DIALLO
68 Y APPARTEMENT BOUNA ALBOURY DIOP
68 Z APPARTEMENT MAME DEMBA DIOP
HKK BAT 69
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 69
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
69 A MAGASIN
69 B MAGASIN Mme AWA NIANG
69 C MAGASIN ABIBATOU SOW
69 D MAGASIN FADEL DIAGNE
69 E MAGASIN
69 F MAGASIN
69 G MAGASIN OUSSEYNOU BADIANE
69 H MAGASIN Mme NICOLE
69 I APPARTEMENT Mme MARIAMA NDIAYE F4
69 J APPARTEMENT MAGUETTE LEYE F4
69 K APPARTEMENT PAPE MADIAW SECK F3
69 L APPARTEMENT Mme KHOUDIA F3
69 M APPARTEMENT SEYDINA ISSA NDIAYE F 4
69 N APPARTEMENT TERRESSA KING F4
69 O APPARTEMENT Mme NDEYE AÏDA DIALLO F3
69 P APPARTEMENT FATIMATA BÂ F3
69 Q APPARTEMENT Mme GAYE TATTA KONE F3
69 R STUDIO Mme NDEYE AWA GUEYE
69 S APPARTEMENT HENRIETTE SAMBOU F3
69 T APPARTEMENT MARIAMA NDIAYE F3
69 U APPARTEMENT NDEYE MAGUETTE SYLLA F3
69 V APPARTEMENT BEKAYE TOUNKARA F3
69 W STUDIO
69 X APPARTEMENT MOUMINI NDIAYE F3
69 Y APPARTEMENT Mme SOW RAMATOULAYE F3
69 Z APPARTEMENT Mr ABDOULAYE TRAORE F3
HKK BAT 70
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 70
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
70 A MAGASIN MR SOCE SYLLA
70 B MAGASIN FARY
70 C MAGASIN IRMA SOW
70 D MAGASIN Mme DIARRA B NDAO
70 E MAGASIN Mme MARIETOU DIAKHATE
70 F MAGASIN Mme MANE
70 G MAGASIN SIRANDING DRAME
70 H
70 I APPARTEMENT TOUTOU DIENG F4
70 J APPARTEMENT WARSEUK FALL F4
70 K APPARTEMENT
70 L APPARTEMENT FATOU NDIAYE F3
70 M APPARTEMENT NDEYE AMY NDIAYE F4
70 N APPARTEMENT MAÏMOUNA SAVANE F4
70 O APPARTEMENT MARIETOU NEE MALICK S FALL F3
70 P APPARTEMENT
70 Q APPARTEMENT MOUHAMED M FALLF3
70 R STUDIO MAME MBACKE NDIAYE F3
70 S APPARTEMENT KALIDOU CISSOKHO F3
70 T APPARTEMENT CHEIKH AMADOU G MBAYE F3
70 U APPARTEMENT ADELLE DIASSY F3
70 V APPARTEMENT OULEYE GUEYE F3
70 W APPARTEMENT CHEIKH MB DIAKHATE F3
70 X APPARTEMENT Mme DIOP MINTOU BOYE
70 Y APPARTEMENT Mme KOUMDANE
70 Z APPARTEMENT Mme FRANCOIS SY
HKK BAT 71
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 71
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
71 A MAGASIN
71 B MAGASIN NDEYE MICHELLE WADE
71 C MAGASIN
71 D MAGASIN Mme AÏSSATOU SARR NDIAYE
71 E MAGASIN
71 F MAGASIN
71 G MAGASIN Mme FATOUMATA DIALLO
71 H MAGASIN
71 I APPARTEMENT
71 J APPARTEMENT Mme DIALIA NIANG F4
71 K APPARTEMENT DEGUENE MBAYE F3
71 L APPARTEMENT CODOU SINE F3
71 M APPARTEMENT Mme SYBILE ADELAÏDE TOUKE DJENOR F4
71 N APPARTEMENT Mme BARRY F4
71 O APPARTEMENT Mme SUZANE VERONIQUE BASSE F3
71 P APPARTEMENT Mme FATOU THIAM F3
71 Q APPARTEMENT MR TIDIANE DIAWARA F3
71 R STUDIO AWA CAMARA F3
71 S APPARTEMENT Mme KHADY S SY F3
71 T APPARTEMENT MR PAUL FAYE F3
71 U APPARTEMENT AÏSSATOU TOURE F3
71 V APPARTEMENT (CLEFS RECUPEREES ) FATOU NDOYE hlm
71 W APPARTEMENT Mme DIARIETOU D TRAORE F3
71 X APPARTEMENT SAFIETOU NDIAYE F3
71 Y APPARTEMENT Mme FATOU ZUZ MBODJ F3
71 Z APPARTEMENT ANNICK R. G. AYALE F3
La liste de ces premières clients de ces immeubles de Fass n’est pas exhaustive comme pour les paiments ne sont pas encore bouclés pour certains acquéreurs et tout reste à la discrétion de M Maktar Ba directeur général avec la possibilité même de grâce pour les militants du PDS.
Remarque
Hormis les terrains qui sont totalement affectées aux démunis, les habitations de Keur massar, Medina Gounasss, gnéti barak etc… ne sont toujours pas encore livrés à leur propriétaire.
RAPPEL
dossier: Amadou Makhtar Ba dépèce la Sn Hlm
Source :http://www.piccmi.com/Amadou-Makhtar-Ba-depece-la-Sn-Hlm_a2105.html
Une fois encore, des voix s’élèvent pour dénoncer les pratiques scandaleuses en cours à la Société nationale des Hlm. Le Directeur général Amadou Makhtar Ba et ses collaborateurs sont accusés d’avoir fait main basse sur leurs véhicules de fonction (deux 4X4 Prado et cinq 406) en les acquérant à vil prix. Au même moment, le Dg de la Sn-Hlm a soulevé l’ire de nos sources en s’apprêtant à céder, avec « l’aval du Conseil d’administration » le terrain de la société immobilière, sis à un jet de pierres de la Rts, à un promoteur privé.
Amadou Makhtar Bâ est de nouveau sur la sellette. Comme d’habitude, ses méthodes de gestion sont encore décriées. Cette fois, il lui est reproché de procéder à un bradage systématique du patrimoine foncier et automobile de la Sn-Hlm. Selon des sources très au fait de ce qui se trame dans la société immobilière, Amadou Makhtar Bâ et quelques uns de ses collaborateurs qui désirent acquérir des voitures sans casser leur tirelire ont tout bonnement jeté leur dévolu sur le parc automobile de la boîte. Le procédé par lequel ils sont passés est simple : réformer les véhicules de fonction mis à leur disposition pour les acheter ensuite à vil prix. Si l’on en croit nos informateurs, « la Sn-Hlm a acheté en 2005 deux 4X4 Prado et cinq véhicules 406 qu’elle a mis à la disposition du Dg Amadou Makhtar Bâ et des directeurs opérationnels. »
Poursuivant, nos sources de renseigner que les autorités de la Sn-Hlm ont émis, il y a quelques mois, le souhait d’acquérir ces bagnoles pour leur propre compte suivant une procédure de réforme. Ce dossier a été confié au représentant de la Primature dans le Conseil d’administration, à l’époque Abdou Khoudoss Niang, pour le piloter. Ce dernier, avant d’avoir mené le dossier à terme, a été nommé directeur de Cabinet au ministère de la Santé et a cédé sa place à un certain Cheikh Ndiaye. « Profitant du vide laissé par Abdou Khoudoss Niang, dans la mesure où le nouveau représentant de la Primature n’avait pas encore fini de s’imprégner du dossier, le Dg Amadou Makhtar Bâ et ses amis ont acheminé les voitures en question au garage pour les retaper, tenez-vous bien, sur le compte de la société. Ils vont les acquérir à vil prix, alors qu’elles ne datent pas de longtemps. Pis encore, la procédure n’est même pas terminée », éructe de rage une source qui confie que beaucoup des membres du Conseil d’administration trouvent cette procédure de réforme inopportune, dans la mesure où les véhicules sont pratiquement neufs. Pendant ce temps, ce sont les caisses de la Sn-Hlm déjà éprouvées qui risquent d’être fortement grevées. D’autant plus que la boîte a passé auprès d’un concessionnaire de la place une commande de véhicules (des Prado Gm et des C5) en vue de remplacer ceux déjà achetés par des « directeurs opérationnels ».
Par ailleurs, on apprend aussi que le terrain de la Sn-Hlm situé au Triangle Sud, à quelques jets de pierres du Building communal et de la Rts et occupé par des mécaniciens, sera bientôt vendu. Ce site, d’une superficie de 1000 mètres carrés, va être cédé à un promoteur privé pour un coût d’un milliard de nos francs. L’information a été donnée par le Dg le 6 septembre dernier, lors d’une réunion de coordination à laquelle ont pris part tous les directeurs. Pourtant, la vente du terrain, indique une source très informée, devait « revenir à une banque. Cependant, elle a été contournée alors qu’elle pouvait trouver un meilleur acquéreur ». Mais ce qui révolte le plus nos interlocuteurs, c’est la mort programmée du projet qui était initialement retenu. En effet, il était prévu de construire des bâtiments sur le terrain du Triangle Sud, pour y abriter la direction générale de la Sn Hlm. En même temps, des immeubles allaient être érigés sur le site qui abrite actuellement les locaux de la direction générale, pour les mettre en location afin de se faire des sous.
Nos tentatives de joindre au téléphone, le Directeur général Amadou Makhtar Bâ ont été vaines. Son portable sonnait sans cesse dans le vide.
Hawa BOUSSO
DESTRUCTION DE BIENS APPARTENANT A AUTRUI : Les préfets de Vélingara et de Saint-Louis condamnés
L’actuel préfet de Vélingara, Mamadou Sy Mbengue, alors adjoint au gouverneur de Dakar, ainsi que le chef du groupe opérationnel, El Hadji Malick Ndoye, ont été condamnés à deux ans, assortis du sursis, par le tribunal correctionnel de Dakar. Quant à Serigne Mbaye, préfet de Saint-Louis, il a écopé d’un mois avec sursis. Ils devront payer, solidairement, à la partie civile, le docteur Eric Gbodossou, la somme de 50 millions.
Poursuivis pour destruction de biens appartenant à autrui et violation de domicile, le préfet Mamadou Sy Mbengue et le chef du groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, El Hadji Malick Ndoye, ont été condamnés à deux ans avec sursis. Quant au préfet de Saint-Louis, Serigne Mbaye, il a été condamné à un mois avec sursis, en même temps que le Dg de la Sn Hlm.
En 2008, cette affaire été jugé. Mamadou Sy Mbengue, alors adjoint au gouverneur de Dakar, et le chef du groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, El Hadji Malick Ndoye, avaient été condamnés, par défaut, à 3 mois assortis du sursis et à payer 30 millions de dommages et intérêts au plaignant, Eric Gbodossou. Le Directeur général de la Sn-Hlm, Amadou Moctar Bâ, et le préfet de Rufisque, Serigne Malick Mbaye, actuel préfet de Saint-Louis, avaient été relaxés purement et simplement.
Non content de la décision, le préfet Mamadou Sy Mbengue avait fait opposition de la décision et le dossier a été réenrôlé. Les prévenus ont ainsi été jugés à nouveau le 3 mars dernier.
Lors du procès, le plaignant Eric Gbodossou a réitéré le contenu de sa citation directe dans laquelle il est écrit que «Eric Gbodossou et le Gie Metraf, dont il est le Président, sont attributaires d’une parcelle d’une superficie de 7 ha, sise à Niacoulrab depuis 1993». Le site abrite depuis lors une activité à caractère médico-sociale, portant sur la culture et la transformation de plantes médicinales en laboratoire.
Selon Eric Gbodossou, «en 2004, sous le prétexte de vouloir réaliser le «Plan Jaxaay», la Sn Hlm se livre à tous les actes arbitraires imaginables, en s’attachant les services de certaines autorités administratives».
En décembre 2006, des opérations de démolition ont démarré ; opérations menées par la Sn Hlm et le groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, sous la supervision du préfet de Rufisque d’alors.
Eric Gbodossou a ainsi fait constater les dommages par un huissier de justice avant d’adresser aux différentes autorités concernées des citations directes.
Lors du jugement du 3 mars 2010, l’actuel préfet de Vélingara a dégagé sa responsabilité, estimant qu’il avait agi en sa qualité de représentant de l’Etat. Estimant que la procédure qui le vise est abusive, il a réclamé 500 millions de dommages et intérêts au patron de l’Ong Prometra. Les autorités attaquées, alors que Zakaria Diaw étaient à l’époque gouverneur de Dakar, avaient souligné, au procès, qu’ils avaient agi en tant que fonctionnaires de l’Etat et dans le respect de la loi. Ils n’ont pas manqué de relever que dans le protocole d’accord qui avait signé et dont le non-respect des termes est à l’origine de la plainte de Gbodossou, ce dernier avait reconnu ne pas détenir de papiers par devers lui (ni bail, ni titre foncier). Le tribunal avait fixé son verdict au 20 avril dernier. Verdict qui a finalement été rendu le mardi 4 mai 2010. Les avocats de ces hauts fonctionnaires ont interjeté appel
DAOUDA MINE
Source L'observateur
Mercredi 12 Mai 2010
FAUTE DE TERRAINS ET DE VILLAS, PLUS DE 200 DEMANDES DE REMBOURSEMENT ADRESSEES A LA DIRECTION : GRAVE PENURIE A LA SN/HLM
La boîte que dirige l’ancien banquier Makhtar Bâ connaît-elle des difficultés dans son fonctionnement. C’est en tout cas ce que disent certaines sources démenties par la Direction générale.
Selon nos sources, plus de 100 millions ont été remboursés à des clients de la Sn/Hlm. Ces clients seraient au nombre de 100 ou 200 personnes. «Chaque jour, des clients envahissent la Direction générale pour se faire rembourser au détriment de la société» nous confie une source. Selon elle, les clients de la Sn/Hlm retire leur argent parce qu’ils n’ont pas vu de villa encore moins de terrain. «Les dossiers sont gérés par la Direction générale, la Direction commerciale et financière» nous confie la même source très au fait des choses et qui annonce déjà «une faillite programmée de la Sn/Hlm». A en croire notre source, «la clientèle est mécontente parce qu’on leur a fait croire qu’il n’y a plus de parcelles au moment où chaque jour des bons de parcelles sortent signés au niveau de la direction» poursuit la source qui précise que «ces terrains sont vendus pour leur propre compte».
Par ailleurs, il est révélé des villas et des terrains offerts gracieusement à des proches du Président de la République. «Il suffit tout simplement de téléphoner pour avoir sa maison ou son terrain» laisse
entendre la source qui a cité l’exemple des maisons construites à Fass.
PLUS DE 300 MILLIONS INJECTES DANS LE POS, NON LIVRAISON D’UN MARCHE PASSE AVEC LA CFAO
A quoi a fondamentalement servi le Plan d’orientation stratégique (Pos) réalisé par le cabinet d’expertise Adira pour le compte de la Société nationale des Hlm (Sn Hlm) et qui a englouti 350 millions de Fcfa ? Absolument à rien du tout, tranchent des sources très au fait du dossier. Outre ce manquement, la société dirigée par Ahmadou Moctar Ba se serait rendue coupable d’avoir octroyé à la Cfao un marché de plusieurs centaines de millions et dont la commande n’a jamais été livrée.
Les autorités de la Société nationale des Hlm (Sn Hlm) et leurs méthodes de gestion sont pointées du doigt et fortement décriées. Elles font l’objet de vives critiques venant de personnes très au fait de tout ce qui se trame au sein de la boîte. Parmi les casseroles imputées à Ahmadou Moctar Ba et son équipe, on cite le Plan d’orientation stratégique (Pos) que nos sources assimilent un véritable gouffre à millions. En fait de Plan d’orientation stratégique axé sur dix points, il s’agissait pour les autorités de la Sn Hlm de procéder entre autres, à l’évaluation du patrimoine de la société, à la valorisation de ce patrimoine, à la recherche de fonds, l’audit du personnel, la mise en place d’un plan social et l’organisation de départs volontaires. Pour avaliser ce plan réalisé par le cabinet d’expertise Adira, la direction générale le soumet, le 3 juin 2007, au Conseil d’administration pour validation. Bien défini et articulé autour de 10 points, le Pos, selon nos sources, va coûter à la Sn Hlm 350 millions de Fcfa. « Cette enveloppe a été engloutie dans des séminaires de formation sur la Petite Côte. Elle a servi également à payer des sursalaires », d’après des informations très sûres.
Pour mettre en œuvre le Pos, Ahmadou Moctar Ba et son équipe vont commencer directement par les départs volontaires. En effet, l’un des objectifs du Pos est de ramener à 138 le nombre de l’effectif du personnel jugé pléthorique (157 agents permanents, 32 temporaires et 13 stagiaires). C’est ainsi que le 1er juillet, la direction de la Sn Hlm remercie 17 agents temporaires. Pourtant, « certains d’entre eux ont capitalisé plus de 5 ans dans l’entreprise. Ce qui est une violation de l’article L42 du code du travail », éructent de rage nos interlocuteurs. Mais ce qui révolte le plus, c’est que « deux ans après, le personnel est au nombre de 222 agents, tous des permanents.De 700 millions avant les départs volontaires, la masse salariale a atteint 1,125 milliard de francs Cfa. Pourquoi dégraisser le personnel, si après on procède à des recrutements tous azimuts ? », s’interroge une source qui parle d’échec patent du Pos.
Des sursalaires à gogo
Citant Ibrahima Diouf, à l’époque Directeur des ressources humaines et des affaires juridiques (Drhaj) comme le maître d’œuvre des départs volontaires, nos sources dénoncent les sursalaires dont ont bénéficié certains agents de l’entreprise et membres de la Cellule d’appui, de suivi et d’élaboration (Case) du Pos. Ces derniers, au nombre de 12, sont le Drhaj Ibrahima Diouf (coordonnateur de la Case), le secrétaire général François Xavier Kane (coordonnateur adjoint de la Case), Saliou Mbaye (collaborateur du Dg), Moustapha Diop agent à la Direction commerciale, Serigne Mbacké Diop agent à la Direction financière. A ceux-là, il faut ajouter Ousseynou Cissé informaticien, Penda Tine Diallo agent à la direction financière, Jeremy Kampal ingénieur en bâtiment, Samba Datt agent à la Direction financière, Dr Babacar Ngom et Alex Thior. A chaque membre de la Case, il est mensuellement versé 150 000 Fcfa (pour les directeurs) et 100.000 Fcfa pour les agents simples. En plus, ces 12 personnes ont reçu, chacune, un appartement soit à Fass Paillotte, soit à Cambérène. Coût de ces appartements : 28 millions de Fcfa. « Non seulement, ils n’ont pas versé de caution, mais aussi ils n’ont pas commencé les remboursements », fulminent des sources.
Marché de badges magnétiques non fourni
Après la validité du Plan d’orientation stratégique (Pos) par le Conseil d’administration, « la Sn Hlm a passé avec la Cfao un marché de 98 millions pour la confection de porte électromagnétique et de badges magnétiques ». Ceci dans le but de réglementer l’accès au sein de la boîte. Pour franchir le portail de la société, les agents devaient être munis de badges. Le marché a été passé en 2008, mais jusqu’à présent, déplorent des sources dignes de foi, « la commande n’a pas été livrée ».
Version de la Sn Hlm
Sur les départs volontaires, il reconnaît que 17 temporaires et stagiaires ont été remerciés et leurs droits payés. Cependant, il soutient que « la Sn Hlm n’a fait partir que les profils qui ne lui convenait pas ». Et d’ajouter pour battre en brèche les informations faisant état des recrutements, : « on n’a fait que remplacer les personnes qui sont parties à la retraite. Pour faire partir la différence entre les 185 et les 138 que nous recommande le cabinet, nous attendons de disposer de moyens. Parce que cela demande des moyens colossaux ». Interpellé sur le marché octroyé à la Cfao et qui ne serait jamais livré, Ibrahima Diouf rectifie et estime qu’il est relatif à l’informatisation de la boîte. « Tout était mort, il fallait tout reprendre. Il nous fallait des serveurs, des onduleurs, des Pc, des imprimantes et des ordinateurs. On a profité de ce marché pour commander une porte électromagnétique et des badges magnétiques. La Cfao a monté la porte et livré les badges. Mais la Sn Hlm ne l’a pas exécuté, parce que cela a des incidences sur les salaires des agents. D’autant qu’à chaque fois qu’un agent entre et qu’on sort de la boîte, muni du badge, cela émarge. C’est pour cela qu’on s’est gardé d’utiliser les badges », argue le secrétaire général de la Sn Hlm.
Hawa BOUSSO
Lasquotidien.info
AFFECTATION DE 3000 PARCELLES AU « PLAN JAXAAY » PAR LA SNHLM - Les demandeurs de toits crient au scandale
Seneweb
source: APS
Le « plan jaxaay », initié par le Président Abdoulaye Wade pour doter d’un toit décent et sûr les sinistrés de la banlieue dakaroise victimes des dernières inondations, n’a pas fait que des heureux.
Pour accompagner cette initiative du Chef de l’Etat, la Snhlm n’a pas hésité à affecter 3000 parcelles au comité chargé de piloter le Plan jaxaay . Alors que d’autres Sénégalais, aussi éprouvés que les sinistrés, cotisaient avec leurs maigres ressources dans les comptes ouverts au niveau de la Banque de l’Habitat du Sénégal (BHS) pour bénéficier du « Programme parcelle à usage d’habitation » de la Snhm. Son directeur général, M. Amadou Moctar Bâ, donne sa version des faits et garantit fermement, l’attribution sous peu de temps, des parcelles aux épargnants du programme en cours.
Les divers programmes sociaux « Parcelles à usage d’habitation » initiés et mis en œuvre par la Snhlm, ont suscité un engouement jamais égalé chez les Sénégalais moyens en quête d’un toit pour échapper aux affres de la location excessive et/ou des intempéries. L’exemple des premiers attributaires de Keur Massar aidant, ce fut la ruée des postulants, regroupés en sections, vers les comptes du Programme logé, à cet effet, au niveau de la BHS, pour bénéficier du Programme. Mais à l‘annonce de l’affectation de 3000 parcelles au Plan Jaxaay par la Snhlm, ces épargnants commencèrent à grincer les dents, parce que ne comprenant pas l’attitude de la direction générale de la société qui « affecte des parcelles à de prétendus sinistrés alors qu’eux, les cotisants qui parviennent difficilement à joindre les deux bouts, sont laissés en rade », soutiennent-ils. Aussi, ce que d’aucuns parmi les frondeurs qualifieront « d’incompréhensible, de scandaleux et de décevant », conduira certains d’entre eux , exhibant leurs carnets de versement à la Bhs, à se désengager du Programme et à exiger le remboursement intégral de leur argent. Depuis lors, le rythme des demandes de remboursement s’est comme accru à la Snhlm .
« Les 3000 parcelles sont des terrains libres… »
De l’avis de M. Amadou Moctar Bâ, Directeur général de la Snhlm, « l’affectation des 3000 parcelles au plan jaxaay fait suite à notre saisine, par le Président Wade, qui était très sensible aux problèmes des Sénégalais, victimes des inondations et qui vivaient dans des conditions déplorables. Et c’était pour répondre à son appel, en vue de faire face à cette situation dangereuse, que nous nous nous sommes réunis et avons pris ces 3000 parcelles, qui étaient des terrains libres que nous avons viabilisés et que nous nous apprêtions à vendre, pour les affecter au plan jaxaay ». Il poursuit en soulignant que « le Président de la République, qui a été très sensible à la promptitude de la réaction de la Snhlm, vient de leur allouer une subvention de 03 milliards et une contrepartie en réserves foncières de 150 hectares ; couvrant ainsi largement le gap des 3000 parcelles affectées au jaxaay ».
« L’argent des épargnants n’est pas dans les comptes de la Snhlm »
Par ailleurs, s’agissant des Programmes d’attribution de parcelles à usage d’habitation de la Snhlm, M. Bâ soutient que « l’argent des épargnants n’est pas versé dans les comptes de la Snhlm, mais dans ceux des Programmes logés à la Bhs ». Et quand un programme est bouclé et que la commission d’attribution décide de le reconduire, compte tenu de la demande, « il appartient au client de demander librement le transfert de son épargne ou bien de faire une demande de remboursement avec les motivations qui lui sont propres ». Le directeur de la Snhlm ajoute : « le rythme de demandes de remboursement – précisons que le demande de remboursement relève de la liberté exclusive de l’épargnant - que nous respectons absolument, n’a aucun lien avec les parcelles librement concédées par la Snhlm au Plan Jaxaay » . Jugeant qu’il n’y a pas péril en la demeure, il tient à rassurer tous les demandeurs de parcelles à usage d’habitation « qu’ils auront tous leurs parcelles dans la mesure où la Snhlm dispose de plus de 145 hectares de réserves foncières qui sont en train d’être aménagés, dont les 50 hectares le sont d’ailleurs effectivement, sans compter les 150 hectares que l’Etat va donner en compensation ». Il en appelle ainsi à « la compréhension et à la patience des épargnants qui doivent comprendre que les lenteurs dans les attributions s’expliquent par les procédures relatives aux appels d’offres pour la viabilisation, le bornage, mais également par les exigences du conseil d’administration et de la direction générale qui tiennent à ce que tout se fasse dans la plus grande transparence »
source: APS
Auteur: Mamadou Lamine Dièye
Scandale au cœur du Plan Jaxaay
Mardi 23 Mars 2010 - 17:35
Lors de l’avant-dernière rencontre du Conseil des ministres, le Président avait demandé l’ouverture d’une enquête, après avoir reçu des informations faisant état de la vente de maisons du « Plan Jaxaay » par des bénéficiaires, alors que ces logements sont inaliénables. On n’en est plus aux suspicions, maintenant qu’une de ces transactions a été retracée. La preuve par des documents authentiques obtenus par L’As. Il reste maintenant à savoir si la Sn Hlm a validé ou non la demande de transfert écrite par le bénéficiaire, M.Diop, après que ce dernier a vendu le logement qui lui avait été octroyé à Saliou Ndiaye.
Par fiche attributaire numéro JA0414 en date du 4 décembre 2006, la Cellule d’appui opérationnel logée à la Sn Hlm, et dont le superviseur est… Amadou Moctar Bâ, a attribué le logement numéro 11A-416 du « Plan Jaxaay », précisément aux Parcelles assainies de Keur Massar Rufisque, à M.Diop, chef magasinier dans une entreprise de la place. C’est ainsi qu’un contrat de location-vente a été signé entre lui et le superviseur de la Cellule d’appui opérationnel, le même jour. Le contrat stipule que la subvention de l’Etat sera de 11 millions de F Cfa, alors que le bénéficiaire devra, sur 20 ans, payer 4.000.000 de nos francs, montant du reliquat à la charge du locataire.
Que fait M.Diop, après avoir acquis ce logement subventionné par l’Etat ? Il le… vend tout simplement, alors que lors de l’avant-dernière rencontre du Conseil des ministres, le Président Wade avait fermement affirmé que ces logements ne pouvaient pas être vendus. D’ailleurs, il n’avait pas manqué de demander l’ouverture d’une enquête, pour y voir plus clair. Le Président était revenu à la charge lors du dernier Conseil présidentiel sur les inondations, après que son attention a été attirée par le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye.
Le logement acquis par M.Diop a été vendu à Saliou Ndiaye au prix de 3.300.000 francs et l’acte de vente précise que le solde de la parcelle au niveau de la Sn-Hlm, d’un montant de quatre millions de F Cfa, est à la charge de l’acheteur. La transaction est conclue le 22 octobre 2009, en présence de deux témoins. A la suite de cette vente, M.Diop a écrit une lettre, le même jour, pour demander au directeur général de la Sn-Hlm le transfert de la parcelle. « Monsieur le directeur, permettez-moi de venir auprès de votre haute autorité solliciter le transfert de propriété de la parcelle lot numéro 11A-416 sise au Plan Jaxaay des Parcelles assainies de Keur Massar Rufisque, recasement de Médina Gounass, dont je suis l’attributaire, pour la transférer au nom de Monsieur S.Ndiaye (…). Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez monsieur le Directeur général, agréer l’expression de mes salutations distinguées », écrit le bénéficiaire, alors que ces logements sont inaliénables. Et pour finir, S.Ndiaye fait le même jour (22 octobre 2009) une procuration au nouveau propriétaire pour « agir et répondre à sa place et en son nom pour tout ce qui concerne la parcelle vendue ». Reste maintenant à savoir quelle suite la Sn-Hlm a donnée à cette demande de transfert.
Cheikh Mbacké GUISSE l'asquotidien
leral .net
Sénégal: Après les sorties de ses ex-employés - La Sn Hlm rétablit les faits face à la presse
Lors de leur dernière sortie, les ex-employés de la Société nationale des habitations à loyer modéré (Sn Hlm) demandaient leur réintégration dans la société. Hier, le Conseil d'administration et la Direction générale de l'entreprise ont tenu un point de presse pour « rétablir la vérité » des faits.
Mercredi matin passé, il fallait montrer patte blanche pour entrer dans les locaux de la Société nationale des habitations à loyer modéré (Sn Hlm). Aux portes de l'entreprise, des cours et des salles, ce sont les vigiles qui montent la garde.
122 maisons s'effondrent à Nioro
NIORO - 122 maisons effondrées, des mobiliers emportés et un pont qui menace de s'écrouler. Le bilan des dernières pluies qui ont accéléré le phénomène de ravinement est impressionnant. Le Comité départemental de développement (Cdd) tenu sur ce sinistre a pris la mesure du péril «Contrairement au reste du pays, à Nioro, ce ne sont pas les inondations qui posent problème, mais les ravins dont le processus d'élargissement s'accélère avec l'hivernage et qui ont détruit une centaine de maisons en plus du mobilier», renseigne le préfet du département, Adama B. Racine Ndiaye. Ce dernier, qui a lancé un appel pour alerter les autorités étatiques et les fils du Rip sur le danger qui guette la cité de Maba Diakhou, a enclenché le plan d'Organisation des secours (Orsec).
«Lors du Cdd convoqué mardi dernier, on a mis en place une commission chargée de gérer cette situation. C'est ainsi qu'un tocsin a été adressé aux autorités supérieures et aux fils du Rip. Heureusement, on vient d'enregistrer une réponse positive avec le Directeur général de la Sn-Hlm, Amadou Matar Bâ», a révélé le préfet lors de la cérémonie de réception du chèque de 2 millions de F Cfa qu'il a offert. Un élan de solidarité qui va permettre l'organisation ce weekend de deux journées d'assainissement à Nioro. «L'idée est de nouer une chaîne de solidarité en faveur des sinistrés en mobilisant les énergies avec ces journées durant lesquelles des actions préventives contres les ravins seront menées mais aussi en portant assistance aux sinistrés», renchérit le chef de l'exécutif départemental. Signalons que le président de la fédération libérale de Nioro a été la première personnalité à se signaler, suite à l'appel à l'assistance lancé conjointement par le maire socialiste et le préfet.
Elimane Fall
Source Le Populaire
Personnes ressources concernées sur les différents scandales de Amadou Makhtar Ba DG SN HLM
Après alternance
Amadou Maktar Ba actuel DG SNHLM directement lié au scandale des projets de Keur Massar, Parcelles assainies, Malika, dans les marchés de gré à gré, vente d’espace illégale
Arona Diallo directeur technique
Ablaye Ndiaye Sall directeur technique et directeur général des parcelles assainies
Aliou badara Cissé directeur administratif financier et commerc ial
Assane Sarr Ingénieur chef
Omar Mbow Ingénieur
Mamadou Ndiaye Président Conseil d’administration
Youssou Diop Président Conseil d’administration – Directeur de l’urbanisme en relation avec le plan Jaxay
Ministre Omar Sarr en relation avec le dossier des terres de bambilor
Ci après extrait de notre mission d’audit
Exemple des immeubles Fass Paillote
Cas d’exemple sur notre mission d’audit de notre cabinet concernant l’Attribution d’immeuble à Fass Paillote aux responsables du PDS pour se rencherir (location ou revente).
Les critères d’attribution ne répondent à aucune valeur juridique mais plutôt politique sur recommandation verbale ou écrite de l’ex Président de la république M Abdoulaye Wade, directement aux directeurs généraux ou sur institution du ministre Omar Sarr ou des marabouts de Maktar Ba ou des dits politiciens du PDS.
Attention : Le nom des propriétaires est masqué pour certains magasins ou appartements par l’équipe d’Amadou Maktar Ba SNHLM.
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 68
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
68 A MAGASIN MOR DIOUF
68 B MAGASIN SOUHA HIBOU CISSE
68 C MAGASIN CIRIL FALL
68 D MAGASIN FRANCOIS LY
68 E MAGASIN
68 F MAGASIN
68 G MAGASIN
68 H MAGASIN BABACAR GUEYE (HLM)
68 I GILBERT LAMBAR :APPT F4
68 J APPARTEMENT SEYNABOU NDIAYE F4
68 K APPARTEMENT KADIATOU ARIBAT F3
68 L APPARTEMENT MAMADOU DAME F3
68 M APPARTEMENT MAMADOU, A, DIALLO F4
68 N APPARTEMENT IBRAHIMA BA F4
68 O APPARTEMENT MBAYE HANNE F3
68 P APPARTEMENT FATOU FALL F3
68 Q APPARTEMENT HATE MBACKE F3
68 R APPARTEMENT AUGUSTIIN TINE F3
68 S APPARTEMENT MAGUETTE .L. DIOP
68 T APPARTEMENT PIERRETTE DE SOUZA F3
68 U APPARTEMENT OUMOU BALDE F3
68 V APPARTEMENT BABACAR SYLLA F3
68 W STUDIO BOUBACAR DIALLO
68 X APPARTEMENT BOBACAR DIALLO
68 Y APPARTEMENT BOUNA ALBOURY DIOP
68 Z APPARTEMENT MAME DEMBA DIOP
HKK BAT 69
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 69
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
69 A MAGASIN
69 B MAGASIN Mme AWA NIANG
69 C MAGASIN ABIBATOU SOW
69 D MAGASIN FADEL DIAGNE
69 E MAGASIN
69 F MAGASIN
69 G MAGASIN OUSSEYNOU BADIANE
69 H MAGASIN Mme NICOLE
69 I APPARTEMENT Mme MARIAMA NDIAYE F4
69 J APPARTEMENT MAGUETTE LEYE F4
69 K APPARTEMENT PAPE MADIAW SECK F3
69 L APPARTEMENT Mme KHOUDIA F3
69 M APPARTEMENT SEYDINA ISSA NDIAYE F 4
69 N APPARTEMENT TERRESSA KING F4
69 O APPARTEMENT Mme NDEYE AÏDA DIALLO F3
69 P APPARTEMENT FATIMATA BÂ F3
69 Q APPARTEMENT Mme GAYE TATTA KONE F3
69 R STUDIO Mme NDEYE AWA GUEYE
69 S APPARTEMENT HENRIETTE SAMBOU F3
69 T APPARTEMENT MARIAMA NDIAYE F3
69 U APPARTEMENT NDEYE MAGUETTE SYLLA F3
69 V APPARTEMENT BEKAYE TOUNKARA F3
69 W STUDIO
69 X APPARTEMENT MOUMINI NDIAYE F3
69 Y APPARTEMENT Mme SOW RAMATOULAYE F3
69 Z APPARTEMENT Mr ABDOULAYE TRAORE F3
HKK BAT 70
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 70
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
70 A MAGASIN MR SOCE SYLLA
70 B MAGASIN FARY
70 C MAGASIN IRMA SOW
70 D MAGASIN Mme DIARRA B NDAO
70 E MAGASIN Mme MARIETOU DIAKHATE
70 F MAGASIN Mme MANE
70 G MAGASIN SIRANDING DRAME
70 H
70 I APPARTEMENT TOUTOU DIENG F4
70 J APPARTEMENT WARSEUK FALL F4
70 K APPARTEMENT
70 L APPARTEMENT FATOU NDIAYE F3
70 M APPARTEMENT NDEYE AMY NDIAYE F4
70 N APPARTEMENT MAÏMOUNA SAVANE F4
70 O APPARTEMENT MARIETOU NEE MALICK S FALL F3
70 P APPARTEMENT
70 Q APPARTEMENT MOUHAMED M FALLF3
70 R STUDIO MAME MBACKE NDIAYE F3
70 S APPARTEMENT KALIDOU CISSOKHO F3
70 T APPARTEMENT CHEIKH AMADOU G MBAYE F3
70 U APPARTEMENT ADELLE DIASSY F3
70 V APPARTEMENT OULEYE GUEYE F3
70 W APPARTEMENT CHEIKH MB DIAKHATE F3
70 X APPARTEMENT Mme DIOP MINTOU BOYE
70 Y APPARTEMENT Mme KOUMDANE
70 Z APPARTEMENT Mme FRANCOIS SY
HKK BAT 71
BATIMENTS FASS ANNEE : 2008
HLM
BATIMENT 71
N° N° LOT NATURE PROPRIETAIRES
71 A MAGASIN
71 B MAGASIN NDEYE MICHELLE WADE
71 C MAGASIN
71 D MAGASIN Mme AÏSSATOU SARR NDIAYE
71 E MAGASIN
71 F MAGASIN
71 G MAGASIN Mme FATOUMATA DIALLO
71 H MAGASIN
71 I APPARTEMENT
71 J APPARTEMENT Mme DIALIA NIANG F4
71 K APPARTEMENT DEGUENE MBAYE F3
71 L APPARTEMENT CODOU SINE F3
71 M APPARTEMENT Mme SYBILE ADELAÏDE TOUKE DJENOR F4
71 N APPARTEMENT Mme BARRY F4
71 O APPARTEMENT Mme SUZANE VERONIQUE BASSE F3
71 P APPARTEMENT Mme FATOU THIAM F3
71 Q APPARTEMENT MR TIDIANE DIAWARA F3
71 R STUDIO AWA CAMARA F3
71 S APPARTEMENT Mme KHADY S SY F3
71 T APPARTEMENT MR PAUL FAYE F3
71 U APPARTEMENT AÏSSATOU TOURE F3
71 V APPARTEMENT (CLEFS RECUPEREES ) FATOU NDOYE hlm
71 W APPARTEMENT Mme DIARIETOU D TRAORE F3
71 X APPARTEMENT SAFIETOU NDIAYE F3
71 Y APPARTEMENT Mme FATOU ZUZ MBODJ F3
71 Z APPARTEMENT ANNICK R. G. AYALE F3
La liste de ces premières clients de ces immeubles de Fass n’est pas exhaustive comme pour les paiments ne sont pas encore bouclés pour certains acquéreurs et tout reste à la discrétion de M Maktar Ba directeur général avec la possibilité même de grâce pour les militants du PDS.
Remarque
Hormis les terrains qui sont totalement affectées aux démunis, les habitations de Keur massar, Medina Gounasss, gnéti barak etc… ne sont toujours pas encore livrés à leur propriétaire.
RAPPEL
dossier: Amadou Makhtar Ba dépèce la Sn Hlm
Source :http://www.piccmi.com/Amadou-Makhtar-Ba-depece-la-Sn-Hlm_a2105.html
Une fois encore, des voix s’élèvent pour dénoncer les pratiques scandaleuses en cours à la Société nationale des Hlm. Le Directeur général Amadou Makhtar Ba et ses collaborateurs sont accusés d’avoir fait main basse sur leurs véhicules de fonction (deux 4X4 Prado et cinq 406) en les acquérant à vil prix. Au même moment, le Dg de la Sn-Hlm a soulevé l’ire de nos sources en s’apprêtant à céder, avec « l’aval du Conseil d’administration » le terrain de la société immobilière, sis à un jet de pierres de la Rts, à un promoteur privé.
Amadou Makhtar Bâ est de nouveau sur la sellette. Comme d’habitude, ses méthodes de gestion sont encore décriées. Cette fois, il lui est reproché de procéder à un bradage systématique du patrimoine foncier et automobile de la Sn-Hlm. Selon des sources très au fait de ce qui se trame dans la société immobilière, Amadou Makhtar Bâ et quelques uns de ses collaborateurs qui désirent acquérir des voitures sans casser leur tirelire ont tout bonnement jeté leur dévolu sur le parc automobile de la boîte. Le procédé par lequel ils sont passés est simple : réformer les véhicules de fonction mis à leur disposition pour les acheter ensuite à vil prix. Si l’on en croit nos informateurs, « la Sn-Hlm a acheté en 2005 deux 4X4 Prado et cinq véhicules 406 qu’elle a mis à la disposition du Dg Amadou Makhtar Bâ et des directeurs opérationnels. »
Poursuivant, nos sources de renseigner que les autorités de la Sn-Hlm ont émis, il y a quelques mois, le souhait d’acquérir ces bagnoles pour leur propre compte suivant une procédure de réforme. Ce dossier a été confié au représentant de la Primature dans le Conseil d’administration, à l’époque Abdou Khoudoss Niang, pour le piloter. Ce dernier, avant d’avoir mené le dossier à terme, a été nommé directeur de Cabinet au ministère de la Santé et a cédé sa place à un certain Cheikh Ndiaye. « Profitant du vide laissé par Abdou Khoudoss Niang, dans la mesure où le nouveau représentant de la Primature n’avait pas encore fini de s’imprégner du dossier, le Dg Amadou Makhtar Bâ et ses amis ont acheminé les voitures en question au garage pour les retaper, tenez-vous bien, sur le compte de la société. Ils vont les acquérir à vil prix, alors qu’elles ne datent pas de longtemps. Pis encore, la procédure n’est même pas terminée », éructe de rage une source qui confie que beaucoup des membres du Conseil d’administration trouvent cette procédure de réforme inopportune, dans la mesure où les véhicules sont pratiquement neufs. Pendant ce temps, ce sont les caisses de la Sn-Hlm déjà éprouvées qui risquent d’être fortement grevées. D’autant plus que la boîte a passé auprès d’un concessionnaire de la place une commande de véhicules (des Prado Gm et des C5) en vue de remplacer ceux déjà achetés par des « directeurs opérationnels ».
Par ailleurs, on apprend aussi que le terrain de la Sn-Hlm situé au Triangle Sud, à quelques jets de pierres du Building communal et de la Rts et occupé par des mécaniciens, sera bientôt vendu. Ce site, d’une superficie de 1000 mètres carrés, va être cédé à un promoteur privé pour un coût d’un milliard de nos francs. L’information a été donnée par le Dg le 6 septembre dernier, lors d’une réunion de coordination à laquelle ont pris part tous les directeurs. Pourtant, la vente du terrain, indique une source très informée, devait « revenir à une banque. Cependant, elle a été contournée alors qu’elle pouvait trouver un meilleur acquéreur ». Mais ce qui révolte le plus nos interlocuteurs, c’est la mort programmée du projet qui était initialement retenu. En effet, il était prévu de construire des bâtiments sur le terrain du Triangle Sud, pour y abriter la direction générale de la Sn Hlm. En même temps, des immeubles allaient être érigés sur le site qui abrite actuellement les locaux de la direction générale, pour les mettre en location afin de se faire des sous.
Nos tentatives de joindre au téléphone, le Directeur général Amadou Makhtar Bâ ont été vaines. Son portable sonnait sans cesse dans le vide.
Hawa BOUSSO
DESTRUCTION DE BIENS APPARTENANT A AUTRUI : Les préfets de Vélingara et de Saint-Louis condamnés
L’actuel préfet de Vélingara, Mamadou Sy Mbengue, alors adjoint au gouverneur de Dakar, ainsi que le chef du groupe opérationnel, El Hadji Malick Ndoye, ont été condamnés à deux ans, assortis du sursis, par le tribunal correctionnel de Dakar. Quant à Serigne Mbaye, préfet de Saint-Louis, il a écopé d’un mois avec sursis. Ils devront payer, solidairement, à la partie civile, le docteur Eric Gbodossou, la somme de 50 millions.
Poursuivis pour destruction de biens appartenant à autrui et violation de domicile, le préfet Mamadou Sy Mbengue et le chef du groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, El Hadji Malick Ndoye, ont été condamnés à deux ans avec sursis. Quant au préfet de Saint-Louis, Serigne Mbaye, il a été condamné à un mois avec sursis, en même temps que le Dg de la Sn Hlm.
En 2008, cette affaire été jugé. Mamadou Sy Mbengue, alors adjoint au gouverneur de Dakar, et le chef du groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, El Hadji Malick Ndoye, avaient été condamnés, par défaut, à 3 mois assortis du sursis et à payer 30 millions de dommages et intérêts au plaignant, Eric Gbodossou. Le Directeur général de la Sn-Hlm, Amadou Moctar Bâ, et le préfet de Rufisque, Serigne Malick Mbaye, actuel préfet de Saint-Louis, avaient été relaxés purement et simplement.
Non content de la décision, le préfet Mamadou Sy Mbengue avait fait opposition de la décision et le dossier a été réenrôlé. Les prévenus ont ainsi été jugés à nouveau le 3 mars dernier.
Lors du procès, le plaignant Eric Gbodossou a réitéré le contenu de sa citation directe dans laquelle il est écrit que «Eric Gbodossou et le Gie Metraf, dont il est le Président, sont attributaires d’une parcelle d’une superficie de 7 ha, sise à Niacoulrab depuis 1993». Le site abrite depuis lors une activité à caractère médico-sociale, portant sur la culture et la transformation de plantes médicinales en laboratoire.
Selon Eric Gbodossou, «en 2004, sous le prétexte de vouloir réaliser le «Plan Jaxaay», la Sn Hlm se livre à tous les actes arbitraires imaginables, en s’attachant les services de certaines autorités administratives».
En décembre 2006, des opérations de démolition ont démarré ; opérations menées par la Sn Hlm et le groupe opérationnel de la gouvernance de Dakar, sous la supervision du préfet de Rufisque d’alors.
Eric Gbodossou a ainsi fait constater les dommages par un huissier de justice avant d’adresser aux différentes autorités concernées des citations directes.
Lors du jugement du 3 mars 2010, l’actuel préfet de Vélingara a dégagé sa responsabilité, estimant qu’il avait agi en sa qualité de représentant de l’Etat. Estimant que la procédure qui le vise est abusive, il a réclamé 500 millions de dommages et intérêts au patron de l’Ong Prometra. Les autorités attaquées, alors que Zakaria Diaw étaient à l’époque gouverneur de Dakar, avaient souligné, au procès, qu’ils avaient agi en tant que fonctionnaires de l’Etat et dans le respect de la loi. Ils n’ont pas manqué de relever que dans le protocole d’accord qui avait signé et dont le non-respect des termes est à l’origine de la plainte de Gbodossou, ce dernier avait reconnu ne pas détenir de papiers par devers lui (ni bail, ni titre foncier). Le tribunal avait fixé son verdict au 20 avril dernier. Verdict qui a finalement été rendu le mardi 4 mai 2010. Les avocats de ces hauts fonctionnaires ont interjeté appel
DAOUDA MINE
Source L'observateur
Mercredi 12 Mai 2010
FAUTE DE TERRAINS ET DE VILLAS, PLUS DE 200 DEMANDES DE REMBOURSEMENT ADRESSEES A LA DIRECTION : GRAVE PENURIE A LA SN/HLM
La boîte que dirige l’ancien banquier Makhtar Bâ connaît-elle des difficultés dans son fonctionnement. C’est en tout cas ce que disent certaines sources démenties par la Direction générale.
Selon nos sources, plus de 100 millions ont été remboursés à des clients de la Sn/Hlm. Ces clients seraient au nombre de 100 ou 200 personnes. «Chaque jour, des clients envahissent la Direction générale pour se faire rembourser au détriment de la société» nous confie une source. Selon elle, les clients de la Sn/Hlm retire leur argent parce qu’ils n’ont pas vu de villa encore moins de terrain. «Les dossiers sont gérés par la Direction générale, la Direction commerciale et financière» nous confie la même source très au fait des choses et qui annonce déjà «une faillite programmée de la Sn/Hlm». A en croire notre source, «la clientèle est mécontente parce qu’on leur a fait croire qu’il n’y a plus de parcelles au moment où chaque jour des bons de parcelles sortent signés au niveau de la direction» poursuit la source qui précise que «ces terrains sont vendus pour leur propre compte».
Par ailleurs, il est révélé des villas et des terrains offerts gracieusement à des proches du Président de la République. «Il suffit tout simplement de téléphoner pour avoir sa maison ou son terrain» laisse
entendre la source qui a cité l’exemple des maisons construites à Fass.
PLUS DE 300 MILLIONS INJECTES DANS LE POS, NON LIVRAISON D’UN MARCHE PASSE AVEC LA CFAO
A quoi a fondamentalement servi le Plan d’orientation stratégique (Pos) réalisé par le cabinet d’expertise Adira pour le compte de la Société nationale des Hlm (Sn Hlm) et qui a englouti 350 millions de Fcfa ? Absolument à rien du tout, tranchent des sources très au fait du dossier. Outre ce manquement, la société dirigée par Ahmadou Moctar Ba se serait rendue coupable d’avoir octroyé à la Cfao un marché de plusieurs centaines de millions et dont la commande n’a jamais été livrée.
Les autorités de la Société nationale des Hlm (Sn Hlm) et leurs méthodes de gestion sont pointées du doigt et fortement décriées. Elles font l’objet de vives critiques venant de personnes très au fait de tout ce qui se trame au sein de la boîte. Parmi les casseroles imputées à Ahmadou Moctar Ba et son équipe, on cite le Plan d’orientation stratégique (Pos) que nos sources assimilent un véritable gouffre à millions. En fait de Plan d’orientation stratégique axé sur dix points, il s’agissait pour les autorités de la Sn Hlm de procéder entre autres, à l’évaluation du patrimoine de la société, à la valorisation de ce patrimoine, à la recherche de fonds, l’audit du personnel, la mise en place d’un plan social et l’organisation de départs volontaires. Pour avaliser ce plan réalisé par le cabinet d’expertise Adira, la direction générale le soumet, le 3 juin 2007, au Conseil d’administration pour validation. Bien défini et articulé autour de 10 points, le Pos, selon nos sources, va coûter à la Sn Hlm 350 millions de Fcfa. « Cette enveloppe a été engloutie dans des séminaires de formation sur la Petite Côte. Elle a servi également à payer des sursalaires », d’après des informations très sûres.
Pour mettre en œuvre le Pos, Ahmadou Moctar Ba et son équipe vont commencer directement par les départs volontaires. En effet, l’un des objectifs du Pos est de ramener à 138 le nombre de l’effectif du personnel jugé pléthorique (157 agents permanents, 32 temporaires et 13 stagiaires). C’est ainsi que le 1er juillet, la direction de la Sn Hlm remercie 17 agents temporaires. Pourtant, « certains d’entre eux ont capitalisé plus de 5 ans dans l’entreprise. Ce qui est une violation de l’article L42 du code du travail », éructent de rage nos interlocuteurs. Mais ce qui révolte le plus, c’est que « deux ans après, le personnel est au nombre de 222 agents, tous des permanents.De 700 millions avant les départs volontaires, la masse salariale a atteint 1,125 milliard de francs Cfa. Pourquoi dégraisser le personnel, si après on procède à des recrutements tous azimuts ? », s’interroge une source qui parle d’échec patent du Pos.
Des sursalaires à gogo
Citant Ibrahima Diouf, à l’époque Directeur des ressources humaines et des affaires juridiques (Drhaj) comme le maître d’œuvre des départs volontaires, nos sources dénoncent les sursalaires dont ont bénéficié certains agents de l’entreprise et membres de la Cellule d’appui, de suivi et d’élaboration (Case) du Pos. Ces derniers, au nombre de 12, sont le Drhaj Ibrahima Diouf (coordonnateur de la Case), le secrétaire général François Xavier Kane (coordonnateur adjoint de la Case), Saliou Mbaye (collaborateur du Dg), Moustapha Diop agent à la Direction commerciale, Serigne Mbacké Diop agent à la Direction financière. A ceux-là, il faut ajouter Ousseynou Cissé informaticien, Penda Tine Diallo agent à la direction financière, Jeremy Kampal ingénieur en bâtiment, Samba Datt agent à la Direction financière, Dr Babacar Ngom et Alex Thior. A chaque membre de la Case, il est mensuellement versé 150 000 Fcfa (pour les directeurs) et 100.000 Fcfa pour les agents simples. En plus, ces 12 personnes ont reçu, chacune, un appartement soit à Fass Paillotte, soit à Cambérène. Coût de ces appartements : 28 millions de Fcfa. « Non seulement, ils n’ont pas versé de caution, mais aussi ils n’ont pas commencé les remboursements », fulminent des sources.
Marché de badges magnétiques non fourni
Après la validité du Plan d’orientation stratégique (Pos) par le Conseil d’administration, « la Sn Hlm a passé avec la Cfao un marché de 98 millions pour la confection de porte électromagnétique et de badges magnétiques ». Ceci dans le but de réglementer l’accès au sein de la boîte. Pour franchir le portail de la société, les agents devaient être munis de badges. Le marché a été passé en 2008, mais jusqu’à présent, déplorent des sources dignes de foi, « la commande n’a pas été livrée ».
Version de la Sn Hlm
Sur les départs volontaires, il reconnaît que 17 temporaires et stagiaires ont été remerciés et leurs droits payés. Cependant, il soutient que « la Sn Hlm n’a fait partir que les profils qui ne lui convenait pas ». Et d’ajouter pour battre en brèche les informations faisant état des recrutements, : « on n’a fait que remplacer les personnes qui sont parties à la retraite. Pour faire partir la différence entre les 185 et les 138 que nous recommande le cabinet, nous attendons de disposer de moyens. Parce que cela demande des moyens colossaux ». Interpellé sur le marché octroyé à la Cfao et qui ne serait jamais livré, Ibrahima Diouf rectifie et estime qu’il est relatif à l’informatisation de la boîte. « Tout était mort, il fallait tout reprendre. Il nous fallait des serveurs, des onduleurs, des Pc, des imprimantes et des ordinateurs. On a profité de ce marché pour commander une porte électromagnétique et des badges magnétiques. La Cfao a monté la porte et livré les badges. Mais la Sn Hlm ne l’a pas exécuté, parce que cela a des incidences sur les salaires des agents. D’autant qu’à chaque fois qu’un agent entre et qu’on sort de la boîte, muni du badge, cela émarge. C’est pour cela qu’on s’est gardé d’utiliser les badges », argue le secrétaire général de la Sn Hlm.
Hawa BOUSSO
Lasquotidien.info
AFFECTATION DE 3000 PARCELLES AU « PLAN JAXAAY » PAR LA SNHLM - Les demandeurs de toits crient au scandale
Seneweb
source: APS
Le « plan jaxaay », initié par le Président Abdoulaye Wade pour doter d’un toit décent et sûr les sinistrés de la banlieue dakaroise victimes des dernières inondations, n’a pas fait que des heureux.
Pour accompagner cette initiative du Chef de l’Etat, la Snhlm n’a pas hésité à affecter 3000 parcelles au comité chargé de piloter le Plan jaxaay . Alors que d’autres Sénégalais, aussi éprouvés que les sinistrés, cotisaient avec leurs maigres ressources dans les comptes ouverts au niveau de la Banque de l’Habitat du Sénégal (BHS) pour bénéficier du « Programme parcelle à usage d’habitation » de la Snhm. Son directeur général, M. Amadou Moctar Bâ, donne sa version des faits et garantit fermement, l’attribution sous peu de temps, des parcelles aux épargnants du programme en cours.
Les divers programmes sociaux « Parcelles à usage d’habitation » initiés et mis en œuvre par la Snhlm, ont suscité un engouement jamais égalé chez les Sénégalais moyens en quête d’un toit pour échapper aux affres de la location excessive et/ou des intempéries. L’exemple des premiers attributaires de Keur Massar aidant, ce fut la ruée des postulants, regroupés en sections, vers les comptes du Programme logé, à cet effet, au niveau de la BHS, pour bénéficier du Programme. Mais à l‘annonce de l’affectation de 3000 parcelles au Plan Jaxaay par la Snhlm, ces épargnants commencèrent à grincer les dents, parce que ne comprenant pas l’attitude de la direction générale de la société qui « affecte des parcelles à de prétendus sinistrés alors qu’eux, les cotisants qui parviennent difficilement à joindre les deux bouts, sont laissés en rade », soutiennent-ils. Aussi, ce que d’aucuns parmi les frondeurs qualifieront « d’incompréhensible, de scandaleux et de décevant », conduira certains d’entre eux , exhibant leurs carnets de versement à la Bhs, à se désengager du Programme et à exiger le remboursement intégral de leur argent. Depuis lors, le rythme des demandes de remboursement s’est comme accru à la Snhlm .
« Les 3000 parcelles sont des terrains libres… »
De l’avis de M. Amadou Moctar Bâ, Directeur général de la Snhlm, « l’affectation des 3000 parcelles au plan jaxaay fait suite à notre saisine, par le Président Wade, qui était très sensible aux problèmes des Sénégalais, victimes des inondations et qui vivaient dans des conditions déplorables. Et c’était pour répondre à son appel, en vue de faire face à cette situation dangereuse, que nous nous nous sommes réunis et avons pris ces 3000 parcelles, qui étaient des terrains libres que nous avons viabilisés et que nous nous apprêtions à vendre, pour les affecter au plan jaxaay ». Il poursuit en soulignant que « le Président de la République, qui a été très sensible à la promptitude de la réaction de la Snhlm, vient de leur allouer une subvention de 03 milliards et une contrepartie en réserves foncières de 150 hectares ; couvrant ainsi largement le gap des 3000 parcelles affectées au jaxaay ».
« L’argent des épargnants n’est pas dans les comptes de la Snhlm »
Par ailleurs, s’agissant des Programmes d’attribution de parcelles à usage d’habitation de la Snhlm, M. Bâ soutient que « l’argent des épargnants n’est pas versé dans les comptes de la Snhlm, mais dans ceux des Programmes logés à la Bhs ». Et quand un programme est bouclé et que la commission d’attribution décide de le reconduire, compte tenu de la demande, « il appartient au client de demander librement le transfert de son épargne ou bien de faire une demande de remboursement avec les motivations qui lui sont propres ». Le directeur de la Snhlm ajoute : « le rythme de demandes de remboursement – précisons que le demande de remboursement relève de la liberté exclusive de l’épargnant - que nous respectons absolument, n’a aucun lien avec les parcelles librement concédées par la Snhlm au Plan Jaxaay » . Jugeant qu’il n’y a pas péril en la demeure, il tient à rassurer tous les demandeurs de parcelles à usage d’habitation « qu’ils auront tous leurs parcelles dans la mesure où la Snhlm dispose de plus de 145 hectares de réserves foncières qui sont en train d’être aménagés, dont les 50 hectares le sont d’ailleurs effectivement, sans compter les 150 hectares que l’Etat va donner en compensation ». Il en appelle ainsi à « la compréhension et à la patience des épargnants qui doivent comprendre que les lenteurs dans les attributions s’expliquent par les procédures relatives aux appels d’offres pour la viabilisation, le bornage, mais également par les exigences du conseil d’administration et de la direction générale qui tiennent à ce que tout se fasse dans la plus grande transparence »
source: APS
Auteur: Mamadou Lamine Dièye
Scandale au cœur du Plan Jaxaay
Mardi 23 Mars 2010 - 17:35
Lors de l’avant-dernière rencontre du Conseil des ministres, le Président avait demandé l’ouverture d’une enquête, après avoir reçu des informations faisant état de la vente de maisons du « Plan Jaxaay » par des bénéficiaires, alors que ces logements sont inaliénables. On n’en est plus aux suspicions, maintenant qu’une de ces transactions a été retracée. La preuve par des documents authentiques obtenus par L’As. Il reste maintenant à savoir si la Sn Hlm a validé ou non la demande de transfert écrite par le bénéficiaire, M.Diop, après que ce dernier a vendu le logement qui lui avait été octroyé à Saliou Ndiaye.
Par fiche attributaire numéro JA0414 en date du 4 décembre 2006, la Cellule d’appui opérationnel logée à la Sn Hlm, et dont le superviseur est… Amadou Moctar Bâ, a attribué le logement numéro 11A-416 du « Plan Jaxaay », précisément aux Parcelles assainies de Keur Massar Rufisque, à M.Diop, chef magasinier dans une entreprise de la place. C’est ainsi qu’un contrat de location-vente a été signé entre lui et le superviseur de la Cellule d’appui opérationnel, le même jour. Le contrat stipule que la subvention de l’Etat sera de 11 millions de F Cfa, alors que le bénéficiaire devra, sur 20 ans, payer 4.000.000 de nos francs, montant du reliquat à la charge du locataire.
Que fait M.Diop, après avoir acquis ce logement subventionné par l’Etat ? Il le… vend tout simplement, alors que lors de l’avant-dernière rencontre du Conseil des ministres, le Président Wade avait fermement affirmé que ces logements ne pouvaient pas être vendus. D’ailleurs, il n’avait pas manqué de demander l’ouverture d’une enquête, pour y voir plus clair. Le Président était revenu à la charge lors du dernier Conseil présidentiel sur les inondations, après que son attention a été attirée par le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye.
Le logement acquis par M.Diop a été vendu à Saliou Ndiaye au prix de 3.300.000 francs et l’acte de vente précise que le solde de la parcelle au niveau de la Sn-Hlm, d’un montant de quatre millions de F Cfa, est à la charge de l’acheteur. La transaction est conclue le 22 octobre 2009, en présence de deux témoins. A la suite de cette vente, M.Diop a écrit une lettre, le même jour, pour demander au directeur général de la Sn-Hlm le transfert de la parcelle. « Monsieur le directeur, permettez-moi de venir auprès de votre haute autorité solliciter le transfert de propriété de la parcelle lot numéro 11A-416 sise au Plan Jaxaay des Parcelles assainies de Keur Massar Rufisque, recasement de Médina Gounass, dont je suis l’attributaire, pour la transférer au nom de Monsieur S.Ndiaye (…). Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez monsieur le Directeur général, agréer l’expression de mes salutations distinguées », écrit le bénéficiaire, alors que ces logements sont inaliénables. Et pour finir, S.Ndiaye fait le même jour (22 octobre 2009) une procuration au nouveau propriétaire pour « agir et répondre à sa place et en son nom pour tout ce qui concerne la parcelle vendue ». Reste maintenant à savoir quelle suite la Sn-Hlm a donnée à cette demande de transfert.
Cheikh Mbacké GUISSE l'asquotidien
leral .net
Sénégal: Après les sorties de ses ex-employés - La Sn Hlm rétablit les faits face à la presse
Lors de leur dernière sortie, les ex-employés de la Société nationale des habitations à loyer modéré (Sn Hlm) demandaient leur réintégration dans la société. Hier, le Conseil d'administration et la Direction générale de l'entreprise ont tenu un point de presse pour « rétablir la vérité » des faits.
Mercredi matin passé, il fallait montrer patte blanche pour entrer dans les locaux de la Société nationale des habitations à loyer modéré (Sn Hlm). Aux portes de l'entreprise, des cours et des salles, ce sont les vigiles qui montent la garde.
122 maisons s'effondrent à Nioro
NIORO - 122 maisons effondrées, des mobiliers emportés et un pont qui menace de s'écrouler. Le bilan des dernières pluies qui ont accéléré le phénomène de ravinement est impressionnant. Le Comité départemental de développement (Cdd) tenu sur ce sinistre a pris la mesure du péril «Contrairement au reste du pays, à Nioro, ce ne sont pas les inondations qui posent problème, mais les ravins dont le processus d'élargissement s'accélère avec l'hivernage et qui ont détruit une centaine de maisons en plus du mobilier», renseigne le préfet du département, Adama B. Racine Ndiaye. Ce dernier, qui a lancé un appel pour alerter les autorités étatiques et les fils du Rip sur le danger qui guette la cité de Maba Diakhou, a enclenché le plan d'Organisation des secours (Orsec).
«Lors du Cdd convoqué mardi dernier, on a mis en place une commission chargée de gérer cette situation. C'est ainsi qu'un tocsin a été adressé aux autorités supérieures et aux fils du Rip. Heureusement, on vient d'enregistrer une réponse positive avec le Directeur général de la Sn-Hlm, Amadou Matar Bâ», a révélé le préfet lors de la cérémonie de réception du chèque de 2 millions de F Cfa qu'il a offert. Un élan de solidarité qui va permettre l'organisation ce weekend de deux journées d'assainissement à Nioro. «L'idée est de nouer une chaîne de solidarité en faveur des sinistrés en mobilisant les énergies avec ces journées durant lesquelles des actions préventives contres les ravins seront menées mais aussi en portant assistance aux sinistrés», renchérit le chef de l'exécutif départemental. Signalons que le président de la fédération libérale de Nioro a été la première personnalité à se signaler, suite à l'appel à l'assistance lancé conjointement par le maire socialiste et le préfet.
Elimane Fall
Source Le Populaire