Plusieurs irrégularités ont été décelées par les auditeurs. Ces derniers ont découvert un rappel de 11 millions FCfa dont a bénéficié le secrétaire général pour « compenser un manque à gagner sur son salaire pour la période d’août 2010 à juin 2011, soit 11 mois de rappel différentiel de salaire. La décision du 26 septembre signé par le directeur général de l’époque faisant état de cet appel différentiel de salaire n’est pas motivée.
Interpellé par les auditeurs, le secrétaire général a invoqué des raisons de « tensions de trésorerie (l’Anat n’avait pas de budget). Il avait donc accepté, sur demande du directeur général de percevoir moins que son salaire contractuel en attendant la normalisation de la situation financière de l’Agence. C’est donc pour le rétablir dans ses droits que cette régularisation a été faite. Les auditeurs indiquent que ces échanges censés être tenus avec l’ancien directeur général n’ont pas été finalisés.
Autre chose notée par les auditeurs, le secrétaire général percevait, en plus de son salaire à l’Anat, un autre salaire versé par le ministère des finances. Ce n’est pas tout. La ligne de l’ancien directeur général, Hamat Sall aurait continué à fonctionner après la date de sa cessation de fonction jusqu’au 20 décembre 2012, date à laquelle sa résiliation a été effective. Soit 2,172600 FCfa au solde de l’Anat.
Interpellé par les auditeurs, le secrétaire général a invoqué des raisons de « tensions de trésorerie (l’Anat n’avait pas de budget). Il avait donc accepté, sur demande du directeur général de percevoir moins que son salaire contractuel en attendant la normalisation de la situation financière de l’Agence. C’est donc pour le rétablir dans ses droits que cette régularisation a été faite. Les auditeurs indiquent que ces échanges censés être tenus avec l’ancien directeur général n’ont pas été finalisés.
Autre chose notée par les auditeurs, le secrétaire général percevait, en plus de son salaire à l’Anat, un autre salaire versé par le ministère des finances. Ce n’est pas tout. La ligne de l’ancien directeur général, Hamat Sall aurait continué à fonctionner après la date de sa cessation de fonction jusqu’au 20 décembre 2012, date à laquelle sa résiliation a été effective. Soit 2,172600 FCfa au solde de l’Anat.