Audrey Mazens Sanchez : « J'étais sous traitement anxiolytique, sous Lexomil, à partir de la moitié du jeu »
Trois mois d'enfermement dans la Maison des Secrets, voilà qui a mis à mal le moral de cette jeune femme, calme et posée. Elle est très vite devenue la risée de la maison, heureusement que Nadeuuuuge était là pour prendre sa défense. Elle a donc confié qu'elle avait pensé à abandonner le jeu à plusieurs reprises : « Dans le jeu, on m'a montré comme la victime maltraitée par les autres et honnêtement, c'était le cas. Je n'étais pas bien et à plusieurs reprises j'ai voulu quitter le jeu. (…) J'étais proche de la dépression et j'étais sous traitement anxiolytique, sous Lexomil, à partir de la moitié du jeu. Je parlais à la psychologue pratiquement tous les jours au téléphone. J'avais envie de rentrer chez moi et retrouver mon mari. Le moment où je prenais le plus de cachets, c'est là que les gens m'aimaient le plus. J'étais tellement shooté que je faisais rire tout le monde, j'étais sur un petit nuage. Ça m'a permis de tenir le coup. Aujourd'hui, ça va bien mais je suis toujours suivie par la psychologue. » Une expérience à refaire ?
Sans doute ! Depuis, forte de ses 70 000 euros (et de son nouveau bonnet C), Audrey loue un nouvel appartement dans lequel elle a mis de jolis meubles. Elle s'est même acheté une moto.
Alors quelques séances chez la psy ce n'est pas bien grave !
Trois mois d'enfermement dans la Maison des Secrets, voilà qui a mis à mal le moral de cette jeune femme, calme et posée. Elle est très vite devenue la risée de la maison, heureusement que Nadeuuuuge était là pour prendre sa défense. Elle a donc confié qu'elle avait pensé à abandonner le jeu à plusieurs reprises : « Dans le jeu, on m'a montré comme la victime maltraitée par les autres et honnêtement, c'était le cas. Je n'étais pas bien et à plusieurs reprises j'ai voulu quitter le jeu. (…) J'étais proche de la dépression et j'étais sous traitement anxiolytique, sous Lexomil, à partir de la moitié du jeu. Je parlais à la psychologue pratiquement tous les jours au téléphone. J'avais envie de rentrer chez moi et retrouver mon mari. Le moment où je prenais le plus de cachets, c'est là que les gens m'aimaient le plus. J'étais tellement shooté que je faisais rire tout le monde, j'étais sur un petit nuage. Ça m'a permis de tenir le coup. Aujourd'hui, ça va bien mais je suis toujours suivie par la psychologue. » Une expérience à refaire ?
Sans doute ! Depuis, forte de ses 70 000 euros (et de son nouveau bonnet C), Audrey loue un nouvel appartement dans lequel elle a mis de jolis meubles. Elle s'est même acheté une moto.
Alors quelques séances chez la psy ce n'est pas bien grave !