En l’honneur de la charte de gouvernance démocratique issue des assises nationales
Mes chers compatriotes
Parce qu’ils n’ont pas défendu suffisamment la charte de gouvernance démocratique issue des assises nationales, les sénégalais restent dans la gâtine. Le pouvoir comme le peuple invente des slogans pour amuser la galerie. Le constat Deuk bi dafa Maki, devient une plaisanterie sénégalaise de cousinage et le peuple se rend compte que Yonnu yokouté n’accroit que ceux qui se sont hâtés de coaliser pour occuper des postes de privilèges, au coût très cher pour le peuple; mais qui l’édifie sur le degré d’honnêteté et de patriotisme de ces citoyens là. Pour réussir son mandat trois uniques options se posent à Macky Sall.
La première serait de garder ses alliés pour respecter ses engagements pré-électoraux en pensant que l’union fait la force. Mais Comme disait Alain « L’union fait la force de qui ? » Sans doute pas celle du président de la république avant tout chef de l’APR, qui parait désorienté par les conseils de ses alliés, porteurs de semblant de socialisme, de communisme désuet, sinon de rien du tout, ou qui l’accrochent à des formules comme « Le pays avant le parti ».
Il n’est pas possible que des gens qui ont un idéal et une doctrine auxquels ils croient, se soient dépouillés dès qu’ils aient senti l’odeur du gâteau ; comme plus épouvantablement ces messieurs de la société civile qui ont mutilé atrocement les patriotes et les sentinelles de la démocratie en se ralliant comme des benêts. De toute évidence le gouvernement de régime présidentiel hybride est une force irraisonnée, tel le croisement de la jument et de l’âne d’où naît le mulet qui malgré toute sa force restera stérile.
La seconde option serait de gouverner avec son parti et ses militants qui ont cru en lui et à sa théorie libérale pour imprimer sa vision propre dans l’orientation des affaires du pays, sans être gêné par les influences de gens qui, comme sur l’échiquier passent leur temps à se positionner pour la relève. Je devrais dire pour le relever.
Evidemment pour la performance d’un gouvernement, des technocrates peuvent être embauchés, mais le sont toujours dangereusement des politiciens de doctrines et d’éthiques différentes de surcroît chef de parti d’opposition, dont les rôles les plus adéquats seraient de se poster à l’assemblée nationale ou au Conseil Economique, Social et Environnemental.
Toute la force de mobilisation et le maintien de Abdoulaye Wade dans le champ politique du Sénégal, résulte du fait que le président Macky s’est entouré d’une force hétérogène qui l’a empêché de poser de véritables actes politiques pouvant rassembler le peuple autour d’un objectif commun fort et profitant à chaque citoyen.
Aujourd’hui qu’il est menacé par Wade avec sa capacité de subversion et de mobilisation ahurissante, prêt à tout pour faire libérer son fils qu’il met au dessus du peuple, entourés de conseillés et de chefs de partis complexes et différents, menacé par ses alliés qui se positionnent de mieux en mieux, Macky Sall, submergé qu’il est, pourrait émerger lui-même en appliquant la troisième option qui est de ramener son mandât à cinq ans comme il l’eût promis aux Sénégalais, en conservant ses alliés et en appliquant La charte de gouvernance démocratique issue des assises nationales ; dans laquelle sont bien calibrés ces hommes-ci dans les dimensions appropriées de serviteurs du peuple, ainsi que tous les actes politiques, sociales et économiques pouvant émanciper la nation entière et au delà toute l’Afrique.
L’application de cette charte qui rencontrera irrévocablement l’hostilité des nations sangsues, puisque sonnant la trompette de l’indépendance effective de l’Afrique ; sortirait Maky Sall du bourbier, le hisserait illico au rang des plus grands hommes d’état du monde et lui offrirait un leadership inégalable en Afrique. Vive le Sénégal ! Vive la charte de bonne gouvernance! Paix et Salut aux patriotes!
Papa Amadou Ndiaye
Leconsulteursa@yahoo.fr
Parce qu’ils n’ont pas défendu suffisamment la charte de gouvernance démocratique issue des assises nationales, les sénégalais restent dans la gâtine. Le pouvoir comme le peuple invente des slogans pour amuser la galerie. Le constat Deuk bi dafa Maki, devient une plaisanterie sénégalaise de cousinage et le peuple se rend compte que Yonnu yokouté n’accroit que ceux qui se sont hâtés de coaliser pour occuper des postes de privilèges, au coût très cher pour le peuple; mais qui l’édifie sur le degré d’honnêteté et de patriotisme de ces citoyens là. Pour réussir son mandat trois uniques options se posent à Macky Sall.
La première serait de garder ses alliés pour respecter ses engagements pré-électoraux en pensant que l’union fait la force. Mais Comme disait Alain « L’union fait la force de qui ? » Sans doute pas celle du président de la république avant tout chef de l’APR, qui parait désorienté par les conseils de ses alliés, porteurs de semblant de socialisme, de communisme désuet, sinon de rien du tout, ou qui l’accrochent à des formules comme « Le pays avant le parti ».
Il n’est pas possible que des gens qui ont un idéal et une doctrine auxquels ils croient, se soient dépouillés dès qu’ils aient senti l’odeur du gâteau ; comme plus épouvantablement ces messieurs de la société civile qui ont mutilé atrocement les patriotes et les sentinelles de la démocratie en se ralliant comme des benêts. De toute évidence le gouvernement de régime présidentiel hybride est une force irraisonnée, tel le croisement de la jument et de l’âne d’où naît le mulet qui malgré toute sa force restera stérile.
La seconde option serait de gouverner avec son parti et ses militants qui ont cru en lui et à sa théorie libérale pour imprimer sa vision propre dans l’orientation des affaires du pays, sans être gêné par les influences de gens qui, comme sur l’échiquier passent leur temps à se positionner pour la relève. Je devrais dire pour le relever.
Evidemment pour la performance d’un gouvernement, des technocrates peuvent être embauchés, mais le sont toujours dangereusement des politiciens de doctrines et d’éthiques différentes de surcroît chef de parti d’opposition, dont les rôles les plus adéquats seraient de se poster à l’assemblée nationale ou au Conseil Economique, Social et Environnemental.
Toute la force de mobilisation et le maintien de Abdoulaye Wade dans le champ politique du Sénégal, résulte du fait que le président Macky s’est entouré d’une force hétérogène qui l’a empêché de poser de véritables actes politiques pouvant rassembler le peuple autour d’un objectif commun fort et profitant à chaque citoyen.
Aujourd’hui qu’il est menacé par Wade avec sa capacité de subversion et de mobilisation ahurissante, prêt à tout pour faire libérer son fils qu’il met au dessus du peuple, entourés de conseillés et de chefs de partis complexes et différents, menacé par ses alliés qui se positionnent de mieux en mieux, Macky Sall, submergé qu’il est, pourrait émerger lui-même en appliquant la troisième option qui est de ramener son mandât à cinq ans comme il l’eût promis aux Sénégalais, en conservant ses alliés et en appliquant La charte de gouvernance démocratique issue des assises nationales ; dans laquelle sont bien calibrés ces hommes-ci dans les dimensions appropriées de serviteurs du peuple, ainsi que tous les actes politiques, sociales et économiques pouvant émanciper la nation entière et au delà toute l’Afrique.
L’application de cette charte qui rencontrera irrévocablement l’hostilité des nations sangsues, puisque sonnant la trompette de l’indépendance effective de l’Afrique ; sortirait Maky Sall du bourbier, le hisserait illico au rang des plus grands hommes d’état du monde et lui offrirait un leadership inégalable en Afrique. Vive le Sénégal ! Vive la charte de bonne gouvernance! Paix et Salut aux patriotes!
Papa Amadou Ndiaye
Leconsulteursa@yahoo.fr