Le véhicule se trouvait sur une aire de stationnement dans l'Etat frontalier du Burgenland (est) depuis mercredi, a précisé le porte-parole de la police, Hans Peter Doskozil, lors d'une conférence de presse commune avec la ministre de l'Intérieur Johanna Mikl-Leitner. "Ce drame nous affecte tous", a pour sa part déclaré la ministre, ajoutant que "les trafiquants d'être humains sont des criminels".
Circonstances indéterminées
Il n'a pas été possible de savoir dans un premier temps comment les migrants ont trouvé la mort, ni depuis combien de temps. Le Burgenland est frontalier de la Hongrie, confrontée à un afflux sans précédent de migrants. Cette découverte macabre intervient alors que la chancelière allemande Angela Merkel participe à un sommet à Vienne avec les dirigeants des pays des Balkans de l'Ouest, dont l'agenda est dominé par la crise des migrants.
"Contrôles plus stricts"
Avant le sommet, le ministre autrichien des Affaires étrangères Sebastian Kurz a prévenu que son pays pourrait envisager d'introduire des mesures plus musclées contre les migrants, dont "des contrôles plus stricts à la frontière", si l'UE échouait à trouver une réponse unitaire. "On ne devrait pas prétendre que seules l'Italie et la Grèce sont affectées", a-t-il dit dans une interview à la radiotélévision publique ORF.
"Bouleversés"
"Nous sommes tous bouleversés par ces terribles nouvelles, selon lesquelles jusqu'à 50 personnes ont trouvé la mort (...) alors que ces gens venaient chercher la sécurité", a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel.
"Avertissement"
"C'est un avertissement pour que l'on se mette au travail, pour résoudre ce problème et faire preuve de solidarité", a ajouté la chancelière qui participe à Vienne à un sommet sur les Balkans de l'Ouest.
"Énormes défis"
Mme Merkel a reconnu que les pays des Balkans de l'Ouest faisaient face à "d'énormes défis", en accueillant des dizaines de milliers de migrants tentant de rejoindre les pays de l'Union Européenne. "Il est de notre responsabilité d'aider ces pays", a-t-elle ajouté. La Macédoine et la Serbie, deux des principaux points de passage des migrants et non-membres de l'Union européenne, ont appelé l'UE à agir lors de ce sommet.
Circonstances indéterminées
Il n'a pas été possible de savoir dans un premier temps comment les migrants ont trouvé la mort, ni depuis combien de temps. Le Burgenland est frontalier de la Hongrie, confrontée à un afflux sans précédent de migrants. Cette découverte macabre intervient alors que la chancelière allemande Angela Merkel participe à un sommet à Vienne avec les dirigeants des pays des Balkans de l'Ouest, dont l'agenda est dominé par la crise des migrants.
"Contrôles plus stricts"
Avant le sommet, le ministre autrichien des Affaires étrangères Sebastian Kurz a prévenu que son pays pourrait envisager d'introduire des mesures plus musclées contre les migrants, dont "des contrôles plus stricts à la frontière", si l'UE échouait à trouver une réponse unitaire. "On ne devrait pas prétendre que seules l'Italie et la Grèce sont affectées", a-t-il dit dans une interview à la radiotélévision publique ORF.
"Bouleversés"
"Nous sommes tous bouleversés par ces terribles nouvelles, selon lesquelles jusqu'à 50 personnes ont trouvé la mort (...) alors que ces gens venaient chercher la sécurité", a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel.
"Avertissement"
"C'est un avertissement pour que l'on se mette au travail, pour résoudre ce problème et faire preuve de solidarité", a ajouté la chancelière qui participe à Vienne à un sommet sur les Balkans de l'Ouest.
"Énormes défis"
Mme Merkel a reconnu que les pays des Balkans de l'Ouest faisaient face à "d'énormes défis", en accueillant des dizaines de milliers de migrants tentant de rejoindre les pays de l'Union Européenne. "Il est de notre responsabilité d'aider ces pays", a-t-elle ajouté. La Macédoine et la Serbie, deux des principaux points de passage des migrants et non-membres de l'Union européenne, ont appelé l'UE à agir lors de ce sommet.
7sur7.be