Aissata Tall Sall présidait hier une réunion entre autorités gambiennes et sénégalaises sur la coupe illicite du bois. Tenue sur instruction des deux chefs d’Etat, la réunion a pour but de trouver une solution à ce problème qui porte un grand préjudice à la faune et a la flore des deux nations voisines, nous dit « L’As ».
Précisant que la coupe illicite de bois n’est pas un problème sénégalais ou gambien, mais un problème sénégalo-gambien, Aissata Tall Sall pense que cette pratique ne cesse de dégrader les conditions de vie des populations et constitue une sérieuse menace pour la stabilité de l’écosystème. Se réjouissant du fait que les forces de défense et de sécurité ont réussi tout récemment une saisie de plus de 1 900 voire 2 000 billons de bois, elle affirme que le défi reste majeur même si les deux pays ont déjà réussi à barrer la route aux délinquants internationaux.
Elle a aussi appelé à une collaboration plus étroite entre les deux pays limitrophes afin de trouver des mesures fortes, immédiates et concrètes aux niveaux politique, sécuritaire, environnemental et socio-économique en vue d’apporter des réponses collectives et durables à la problématique de la gestion de l’écosystème commun.
Précisant que la coupe illicite de bois n’est pas un problème sénégalais ou gambien, mais un problème sénégalo-gambien, Aissata Tall Sall pense que cette pratique ne cesse de dégrader les conditions de vie des populations et constitue une sérieuse menace pour la stabilité de l’écosystème. Se réjouissant du fait que les forces de défense et de sécurité ont réussi tout récemment une saisie de plus de 1 900 voire 2 000 billons de bois, elle affirme que le défi reste majeur même si les deux pays ont déjà réussi à barrer la route aux délinquants internationaux.
Elle a aussi appelé à une collaboration plus étroite entre les deux pays limitrophes afin de trouver des mesures fortes, immédiates et concrètes aux niveaux politique, sécuritaire, environnemental et socio-économique en vue d’apporter des réponses collectives et durables à la problématique de la gestion de l’écosystème commun.