’’Nous n’avons pas atteint un seuil qui permet de déclarer que nous avons une épidémie au Sénégal’’, a-t-elle dit mardi à Diourbel, au terme d’une réunion avec tous les acteurs concernés.
Aussi, a-t-elle précisé ’’qu’on ne vaccine que quand il y a une épidémie et ce n’est pas le cas. Ce qu’il faut c’est une surveillance et une prise en charge précoce’’.
Pour une meilleure prise en charge de la maladie, le ministre a prôné la mise en œuvre de mesures reposant sur ’’une très bonne approche stratégique’’.
A ce propos, elle a décidé d’appuyer la région surtout dans le sens de la gratuité des intrants utilisés dans le traitement des malades.
Ces intrants qui faisaient plus ou moins défaut dès l’apparition de la maladie sont aujourd’hui disponibles au niveau de la pharmacie régionale d’approvisionnement. Ils ont entre autres trait aux médicaments, aux aiguilles de ponction pulmonaire et aux réactifs utilisés dans les laboratoires pour l’analyse des prélèvements.
’’On n’a pas de décès dans nos structures mais ce qui se passe dans les communautés nous ne le maitrisons pas’’, a toutefois indiqué le médecin-chef de région, le docteur Masserigne Ndiaye, soulignant ’’qu’aujourd’hui, la situation est sous contrôle’’.
Dans la région de Diourbel, 105 cas suspects ont enregistrés dont 15 confirmés. Pour certains spécialistes, il faut au moins 170 cas par semaine pour qu’on puisse parler d’épidémie.
Avec le nombre élevé de marchés hebdomadaires (37) dans la région, de cérémonies religieuses et de d’écoles coraniques et de tous les autres facteurs de propagation de la maladie, la nécessité d’une stratégie de communication et sensibilisation appropriée a été fortement agitée au cours des débats.
APS
Aussi, a-t-elle précisé ’’qu’on ne vaccine que quand il y a une épidémie et ce n’est pas le cas. Ce qu’il faut c’est une surveillance et une prise en charge précoce’’.
Pour une meilleure prise en charge de la maladie, le ministre a prôné la mise en œuvre de mesures reposant sur ’’une très bonne approche stratégique’’.
A ce propos, elle a décidé d’appuyer la région surtout dans le sens de la gratuité des intrants utilisés dans le traitement des malades.
Ces intrants qui faisaient plus ou moins défaut dès l’apparition de la maladie sont aujourd’hui disponibles au niveau de la pharmacie régionale d’approvisionnement. Ils ont entre autres trait aux médicaments, aux aiguilles de ponction pulmonaire et aux réactifs utilisés dans les laboratoires pour l’analyse des prélèvements.
’’On n’a pas de décès dans nos structures mais ce qui se passe dans les communautés nous ne le maitrisons pas’’, a toutefois indiqué le médecin-chef de région, le docteur Masserigne Ndiaye, soulignant ’’qu’aujourd’hui, la situation est sous contrôle’’.
Dans la région de Diourbel, 105 cas suspects ont enregistrés dont 15 confirmés. Pour certains spécialistes, il faut au moins 170 cas par semaine pour qu’on puisse parler d’épidémie.
Avec le nombre élevé de marchés hebdomadaires (37) dans la région, de cérémonies religieuses et de d’écoles coraniques et de tous les autres facteurs de propagation de la maladie, la nécessité d’une stratégie de communication et sensibilisation appropriée a été fortement agitée au cours des débats.
APS