« Voila une raffinerie qui est dans un pays où le besoin en combustible représente 2 millions de tonnes et qui a une capacité de raffinage d’un million de tonnes (…). La deuxième chose qui se passe à la Sar, c’est que nous avons assisté à une reprise en main de la Sar par l’Etat du Sénégal par des achats successifs d’actions qui étaient détournées à l’époque par ceux qu’on appelle les Majors qui opéraient sur le plan de la distribution pétrolière. Quand l’Etat a racheté la Sar, elle avait une nouvelle stratégie, nouer des alliances pour construire une raffinerie dans le futur. Mais pendant la même période, ils ont mis énormément d’argent dans la Sar. Et cet argent n’est pas resté dans l’entreprise. Il est parti dans les poches des gens. C'est pour ça que je dis que la Sar est malade », a expliqué Aymérou Gningue.
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