Au cours de l’émission qui sera rediffusée ce mercredi 2 janvier de 23 h à minuit, pas une seule fois je n’ai cité le nom Djily Mbaye et celui du Mauritanien Bâ Abdoul Aziz. Voilà, en substance, mon propos : « Le procès de Hissène Habré sera une bombe à fragmentations. Avec des fragments incendiaires qui iront dans toutes les directions. Si le gouvernement n’encadre pas et n’escorte pas le procès, des notables sénégalais et étrangers seront convoqués, à titre posthume, dans les plaidoiries et les réquisitions, par des auxiliaires de justice comme les avocats. Et même la France en prendra pour son grade. »
Malgré l’insistance du journaliste, je me suis gardé de citer des noms sénégalais et étrangers. Dans la foulée j’ai recommandé des livres qui sont des mines d’informations sur le sujet. Il s’agit de l’ouvrage de Bernard Lannes, chercheur au CNRS de Paris ; et celui de l’ambassadeur Raphaël Touze intitulé « 365 jours d’un ambassadeur au Tchad ». J’aurai pu y ajouter les mémoires de Stéphane Hessel qui a négocié sans succès la libération de l’otage Françoise Claustre née Steiner.
Quant à Abdou Diouf, je n’ai pas associé son nom à l’argent de Habré. J’ai strictement parlé d’une intervention française qui fut décisive (celle du Préfet Claude Silberzahn) pour qu’il acceptât l’arrivée de Hissène Habré au Sénégal. Tout le reste constitue le corps de l’article du site Zomtchad.com, et n’engage que ses auteurs.
Je comprends l’émoi de la famille et des amis de Djily Mbaye. C’est pourquoi j’ai fourni toutes les explications à Moussa Mbaye, fils de feu Djily. Rediffusion à suivre ce mercredi. Je lance un défi à tout téléspectateur qui entendra de ma bouche et de celle du journaliste, le nom de Djily Mbaye, parent de mon ami et ex-directeur Babacar Touré, Président du CNRA
Malgré l’insistance du journaliste, je me suis gardé de citer des noms sénégalais et étrangers. Dans la foulée j’ai recommandé des livres qui sont des mines d’informations sur le sujet. Il s’agit de l’ouvrage de Bernard Lannes, chercheur au CNRS de Paris ; et celui de l’ambassadeur Raphaël Touze intitulé « 365 jours d’un ambassadeur au Tchad ». J’aurai pu y ajouter les mémoires de Stéphane Hessel qui a négocié sans succès la libération de l’otage Françoise Claustre née Steiner.
Quant à Abdou Diouf, je n’ai pas associé son nom à l’argent de Habré. J’ai strictement parlé d’une intervention française qui fut décisive (celle du Préfet Claude Silberzahn) pour qu’il acceptât l’arrivée de Hissène Habré au Sénégal. Tout le reste constitue le corps de l’article du site Zomtchad.com, et n’engage que ses auteurs.
Je comprends l’émoi de la famille et des amis de Djily Mbaye. C’est pourquoi j’ai fourni toutes les explications à Moussa Mbaye, fils de feu Djily. Rediffusion à suivre ce mercredi. Je lance un défi à tout téléspectateur qui entendra de ma bouche et de celle du journaliste, le nom de Djily Mbaye, parent de mon ami et ex-directeur Babacar Touré, Président du CNRA