Lieu de mémoire, témoin de l’histoire, le mythe de Bopou THIOR fascine à travers les âges. Entre ses belles mangroves et ces imposants palmiers, dressés comme pour cacher ses beaux secrets, sont gardés les vestiges oubliés de l’histoire de NDAR, une ville que sanctuaire a vu naître et grandir. Sur cette île, la première briqueterie de l’Afrique-Occidentale française (AOF) fut installée. Les vieilles bâtissent de Saint-Louis ont été construites avec les briques rouges de Bopou THIOR.
Le premier cimetière musulman de Saint-Louis s’y trouve et d’illustres personnalités comme Aynina FALL, Bou El Mogdad, des descendants de la famille SOURANG et petits fils du Prophète Mouhamed (PSL) s’y reposent. Tous les morts de Saint-Louis y étaient enterrés jusqu’en 1951 où le convoi funèbre de feu « NDOUDEU », a chaviré. Neuf personnes ont perdu la vie au cours de ce naufrage. Thième et Thiaka NDIAYE pour éviter d’autres drames. Les stèles en marbre avec des arabesques des anciens rappellent d’une époque glorieuse, florissante, mais révolue.
Autrefois, un îlot de bonheur et de beauté par ses vastes champs de dattiers, de cocotiers, de mangues et d’autres agrumes, Bopou THIOR souffre atrocement du fait du délaissement et de l’oubli des autorités. L’ouverture du barrage de DIAMA, a accentué la remontée salée et tué toute la vivacité de sa vie, si précieuse à la postérité.
Coupée du monde, l’île, triste et déprimée, vit sans eau ni électricité alors qu’elle se situe, juste, à 2 kilomètres de Saint-Louis. Aucune structure sanitaire sur place, aucun forage, de la misère en abondance, de la soif et des larmes. Les femmes en accouchement sont transportées en pirogues. Beaucoup d’entre elles ont accouché dans les embarcations avant d’arriver à l’hôpital de Saint-Louis. La liste des victimes de cette périlleuse et mortelle tragédie est longue.
Le premier cimetière musulman de Saint-Louis s’y trouve et d’illustres personnalités comme Aynina FALL, Bou El Mogdad, des descendants de la famille SOURANG et petits fils du Prophète Mouhamed (PSL) s’y reposent. Tous les morts de Saint-Louis y étaient enterrés jusqu’en 1951 où le convoi funèbre de feu « NDOUDEU », a chaviré. Neuf personnes ont perdu la vie au cours de ce naufrage. Thième et Thiaka NDIAYE pour éviter d’autres drames. Les stèles en marbre avec des arabesques des anciens rappellent d’une époque glorieuse, florissante, mais révolue.
Autrefois, un îlot de bonheur et de beauté par ses vastes champs de dattiers, de cocotiers, de mangues et d’autres agrumes, Bopou THIOR souffre atrocement du fait du délaissement et de l’oubli des autorités. L’ouverture du barrage de DIAMA, a accentué la remontée salée et tué toute la vivacité de sa vie, si précieuse à la postérité.
Coupée du monde, l’île, triste et déprimée, vit sans eau ni électricité alors qu’elle se situe, juste, à 2 kilomètres de Saint-Louis. Aucune structure sanitaire sur place, aucun forage, de la misère en abondance, de la soif et des larmes. Les femmes en accouchement sont transportées en pirogues. Beaucoup d’entre elles ont accouché dans les embarcations avant d’arriver à l’hôpital de Saint-Louis. La liste des victimes de cette périlleuse et mortelle tragédie est longue.