Le Quotidien : On ne vous voit plus non plus être actif dans la Génération du concret pour laquelle vous êtes un pionnier dans son implantation à Thiès…?
Bacar Diagne : On est dans des moments où on ne sait plus qui est qui. Ils n’ont jamais compris ceux qui sont venus grâce à moi ou autrement à la Génération du concret, que cette structure n’était pas un parti, mais un slogan qui s’est construit sur la base d’idées pour accompagner Karim Wade. Quand je montais le premier bureau à Thiès, il n’y avait pas des millions à se partager et je me suis fait élire au titre de président d’honneur pour supporter les frais. Beaucoup ont milité pour avoir de l’argent. C’était des usurpateurs dont certains ont même été auditionnés. La Gc n’est pas structurée, mais je me considère comme le patriarche de tout le monde à Thiès. C’est sans doute pourquoi ceux qui me fréquentaient quand on lançait le mouvement et qui avaient par la suite disparu, sont revenus vers moi.
Le Quotidien : Ce Karim Wade, vous ne l’échangeriez contre rien. Pourquoi?
Bacar Diagne : Je ne m’en cache pas. Avant de le choisir, j’ai cherché à savoir ce dont ses détracteurs l’accusent. Et je n’en connais pas grand chose. Ses détracteurs non plus n’en disent rien. Sinon, ils l’auraient dit. Je passe sous silence ses qualités humaines. Le ridicule pousse ses détracteurs à dire qu’il ne parle pas wolof. Ils se sont rendu compte que cela ne passait pas. Ce garçon pouvait faire comme les autres fils de Président, mais il est venu pour travailler et voilà son grand mérite.
Le Quotidien : Il se dit que vous en auriez fait volontiers le successeur à son père, s’il vous appartenait de décider…?
Bacar Diagne : Absolument ! Mais vu que je ne suis pas Dieu, j’accepterai tout choix à partir de la volonté divine en me pliant à l’autorité du successeur du Président Wade et en souhaitant qu’il s’inscrive dans la continuation de ce qu’avait fait son prédécesseur. Je reconnais que Karim a les capacités intellectuelles et les relations d’homme d’Etat pour briguer le poste de Président, d’autant qu’il est Sénégalais comme vous et moi. Pour tout dire, il est ma préférence.
Le Quotidien
Thiedo
Bacar Diagne : On est dans des moments où on ne sait plus qui est qui. Ils n’ont jamais compris ceux qui sont venus grâce à moi ou autrement à la Génération du concret, que cette structure n’était pas un parti, mais un slogan qui s’est construit sur la base d’idées pour accompagner Karim Wade. Quand je montais le premier bureau à Thiès, il n’y avait pas des millions à se partager et je me suis fait élire au titre de président d’honneur pour supporter les frais. Beaucoup ont milité pour avoir de l’argent. C’était des usurpateurs dont certains ont même été auditionnés. La Gc n’est pas structurée, mais je me considère comme le patriarche de tout le monde à Thiès. C’est sans doute pourquoi ceux qui me fréquentaient quand on lançait le mouvement et qui avaient par la suite disparu, sont revenus vers moi.
Le Quotidien : Ce Karim Wade, vous ne l’échangeriez contre rien. Pourquoi?
Bacar Diagne : Je ne m’en cache pas. Avant de le choisir, j’ai cherché à savoir ce dont ses détracteurs l’accusent. Et je n’en connais pas grand chose. Ses détracteurs non plus n’en disent rien. Sinon, ils l’auraient dit. Je passe sous silence ses qualités humaines. Le ridicule pousse ses détracteurs à dire qu’il ne parle pas wolof. Ils se sont rendu compte que cela ne passait pas. Ce garçon pouvait faire comme les autres fils de Président, mais il est venu pour travailler et voilà son grand mérite.
Le Quotidien : Il se dit que vous en auriez fait volontiers le successeur à son père, s’il vous appartenait de décider…?
Bacar Diagne : Absolument ! Mais vu que je ne suis pas Dieu, j’accepterai tout choix à partir de la volonté divine en me pliant à l’autorité du successeur du Président Wade et en souhaitant qu’il s’inscrive dans la continuation de ce qu’avait fait son prédécesseur. Je reconnais que Karim a les capacités intellectuelles et les relations d’homme d’Etat pour briguer le poste de Président, d’autant qu’il est Sénégalais comme vous et moi. Pour tout dire, il est ma préférence.
Le Quotidien
Thiedo