’’On n’en est pas encore là’’, a répondu M. Agne à une question relative à la signature, jeudi, d’un protocole d’accord entre le gouvernement, les syndicats de travailleurs et le patronat.
Le protocole d’accord concerne l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs, la baisse de la fiscalité sur les salaires, le coût du loyer, la baisse des prix des denrées de première nécessité et de certains biens et services, la protection sociale des travailleurs journaliers, la retraite à 60 ans, la réforme des textes régissant certains secteurs comme la presse, etc.
’’Il se trouve qu’au début (des négociations), nous nous étions engagés à ne pas signer le document et, peut-être, l’analyser. Par la suite, nous nous sommes rendus compte que nous ne pouvions pas signer ce document (protocole d’accord) du fait du décès (de la mère d’un responsable syndical)’’, a-t-il soulevé.
‘’Nous avons reçu un projet de protocole. Nous avions au préalable envoyé nos commentaires (sur ce projet) et on s’est rendu compte qu’ils n’ont pas encore été pris en compte. Notamment, toutes les mesures d’accompagnement qui devaient aller avec l’augmentation généralisée de 4 à 8% des salaires que nous avions acceptée’’, a commenté M. Agne.
Il a précisé qu’’’avant de signer un document d’une augmentation généralisée de 4 à 8%’’ par exemple, il faudra en définir les modalités et les catégories (...). Cela doit être fait. Il n’est pas encore fait’’.
Pour sa part, le président de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal-Forces du changement (CNTS-FC), Cheikh Diop, a proposé la création d’un cadre de suivi des accords.
‘’Notre préoccupation, a-t-il dit, c’est de mettre en place un cadre de suivi des accords. Nous avons constaté que sur les questions du loyer, de la fiscalité, des entreprises en difficulté surtout, il faut nécessairement un cadre de suivi pour que tout ce que nous retenons des négociations soit correctement sur le terrain’’.
‘’Que les problèmes des travailleurs des entreprises en difficulté et des entreprises liquidées soient réglés le plus rapidement possible’’, préconise M. Diop.
Cette proposition a été acceptée par le gouvernement. ‘’Il faut installer un système d’alerte et de suivi. Nous allons mettre en place un système de suivi qui va nous permettre de regarder régulièrement, tous les trois ou six mois, le suivi des accords. Je crois que c’est une décision majeure’’, a dit le ministre de la Fonction publique, de l’Emploi, du Travail et des Organisations professionnelles, Innocence Ntab Ndiaye.
Le protocole d’accord concerne l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs, la baisse de la fiscalité sur les salaires, le coût du loyer, la baisse des prix des denrées de première nécessité et de certains biens et services, la protection sociale des travailleurs journaliers, la retraite à 60 ans, la réforme des textes régissant certains secteurs comme la presse, etc.
’’Il se trouve qu’au début (des négociations), nous nous étions engagés à ne pas signer le document et, peut-être, l’analyser. Par la suite, nous nous sommes rendus compte que nous ne pouvions pas signer ce document (protocole d’accord) du fait du décès (de la mère d’un responsable syndical)’’, a-t-il soulevé.
‘’Nous avons reçu un projet de protocole. Nous avions au préalable envoyé nos commentaires (sur ce projet) et on s’est rendu compte qu’ils n’ont pas encore été pris en compte. Notamment, toutes les mesures d’accompagnement qui devaient aller avec l’augmentation généralisée de 4 à 8% des salaires que nous avions acceptée’’, a commenté M. Agne.
Il a précisé qu’’’avant de signer un document d’une augmentation généralisée de 4 à 8%’’ par exemple, il faudra en définir les modalités et les catégories (...). Cela doit être fait. Il n’est pas encore fait’’.
Pour sa part, le président de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal-Forces du changement (CNTS-FC), Cheikh Diop, a proposé la création d’un cadre de suivi des accords.
‘’Notre préoccupation, a-t-il dit, c’est de mettre en place un cadre de suivi des accords. Nous avons constaté que sur les questions du loyer, de la fiscalité, des entreprises en difficulté surtout, il faut nécessairement un cadre de suivi pour que tout ce que nous retenons des négociations soit correctement sur le terrain’’.
‘’Que les problèmes des travailleurs des entreprises en difficulté et des entreprises liquidées soient réglés le plus rapidement possible’’, préconise M. Diop.
Cette proposition a été acceptée par le gouvernement. ‘’Il faut installer un système d’alerte et de suivi. Nous allons mettre en place un système de suivi qui va nous permettre de regarder régulièrement, tous les trois ou six mois, le suivi des accords. Je crois que c’est une décision majeure’’, a dit le ministre de la Fonction publique, de l’Emploi, du Travail et des Organisations professionnelles, Innocence Ntab Ndiaye.