Pour les centres ciblés, il s’agit notamment des hôpitalux de Diamniadio, Aristide Le Dantec, Idrissa Pouye et Principal. Chaque région gardera un centre de traitement des malades de COVID-19.
La baisse de la contamination de la COVID-19 constatée depuis quelques temps, a amené le ministère de la Santé et de l’Action Sociale à penser à une démobilisation des troupes et à la fermeture de certains centres de traitement des épidémies. Cette stratégie envisagée par les autorités sanitaires vise la reprise normale des services de santé impactés par la pandémie de COVID-19.
Dans une note technique du 29 septembre, le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS), Dr. Abdoulaye Bousso qui constate une baisse continue de nouveaux cas de COVID-19 depuis la semaine 33, suggère une stratégie de démobilisation des centres de traitement des épidémies, notamment la COVID-19. Il relève également le coût important dans la gestion des CTE en ressources humaines et financières et l’impact de la COVID-19 sur les services de pédiatrie et centres d’hémodialyse.
Fort de ces constats, le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS) met sur la table des autorités, plusieurs propositions. La première consiste en la fermeture sans délai des sites de traitement de Covid-19 n’ayant plus de patients. A ce propos, il vise le CTE de Yeumbeul. Dans la note technique, il est suggéré de ne plus admettre de nouveaux patients dans les sites extra-hospitaliers.
Il s’agit du Hangar des pèlerins de l’aéroport Léopold Sédar Senghor (LSS) et du centre de Guéro. Pour le hangar des pèlerins, le personnel du CTE pourra être démobilisé après la sortie de tous les patients.
Toutefois, précise-t-on, « le dispositif installé devra être maintenu tant que des cas persisteront dans le pays, pour une éventuelle reprise de l’activité en cas de besoin ».
Le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS) est aussi favorable à la fermeture des sites de traitement de covid-19, 14 jours après le Magal de Touba, si la baisse des cas persiste. On veut d’abord s’assurer que le Magal n’a pas été un lieu de propagation du coronavirus.
« Il ne faudrait plus y admettre des patients à partir du 20 octobre si la situation reste sous contrôle à l’Hôpital Diamniadio et retourner le site pour la santé de la mère et de l’enfant ainsi que les hôpitaux Aristide Le Dantec, Idrissa Pouye et Principal », indique la note.
L’As
La baisse de la contamination de la COVID-19 constatée depuis quelques temps, a amené le ministère de la Santé et de l’Action Sociale à penser à une démobilisation des troupes et à la fermeture de certains centres de traitement des épidémies. Cette stratégie envisagée par les autorités sanitaires vise la reprise normale des services de santé impactés par la pandémie de COVID-19.
Dans une note technique du 29 septembre, le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS), Dr. Abdoulaye Bousso qui constate une baisse continue de nouveaux cas de COVID-19 depuis la semaine 33, suggère une stratégie de démobilisation des centres de traitement des épidémies, notamment la COVID-19. Il relève également le coût important dans la gestion des CTE en ressources humaines et financières et l’impact de la COVID-19 sur les services de pédiatrie et centres d’hémodialyse.
Fort de ces constats, le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS) met sur la table des autorités, plusieurs propositions. La première consiste en la fermeture sans délai des sites de traitement de Covid-19 n’ayant plus de patients. A ce propos, il vise le CTE de Yeumbeul. Dans la note technique, il est suggéré de ne plus admettre de nouveaux patients dans les sites extra-hospitaliers.
Il s’agit du Hangar des pèlerins de l’aéroport Léopold Sédar Senghor (LSS) et du centre de Guéro. Pour le hangar des pèlerins, le personnel du CTE pourra être démobilisé après la sortie de tous les patients.
Toutefois, précise-t-on, « le dispositif installé devra être maintenu tant que des cas persisteront dans le pays, pour une éventuelle reprise de l’activité en cas de besoin ».
Le Directeur du Centre des Opérations d’Urgences Sanitaires (COUS) est aussi favorable à la fermeture des sites de traitement de covid-19, 14 jours après le Magal de Touba, si la baisse des cas persiste. On veut d’abord s’assurer que le Magal n’a pas été un lieu de propagation du coronavirus.
« Il ne faudrait plus y admettre des patients à partir du 20 octobre si la situation reste sous contrôle à l’Hôpital Diamniadio et retourner le site pour la santé de la mère et de l’enfant ainsi que les hôpitaux Aristide Le Dantec, Idrissa Pouye et Principal », indique la note.
L’As