« Le taux d’utilisation des méthodes contraceptives augmente ces dernières décennies, remarque le chercheur. Les anciennes générations pouvaient ne pas les utiliser faute d’accès ou bien pouvaient avoir des réticences, ou bien même faute de connaissances.
Aujourd’hui, les générations que nous avons, ce sont des générations qui ont accès à l’information sur l’existence des méthodes, les avantages et les inconvénients pour pouvoir faire un choix. Et si je prends par exemple l’éducation : plus les filles vont rester à l’école, plus on aura tendance à une baisse de l’indice de fécondité.
Les taux de scolarisation de manière générale ont augmenté, mais aussi, partiellement, les taux de scolarisation des filles. D’une génération à une autre, l’âge d’entrée en maternité augmente. En plus de ça, quand la femme a des activités économiques, très souvent, cela peut avoir un effet sur ses choix pour la reproduction », a précisé Samba Ndiaye.
Aujourd’hui, les générations que nous avons, ce sont des générations qui ont accès à l’information sur l’existence des méthodes, les avantages et les inconvénients pour pouvoir faire un choix. Et si je prends par exemple l’éducation : plus les filles vont rester à l’école, plus on aura tendance à une baisse de l’indice de fécondité.
Les taux de scolarisation de manière générale ont augmenté, mais aussi, partiellement, les taux de scolarisation des filles. D’une génération à une autre, l’âge d’entrée en maternité augmente. En plus de ça, quand la femme a des activités économiques, très souvent, cela peut avoir un effet sur ses choix pour la reproduction », a précisé Samba Ndiaye.