C’est la localité de Nguéguèye, dans la commune de Ngoye, qui a abrité le premier champ agro-écologique des jeunes de la Fongs (Fédération des organisations non gouvernementales action paysanne). Le thème de ce camp est axé sur les jeunes et les femmes comme leviers de la transformation durable des exploitations familiales.
Le choix de la localité de Nguéguèye s’explique, selon Pape Abdoulaye Diouf, le président de l’URAPD (Union régionale des associations paysannes de Diourbel), par le fait que le groupement Diambar de Nguéguèye est un exemple dans les activités de transition agro-écologique. Cette association a réalisé depuis 2007, beaucoup d’activités agro-écologiques. Ce camp a été organisé par URAPD, membre de la Fongs.
Babacar Diop, consultant au niveau de la Fédération des organisations non gouvernementales action paysanne, explique en détail son objectif : «l’Etat du Sénégal est en train de travailler dans les dynamiques de transition agro-écologique. Il est en train de renforcer ces dynamiques au niveau de ses politiques agricoles. La Fongs en tant qu’organisation de producteurs, a pris les devants. Elle est autour de l’agro-écologie, mais elle a ciblé les jeunes pour leur permettre de jouer leur rôle important autour de l’agro-écologie. Cette dernière va nous permettre d’installer et d’insérer les jeunes, d’éviter l’exode rural et de bloquer les jeunes par rapport à l’émigration clandestine».
Le souci principal, selon lui, « ce n’est pas de produire pour nous nourrir, mais de produire pour nourrir le Sénégal. Et les productions qui nous viennent de l’agro-écologique, sont très saines et vont renforcer la santé. Avoir les jeunes comme cible est une très bonne piste. Et la Fongs a pu mettre beaucoup de programmes qui tournent autour de l’agro-écologie. Nous devons produire pour le Sénégal. Nous devons aussi contribuer au développement de notre nation. Mais l’idéal, c’est d’aller vers la productivité agro-sylvo-pastorale et halieutique. La Fongs vient en appoint pour renforcer les capacités de ces jeunes, pour leur permettre d’exercer le métier de l’agriculture qui est inscrit dans la loi d’orientation synvopastorale votée en 2004 et qui sera examinée en 2024 », a-t-il conclu.
L’adjoint au Sous-Préfet de Ngoye, Ousseynou Diop estime que ce camp est une bonne initiative, de par sa démarche participative et inclusive. Les participants vont échanger pendant ces 5 jours .Le fait de regrouper tous les jeunes venus des différents horizons du pays, permet de revaloriser la jeunesse sénégalaise. Et cela entre dans le cadre de la politique de l’Etat du Sénégal.
La relève générationnelle, l’agro-écologie sont les thèmes qui seront abordés durant ce camp, en présence des 33 organisations de la Fongs. Il s’agit d’outiller ces jeunes venus des 14 régions du pays, selon Moustapha Faye, président du Collège des jeunes de la FONGS et membre de l’Association pour le développement des agriculteurs des régions du Kaffrine et de Kaolack.
Le choix de la localité de Nguéguèye s’explique, selon Pape Abdoulaye Diouf, le président de l’URAPD (Union régionale des associations paysannes de Diourbel), par le fait que le groupement Diambar de Nguéguèye est un exemple dans les activités de transition agro-écologique. Cette association a réalisé depuis 2007, beaucoup d’activités agro-écologiques. Ce camp a été organisé par URAPD, membre de la Fongs.
Babacar Diop, consultant au niveau de la Fédération des organisations non gouvernementales action paysanne, explique en détail son objectif : «l’Etat du Sénégal est en train de travailler dans les dynamiques de transition agro-écologique. Il est en train de renforcer ces dynamiques au niveau de ses politiques agricoles. La Fongs en tant qu’organisation de producteurs, a pris les devants. Elle est autour de l’agro-écologie, mais elle a ciblé les jeunes pour leur permettre de jouer leur rôle important autour de l’agro-écologie. Cette dernière va nous permettre d’installer et d’insérer les jeunes, d’éviter l’exode rural et de bloquer les jeunes par rapport à l’émigration clandestine».
Le souci principal, selon lui, « ce n’est pas de produire pour nous nourrir, mais de produire pour nourrir le Sénégal. Et les productions qui nous viennent de l’agro-écologique, sont très saines et vont renforcer la santé. Avoir les jeunes comme cible est une très bonne piste. Et la Fongs a pu mettre beaucoup de programmes qui tournent autour de l’agro-écologie. Nous devons produire pour le Sénégal. Nous devons aussi contribuer au développement de notre nation. Mais l’idéal, c’est d’aller vers la productivité agro-sylvo-pastorale et halieutique. La Fongs vient en appoint pour renforcer les capacités de ces jeunes, pour leur permettre d’exercer le métier de l’agriculture qui est inscrit dans la loi d’orientation synvopastorale votée en 2004 et qui sera examinée en 2024 », a-t-il conclu.
L’adjoint au Sous-Préfet de Ngoye, Ousseynou Diop estime que ce camp est une bonne initiative, de par sa démarche participative et inclusive. Les participants vont échanger pendant ces 5 jours .Le fait de regrouper tous les jeunes venus des différents horizons du pays, permet de revaloriser la jeunesse sénégalaise. Et cela entre dans le cadre de la politique de l’Etat du Sénégal.
La relève générationnelle, l’agro-écologie sont les thèmes qui seront abordés durant ce camp, en présence des 33 organisations de la Fongs. Il s’agit d’outiller ces jeunes venus des 14 régions du pays, selon Moustapha Faye, président du Collège des jeunes de la FONGS et membre de l’Association pour le développement des agriculteurs des régions du Kaffrine et de Kaolack.