Ce partenariat public / privé dans le domaine agricole et rural, s’inscrit selon Ibrahima Sarr, le Directeur du Centre national de recherches agronomiques (CNRA ), dans le cadre de l’assurance de la sécurité alimentaire et nutritionnelle avec la création de revenus et d’emplois.
Pour Ibrahima Sarr, il est possible à travers ce partenariat ,de montrer aux gens que la technologie peut être utilisée et être accessible aux utilisateurs.
Et il poursuit : « le Cnra fournit les semences et l’expertise pour permettre au partenaire d’évoluer dans les meilleures conditions de production, pour lui permettre d’atteindre ses objectifs en matière de productivité et de rentabilité».
Le coordonnateur du Groupe Mamy Kaya, Badara Seck dit Aliou Seck soutient pour sa part, que « c’est la 2e expérience après celle de la ferme de Ndoss ». Selon lui, leur structure a une vision économique basée sur l‘agriculture, qui permet d’augmenter les revenus des femmes et des jeunes, de créer de l’emploi et de lutter contre l’émigration clandestine.
Et d’ajouter : « l’année dernière, nous avons eu une expérience avec 10 hectares. Cette vision est basée surtout avec les femmes et les jeunes. Cette année, nous avons eu à travailler avec 4 groupements dont 2 groupements de Thiepp et 2 de Thiakhar mais aussi, la Fédération des groupements à qui nous avons remis des semences et une enveloppe leur permettant de pouvoir travailler. Et les résultats obtenus sont satisfaisants ».
Le coordonnateur de ce groupe a plaidé pour que ce partenariat soit démultiplié dans les différentes communes de Bambey. « Nous n’avons pas de terres cultivables, raison pour laquelle nous voulons faire un plaidoyer avec le représentant du Conseil départemental, pour que cette expérience puisse être démultipliée dans toutes les autres communes au profit des jeunes et des femmes ».
Le secrétaire général du Conseil départemental de Bambey, Abdoulaye Ndiaye, qui a salué ce projet de partenariat, s’engage à discuter avec les maires des communes, pour pouvoir développer ce genre d’initiatives.
Sud Quotidien
Pour Ibrahima Sarr, il est possible à travers ce partenariat ,de montrer aux gens que la technologie peut être utilisée et être accessible aux utilisateurs.
Et il poursuit : « le Cnra fournit les semences et l’expertise pour permettre au partenaire d’évoluer dans les meilleures conditions de production, pour lui permettre d’atteindre ses objectifs en matière de productivité et de rentabilité».
Le coordonnateur du Groupe Mamy Kaya, Badara Seck dit Aliou Seck soutient pour sa part, que « c’est la 2e expérience après celle de la ferme de Ndoss ». Selon lui, leur structure a une vision économique basée sur l‘agriculture, qui permet d’augmenter les revenus des femmes et des jeunes, de créer de l’emploi et de lutter contre l’émigration clandestine.
Et d’ajouter : « l’année dernière, nous avons eu une expérience avec 10 hectares. Cette vision est basée surtout avec les femmes et les jeunes. Cette année, nous avons eu à travailler avec 4 groupements dont 2 groupements de Thiepp et 2 de Thiakhar mais aussi, la Fédération des groupements à qui nous avons remis des semences et une enveloppe leur permettant de pouvoir travailler. Et les résultats obtenus sont satisfaisants ».
Le coordonnateur de ce groupe a plaidé pour que ce partenariat soit démultiplié dans les différentes communes de Bambey. « Nous n’avons pas de terres cultivables, raison pour laquelle nous voulons faire un plaidoyer avec le représentant du Conseil départemental, pour que cette expérience puisse être démultipliée dans toutes les autres communes au profit des jeunes et des femmes ».
Le secrétaire général du Conseil départemental de Bambey, Abdoulaye Ndiaye, qui a salué ce projet de partenariat, s’engage à discuter avec les maires des communes, pour pouvoir développer ce genre d’initiatives.
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