Devra t elle savoir que cette commune n’a pas besoin de cavités encore moins d’un semblant de fast food, mais d’infrastructures dignes de ce nom et que sa jeunesse a besoin d’être soutenue et non d’être rabouillée et si elle n’a pas les moyens d’offrir à cette ville, la nôtre, une prospérité économique et culturelle durable, elle n’a qu’à se démettre de ses fonctions.
Devrait-elle aussi savoir que sa jeunesse n’a pas oublié ses reniements et reconversions spectaculaires, mais qu’elle lui a donné une nouvelle chance pour rectifier certaines de ses erreurs pour une ville autrement administrée en évitant l’irrévérence comme elle l’a été sous le PS avec Mar Fall et elle-même comme tandem entre 1996 et 2001. Un tandem qui a enfoui, encore pour longtemps, les illusions qui restaient à cette jeunesse qui voyait à peine l’horizon avec un quotidien statique de plus en plus difficile. Cette jeunesse n’a pas non plus oublié l’année 1993 où elle a débarqué, avec cette finasserie génétique, scandant opportunistement « Abdo gnou doye ». Cette jeunesse n’a pas non plus oublié les meurtres à coup de machette découlant d’une rivalité entre ex frères socialistes qui n’avaient de dessein qu’une ambition personnelle démesurée.
Pourtant elle l’a élue en sanctionnant une équipe, celle sortante, qui semblait être assez éloignée des préoccupations des populations. Mais, se prenant certainement pour un démiurge pour être venue de loin, elle essaie de mener, la corde au coup, une jeunesse sans armes mais pleine de dignité vers des destinés encore plus lugubres. Une jeunesse qui n’a pas les moyens de se procurer soudainement une belle maison aux Almadies ou à Yéne ou un Grand standing R+1 alors que l’on était, il y a seulement quelques années, une pauvre maitresse de préscolaire avec un niveau d’études moyens et un bagage intellectuel pauvre. Mais conscient que leur ville leur appartienne et qu’aucune personne même opportuniste ne leur empêcherait de jouir du plaisir que leur offre la vie même si celle-ci est modeste avec des moyens qui manquent à tous les niveaux, elle a décidé de prendre ses responsabilités et unie, elle réclamera ce qui lui revient de fait : le droit à l’épanouissement.
Une ville insalubre, une pauvreté graduelle, alimentent le quotidien déjà méprisable d’une jeunesse désemparée. Alors si l’on décide de s’attaquer aussi maladroitement à cet espoir, cela montre la motivation que l’on a pour une ville que l’on a demandé, un certain 22 Mars 2009, à administrer. Cette posture saumâtre montre que l’on prend les bambeyois pour des demeurés et la mairie pour juste un trampoline vers une ascension politique.
La ville manque de tout et l’incompétence doublée d’un amateurisme et d’une arrogance injustifiée y font loi. Un centre de santé politisé avec des recrutements basés sur des attraits politiques et non sur des qualifications en plus d’un manque du minimum sanitaire qui ferait que le droit à la santé puisse être respecté. Un centre universitaire aussi politisé avec un personnel choisi en fonction de leurs propensions politiques, il suffit d’être avec Madame pour pouvoir prétendre à un poste de jardinier, de courtier, de gardien, de cuisinier, de restauratrice ou de bénéficier d’une cantine dans l’enceinte du centre universitaire. Les grands marchés de la commune sont confiés à un frère cadet qui a fini par montrer son ingénuité avec une station d’essence au niveau de Ziguinchor et le dépôt de gaz en face de la préfecture de Bambey qui ont volé en éclat devant le gout démesuré qu’il a de la belle vie et encore qu’elle est cette compétence qui lui donne le droit de gérer de tels marchés alors que cette ville regorge de jeunes diplômés qui crèvent face au chômage qui a fini de les corroder ?
Son devoir était de faire taire ceux qui n’y croyaient pas, mais elle a fini par leur donner raison. Son opportunisme, son arrogance, son manque de tacts et d’esprit managérial n’auront suffit que de quelques mois pour jaillir au grand jour comme ce Soleil qui se lève le beau matin annonçant la fin de la nuit reposante et le début d’un calvaire lumineux. Devrait-elle savoir qu’aucunes concessions ne lui seront faites. Animée par la seule volonté de rehausser l’image de leur ville dégarnie par des politiciens de son acabit, sa jeunesse répondra œil pour œil, dent pour dent, à toutes les malséantes provocations. Cette jeunesse se battra pour une meilleure existence.
Alors, la messe est dite et nous prendrons nos responsabilités. Fini le fatalisme béant, nous agirons pour un mieux être de chaque habitant de la commune. Fini les tergiversations et les magouilles. Fini les mensonges et les tartuferies. L’heure est à la citoyenneté affirmée.
Alors, Madame, il n’y a que deux camps, le vrai et le faux et nous avons choisi la franchise à la soumission. A nous deux et que le meilleur gagne !
Jeunes de Bambey
jeunesbambey@gmail.com
Devrait-elle aussi savoir que sa jeunesse n’a pas oublié ses reniements et reconversions spectaculaires, mais qu’elle lui a donné une nouvelle chance pour rectifier certaines de ses erreurs pour une ville autrement administrée en évitant l’irrévérence comme elle l’a été sous le PS avec Mar Fall et elle-même comme tandem entre 1996 et 2001. Un tandem qui a enfoui, encore pour longtemps, les illusions qui restaient à cette jeunesse qui voyait à peine l’horizon avec un quotidien statique de plus en plus difficile. Cette jeunesse n’a pas non plus oublié l’année 1993 où elle a débarqué, avec cette finasserie génétique, scandant opportunistement « Abdo gnou doye ». Cette jeunesse n’a pas non plus oublié les meurtres à coup de machette découlant d’une rivalité entre ex frères socialistes qui n’avaient de dessein qu’une ambition personnelle démesurée.
Pourtant elle l’a élue en sanctionnant une équipe, celle sortante, qui semblait être assez éloignée des préoccupations des populations. Mais, se prenant certainement pour un démiurge pour être venue de loin, elle essaie de mener, la corde au coup, une jeunesse sans armes mais pleine de dignité vers des destinés encore plus lugubres. Une jeunesse qui n’a pas les moyens de se procurer soudainement une belle maison aux Almadies ou à Yéne ou un Grand standing R+1 alors que l’on était, il y a seulement quelques années, une pauvre maitresse de préscolaire avec un niveau d’études moyens et un bagage intellectuel pauvre. Mais conscient que leur ville leur appartienne et qu’aucune personne même opportuniste ne leur empêcherait de jouir du plaisir que leur offre la vie même si celle-ci est modeste avec des moyens qui manquent à tous les niveaux, elle a décidé de prendre ses responsabilités et unie, elle réclamera ce qui lui revient de fait : le droit à l’épanouissement.
Une ville insalubre, une pauvreté graduelle, alimentent le quotidien déjà méprisable d’une jeunesse désemparée. Alors si l’on décide de s’attaquer aussi maladroitement à cet espoir, cela montre la motivation que l’on a pour une ville que l’on a demandé, un certain 22 Mars 2009, à administrer. Cette posture saumâtre montre que l’on prend les bambeyois pour des demeurés et la mairie pour juste un trampoline vers une ascension politique.
La ville manque de tout et l’incompétence doublée d’un amateurisme et d’une arrogance injustifiée y font loi. Un centre de santé politisé avec des recrutements basés sur des attraits politiques et non sur des qualifications en plus d’un manque du minimum sanitaire qui ferait que le droit à la santé puisse être respecté. Un centre universitaire aussi politisé avec un personnel choisi en fonction de leurs propensions politiques, il suffit d’être avec Madame pour pouvoir prétendre à un poste de jardinier, de courtier, de gardien, de cuisinier, de restauratrice ou de bénéficier d’une cantine dans l’enceinte du centre universitaire. Les grands marchés de la commune sont confiés à un frère cadet qui a fini par montrer son ingénuité avec une station d’essence au niveau de Ziguinchor et le dépôt de gaz en face de la préfecture de Bambey qui ont volé en éclat devant le gout démesuré qu’il a de la belle vie et encore qu’elle est cette compétence qui lui donne le droit de gérer de tels marchés alors que cette ville regorge de jeunes diplômés qui crèvent face au chômage qui a fini de les corroder ?
Son devoir était de faire taire ceux qui n’y croyaient pas, mais elle a fini par leur donner raison. Son opportunisme, son arrogance, son manque de tacts et d’esprit managérial n’auront suffit que de quelques mois pour jaillir au grand jour comme ce Soleil qui se lève le beau matin annonçant la fin de la nuit reposante et le début d’un calvaire lumineux. Devrait-elle savoir qu’aucunes concessions ne lui seront faites. Animée par la seule volonté de rehausser l’image de leur ville dégarnie par des politiciens de son acabit, sa jeunesse répondra œil pour œil, dent pour dent, à toutes les malséantes provocations. Cette jeunesse se battra pour une meilleure existence.
Alors, la messe est dite et nous prendrons nos responsabilités. Fini le fatalisme béant, nous agirons pour un mieux être de chaque habitant de la commune. Fini les tergiversations et les magouilles. Fini les mensonges et les tartuferies. L’heure est à la citoyenneté affirmée.
Alors, Madame, il n’y a que deux camps, le vrai et le faux et nous avons choisi la franchise à la soumission. A nous deux et que le meilleur gagne !
Jeunes de Bambey
jeunesbambey@gmail.com