« Nous sommes tous fermement déterminés à travailler avec vous pour aider ceux qui sont menacés à bénéficier de la sécurité alimentaire et pour renforcer leur résistance face aux graves menaces économiques, climatiques et environnementales d'aujourd'hui », a dit M. Ban dans un message lu par son Représentant spécial sur la sécurité alimentaire et la nutrition, David Nabarro, au Sommet des régions du monde sur la sécurité alimentaire à Dakar (Sénégal).
Selon le Secrétaire général, le sérieux de l'engagement de l'ONU sur ce sujet est confirmé par la présence au sommet de plusieurs organisations et agences des Nations Unies – l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Programme alimentaire mondial (PAM) , le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Fonds international pour le développement agricole (FIDA).
Ban Ki-moon a noté que les petits exploitants agricoles étaient durement frappés par la crise économique, avec leurs problèmes exacerbés par les difficultés à obtenir des emprunts, le manque d'accès aux technologies et l'impact du changement climatique. Les femmes, qui assurent l'essentiel de la production agricole dans les communautés les plus pauvres, sont par ailleurs souvent forcées de choisir entre élever leurs enfants et subvenir à leurs besoins, ce qui entraîne un nombre élevé de femmes et d'enfants mal nourris.
« Nous devons faire mieux pour écouter ces petits exploitants agricoles et ces femmes agricultrices, et les impliquer dans notre réponse » à l'insécurité alimentaire, a dit M. Ban.
Selon le Secrétaire général, le sérieux de l'engagement de l'ONU sur ce sujet est confirmé par la présence au sommet de plusieurs organisations et agences des Nations Unies – l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Programme alimentaire mondial (PAM) , le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Fonds international pour le développement agricole (FIDA).
Ban Ki-moon a noté que les petits exploitants agricoles étaient durement frappés par la crise économique, avec leurs problèmes exacerbés par les difficultés à obtenir des emprunts, le manque d'accès aux technologies et l'impact du changement climatique. Les femmes, qui assurent l'essentiel de la production agricole dans les communautés les plus pauvres, sont par ailleurs souvent forcées de choisir entre élever leurs enfants et subvenir à leurs besoins, ce qui entraîne un nombre élevé de femmes et d'enfants mal nourris.
« Nous devons faire mieux pour écouter ces petits exploitants agricoles et ces femmes agricultrices, et les impliquer dans notre réponse » à l'insécurité alimentaire, a dit M. Ban.