Le comité norvégien du Nobel a attribué, ce vendredi, le prestigieux prix Nobel de la Paix au président américain. Une surprise, car le nom de Barack Obama n'apparaissait pas parmi les favoris.
Le président du comité Nobel norvégien a expliqué la décision d’attribuer le prix à Barack Obama par « ses efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples, et en particulier pour sa vision et son travail pour un monde sans armes nucléaires ».
Ce prix est une vraie surprise. Barack Obama est davantage récompensé pour ses paroles et sa vision que pour ses accomplissements dans le domaine de la paix, ce qui est assez nouveau dans l’histoire du prix Nobel de la Paix.
C’est aussi un prix très politique, le comité le reconnaît lui-même. Il a parfois cherché dans son histoire à stimuler une certaine politique internationale, des attitudes particulières, autrement dit à influencer positivement des processus en cours par l’attribution de son prix.
Mais c’est la première fois que ce critère prend autant d’importance dans une décision. Ce prix donne une responsabilité, si ce n’est une pression supplémentaire à Barack Obama. A lui maintenant d’en être digne.
Barack Obama est le troisième Américain membre du Parti démocrate à recevoir le Nobel de la Paix depuis le début du XXIe siècle, après l'ancien président Jimmy Carter (2002) et l'ancien vice-président Al Gore (2007).
Il n'est pas non plus le premier chef d'Etat ou de gouvernement en exercice à obtenir le Nobel de la Paix. Ainsi Mikhaïl Gorbatchev, alors président soviétique, en 1990, de même le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et le numéro un palestinien Yasser Arafat avaient partagé ce prix en 1994
Le prix sera remis à Oslo le 10 décembre, date-anniversaire de la mort de son fondateur, l'industriel et philanthrope suédois Alfred Nobel
Le président du comité Nobel norvégien a expliqué la décision d’attribuer le prix à Barack Obama par « ses efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples, et en particulier pour sa vision et son travail pour un monde sans armes nucléaires ».
Ce prix est une vraie surprise. Barack Obama est davantage récompensé pour ses paroles et sa vision que pour ses accomplissements dans le domaine de la paix, ce qui est assez nouveau dans l’histoire du prix Nobel de la Paix.
C’est aussi un prix très politique, le comité le reconnaît lui-même. Il a parfois cherché dans son histoire à stimuler une certaine politique internationale, des attitudes particulières, autrement dit à influencer positivement des processus en cours par l’attribution de son prix.
Mais c’est la première fois que ce critère prend autant d’importance dans une décision. Ce prix donne une responsabilité, si ce n’est une pression supplémentaire à Barack Obama. A lui maintenant d’en être digne.
Barack Obama est le troisième Américain membre du Parti démocrate à recevoir le Nobel de la Paix depuis le début du XXIe siècle, après l'ancien président Jimmy Carter (2002) et l'ancien vice-président Al Gore (2007).
Il n'est pas non plus le premier chef d'Etat ou de gouvernement en exercice à obtenir le Nobel de la Paix. Ainsi Mikhaïl Gorbatchev, alors président soviétique, en 1990, de même le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et le numéro un palestinien Yasser Arafat avaient partagé ce prix en 1994
Le prix sera remis à Oslo le 10 décembre, date-anniversaire de la mort de son fondateur, l'industriel et philanthrope suédois Alfred Nobel