A la question de la police sur les regrets qui pourraient le torturer après la mort du nervi Barthélémy enfile sa tenue de « Pistoléro » pour tirer boulets rouge sur les bras qui ont armés les nervis. Il dit : « Ce sont les commanditaires libéraux qui doivent avoir des remords, des querelles de conscience pour avoir sacrifié une vie. Les regrets, il faut les chercher du côté des assaillants qui doivent se repentir de leur acte ignoble, et peut-être regretter de ne m’avoir pas tué ! »
Devant les enquêteurs, le maire de Mermoz-Sacré cœur a réitéré les accusations de violence portées à l’encontre des libéraux. « Ils sont coutumiers des faits, rappelez-vous la mise en sac des locaux de « 24h Chrono », de « L’as », le domicile de Tanor Dieng et Abdoulaye Bathily de l’assassinat de Me Babacar Seye, de l’agression de Talla Sylla au « Régal » et j’en passe. Les auteurs et commanditaires ont été formellement dénoncés par les personnes appréhendées aux cours des enquêtes. N’empêche, ils se la coulent douce, narguant ou raillant à la limite leurs victimes ! Moi je ne me laisserai pas faire. Je me défendrai au prix de ma vie », a martelé Barthélémy Dias.
Après lui avoir notifié son emplacement en garde à vue pour les besoins de l’enquête, conformément à la loi, le maire de Sicap, Mermoz, Sacré cœur a accueilli la nouvelle sans désemparer. « J’en prends acte et j’espère qu’il n’y aura pas deux poids deux mesures. On verra. J’espère qu’il me sera permis de laisser quelques consignes à mes collaborateurs et autres membres de ma famille », a-t-il répondu aux enquêteurs. Les enquêteurs ont profité de l’occasion pour rappeler à Barthélémy Dias, que la police enquête ç charge et à décharge, dans le seul dessein de la manifestation de la vérité, de quelque bord qu’elle se trouve.
Devant les enquêteurs, le maire de Mermoz-Sacré cœur a réitéré les accusations de violence portées à l’encontre des libéraux. « Ils sont coutumiers des faits, rappelez-vous la mise en sac des locaux de « 24h Chrono », de « L’as », le domicile de Tanor Dieng et Abdoulaye Bathily de l’assassinat de Me Babacar Seye, de l’agression de Talla Sylla au « Régal » et j’en passe. Les auteurs et commanditaires ont été formellement dénoncés par les personnes appréhendées aux cours des enquêtes. N’empêche, ils se la coulent douce, narguant ou raillant à la limite leurs victimes ! Moi je ne me laisserai pas faire. Je me défendrai au prix de ma vie », a martelé Barthélémy Dias.
Après lui avoir notifié son emplacement en garde à vue pour les besoins de l’enquête, conformément à la loi, le maire de Sicap, Mermoz, Sacré cœur a accueilli la nouvelle sans désemparer. « J’en prends acte et j’espère qu’il n’y aura pas deux poids deux mesures. On verra. J’espère qu’il me sera permis de laisser quelques consignes à mes collaborateurs et autres membres de ma famille », a-t-il répondu aux enquêteurs. Les enquêteurs ont profité de l’occasion pour rappeler à Barthélémy Dias, que la police enquête ç charge et à décharge, dans le seul dessein de la manifestation de la vérité, de quelque bord qu’elle se trouve.