
Avenir de «Bby», après le départ de «Rewmi»
«'Rewmi' est un parti souverain. Ils ont pris une décision que nous respectons. Mais, c'est une décision regrettable. J'invite encore le président de la République, Macky Sall, à évaluer et à analyser la situation. Idrissa Seck a crié, haut et fort, sa frustration, mais je pense que le Président Macky Sall gagnerait énormément à mettre en place un cadre de concertation pour prendre la vraie température de la
Coalition 'Benno bokk yakaar'.
De facto, il aura la vraie température du pays. Je reste convaincu qu'il est animé d'une bonne volonté de développer le pays. Mais, il gagnerait à prendre la vraie température du pays, car son entourage ne lui dit pas la vérité. Il y a énormément de frustrations. Dans le parti du Président, lui-même, il y a des frustrations. Il faut avoir le courage de le dire. Je crois qu'à partir de ce moment, le président de la République saura en tirer les conséquences et partir sur de nouvelles bases. Le départ d'Idrissa Seck ou de celui de n'importe quel autre allié, sont des départs à regretter, parce qu'en politique, on ne soustrait pas, on additionne».
Lancement de l'opération «Fendi»
«Je me réjouis que le gouvernement ait pris des mesures adéquates pour lutter contre les inondations. Mais, je déplore le fait que cela se fasse un peu trop tard. Parce que, je reste convaincu que, si on avait eu un cadre de concertation, l'opération 'Fendi' aurait vu le jour bien avant. En toute modestie, je fais partie de ceux qui ont invité le gouvernement à prendre en considération le génie militaire par rapport à la lutte contre les inondations. Je pense, aujourd'hui, que l'armée est plus habilitée que les politiques que nous sommes, pour gérer la question des inondations. Je souhaiterais aussi que le génie militaire soit mis à contribution dans le cadre du programme décennal d'un montant de 760 milliards de francs Cfa pour lutter contre les inondations. Je rappelle au gouvernement du Sénégal que sur le site de recasement de certaines zones de la région de Dakar, malheureusement, il n'y a aucun assainissement qui a été pris en compte. C'est pour dire que nous avons d'autres idées dans d'autres secteurs. Nous ne sommes pas des consultants, mais des politiques. Pour qu'on puisse verser nos idées dans la calebasse, il faudrait mettre en place un cadre de concertation. Le pays en a besoin».
Renouvellement des instances de base du Ps
«Nous sommes dans la dernière ligne droite pour aborder les renouvellements dans un esprit apaisé, et éventuellement, nous diriger vers un Congrès, dans un esprit serein. Les choses se passent très bien. Nous attendons seulement que l'hivernage passe pour qu'on commence à renouveler toutes les instances de base du parti qui remplissent les critères de la lettre circulaire. C'est d'atteindre au moins 75% de la vente des cartes dans certaines localités pour pouvoir être éligible pour les renouvellements du parti. Le Parti socialiste est un parti démocratique. Primaires ou pas, le Parti socialiste est mature et démocratique pour pouvoir aborder ce 15e Congrès, dans un esprit apaisé et dans une démarche sereine et lucide».
Le Populaire
«'Rewmi' est un parti souverain. Ils ont pris une décision que nous respectons. Mais, c'est une décision regrettable. J'invite encore le président de la République, Macky Sall, à évaluer et à analyser la situation. Idrissa Seck a crié, haut et fort, sa frustration, mais je pense que le Président Macky Sall gagnerait énormément à mettre en place un cadre de concertation pour prendre la vraie température de la
Coalition 'Benno bokk yakaar'.
De facto, il aura la vraie température du pays. Je reste convaincu qu'il est animé d'une bonne volonté de développer le pays. Mais, il gagnerait à prendre la vraie température du pays, car son entourage ne lui dit pas la vérité. Il y a énormément de frustrations. Dans le parti du Président, lui-même, il y a des frustrations. Il faut avoir le courage de le dire. Je crois qu'à partir de ce moment, le président de la République saura en tirer les conséquences et partir sur de nouvelles bases. Le départ d'Idrissa Seck ou de celui de n'importe quel autre allié, sont des départs à regretter, parce qu'en politique, on ne soustrait pas, on additionne».
Lancement de l'opération «Fendi»
«Je me réjouis que le gouvernement ait pris des mesures adéquates pour lutter contre les inondations. Mais, je déplore le fait que cela se fasse un peu trop tard. Parce que, je reste convaincu que, si on avait eu un cadre de concertation, l'opération 'Fendi' aurait vu le jour bien avant. En toute modestie, je fais partie de ceux qui ont invité le gouvernement à prendre en considération le génie militaire par rapport à la lutte contre les inondations. Je pense, aujourd'hui, que l'armée est plus habilitée que les politiques que nous sommes, pour gérer la question des inondations. Je souhaiterais aussi que le génie militaire soit mis à contribution dans le cadre du programme décennal d'un montant de 760 milliards de francs Cfa pour lutter contre les inondations. Je rappelle au gouvernement du Sénégal que sur le site de recasement de certaines zones de la région de Dakar, malheureusement, il n'y a aucun assainissement qui a été pris en compte. C'est pour dire que nous avons d'autres idées dans d'autres secteurs. Nous ne sommes pas des consultants, mais des politiques. Pour qu'on puisse verser nos idées dans la calebasse, il faudrait mettre en place un cadre de concertation. Le pays en a besoin».
Renouvellement des instances de base du Ps
«Nous sommes dans la dernière ligne droite pour aborder les renouvellements dans un esprit apaisé, et éventuellement, nous diriger vers un Congrès, dans un esprit serein. Les choses se passent très bien. Nous attendons seulement que l'hivernage passe pour qu'on commence à renouveler toutes les instances de base du parti qui remplissent les critères de la lettre circulaire. C'est d'atteindre au moins 75% de la vente des cartes dans certaines localités pour pouvoir être éligible pour les renouvellements du parti. Le Parti socialiste est un parti démocratique. Primaires ou pas, le Parti socialiste est mature et démocratique pour pouvoir aborder ce 15e Congrès, dans un esprit apaisé et dans une démarche sereine et lucide».
Le Populaire