Au cœur de la région de Kédougou, riche en ressources minières convoitées, le village de Tomboronkoto est le théâtre d'une lutte acharnée entre ses habitants et la société minière australienne Petewol Mining Company (PMC). Alors que PMC, filiale du Groupe Toro Gold, mène des opérations d'exploitation aurifère dans la région depuis 2018 à Mako, la population locale a exprimé sa frustration et son indignation face aux résultats de ces activités.
Les villageois, qui ont observé les effets de l'exploitation aurifère à proximité dans le village voisin de Mako, affirment que PMC n'a pas tenu ses engagements envers la population locale. Les promesses de création d'emplois pour les jeunes et de développement économique, n'ont pas été tenues, laissant la communauté dans un état de stagnation économique. Pis encore, les habitants de Mako ont été expropriés de leurs terres sans recevoir d'indemnités adéquates, ajoutant à la colère grandissante.
Déterminés à ne pas subir le même sort, les villageois de Tomboronkoto ont résisté à la pression de PMC pour obtenir l'accès à leurs terres. Cette résistance a culminé dans des affrontements violents le 21 juillet dernier, lorsque les forces de l'ordre ont été déployées pour tenter de sécuriser l'accès aux terres convoitées par PMC. Les conséquences ont été lourdes, avec l'incendie de maisons, des brutalités policières envers les femmes et les personnes âgées, ainsi que l'arrestation d'un grand nombre de villageois.
Malgré la résistance acharnée des villageois, PMC a finalement réussi à s'imposer avec l'escorte des forces de l'ordre. Cette situation met en lumière le conflit d'intérêts entre les aspirations des communautés locales et les objectifs des entreprises minières étrangères. La région de Kédougou, abondante en ressources telles que l'or et le fer, est un aimant pour les sociétés minières internationales, mais les retombées économiques pour les populations locales restent minimes.
Kédougou, malgré sa richesse souterraine, demeure l'une des régions les plus pauvres du Sénégal. La population locale vit dans des conditions précaires, tandis que les bénéfices de l'exploitation minière semblent échapper à leurs mains. Les villageois de Tomboronkoto, désespérés et déterminés, lancent un appel solennel à l'État du Sénégal pour revoir la manière dont les permis d'exploration des terres sont délivrés aux sociétés minières étrangères. Cette demande reflète un désir profond de protéger leurs terres, leurs droits et leur avenir, contre les effets potentiellement dévastateurs de l'exploitation minière.
Les villageois, qui ont observé les effets de l'exploitation aurifère à proximité dans le village voisin de Mako, affirment que PMC n'a pas tenu ses engagements envers la population locale. Les promesses de création d'emplois pour les jeunes et de développement économique, n'ont pas été tenues, laissant la communauté dans un état de stagnation économique. Pis encore, les habitants de Mako ont été expropriés de leurs terres sans recevoir d'indemnités adéquates, ajoutant à la colère grandissante.
Déterminés à ne pas subir le même sort, les villageois de Tomboronkoto ont résisté à la pression de PMC pour obtenir l'accès à leurs terres. Cette résistance a culminé dans des affrontements violents le 21 juillet dernier, lorsque les forces de l'ordre ont été déployées pour tenter de sécuriser l'accès aux terres convoitées par PMC. Les conséquences ont été lourdes, avec l'incendie de maisons, des brutalités policières envers les femmes et les personnes âgées, ainsi que l'arrestation d'un grand nombre de villageois.
Malgré la résistance acharnée des villageois, PMC a finalement réussi à s'imposer avec l'escorte des forces de l'ordre. Cette situation met en lumière le conflit d'intérêts entre les aspirations des communautés locales et les objectifs des entreprises minières étrangères. La région de Kédougou, abondante en ressources telles que l'or et le fer, est un aimant pour les sociétés minières internationales, mais les retombées économiques pour les populations locales restent minimes.
Kédougou, malgré sa richesse souterraine, demeure l'une des régions les plus pauvres du Sénégal. La population locale vit dans des conditions précaires, tandis que les bénéfices de l'exploitation minière semblent échapper à leurs mains. Les villageois de Tomboronkoto, désespérés et déterminés, lancent un appel solennel à l'État du Sénégal pour revoir la manière dont les permis d'exploration des terres sont délivrés aux sociétés minières étrangères. Cette demande reflète un désir profond de protéger leurs terres, leurs droits et leur avenir, contre les effets potentiellement dévastateurs de l'exploitation minière.